Varié, ultra dansant, carrément électronique et franchement analogique.
Simian Mobile Disco en concert
Simian Mobile Disco : l'historique des concerts
Sa.
08
Avril
2017
La Gaîté Lyrique - Paris 3ème (75)
Ve.
10
Mars
2017
Le Trabendo - Paris (75)
Sa.
04
Mars
2017
L'autre Canal - Nancy (54)
Sa.
04
Mars
2017
L'autre Canal - Nancy (54)
Sa.
08
Août
2015
Esplanade de la Petite Palud - Landerneau (29)
Di.
19
Juillet
2015
Site Festival - Dour(B)
Sa.
07
Fév.
2015
Sa.
24
Janv.
2015
La Carene - Brest (29)
Simian Mobile Disco : les dernières chroniques concerts 4 avis
Foreign Beggars + Yo Majesty + The Ting Tings + Metronomy + Simian Mobile Disco + The Glass (Trans Musicales 2007)
Après le très bon moment passé à la salle de la Cité avec Candie Payne, Getatchew Mekuria et The Ex, dernier aller retour au Parc des Expos pour ces Trans Musicales de Rennes 2007 bien remplies (The Whip, Tiny Masters Of Today, Dead Kids, Les Vedettes, Papier Tigre, Calvin Harris, South Central, Solange la Frange, Kate Nash, Indigo Moss et The Do, The Heavy, My Federation, French Cowboy, Twisted Charm, The View)... Au menu ce soir, un copieux plateau électronique prevu pour faire danser jusqu'au bout de la nuit... The Ting Tings : Des l'arrivée dans le hall 3, le duo mancunien The Ting Tings commence à provoquer des trémoussements inopinés avec son électro pop teintée de hip hop, de R & B... et de folk. A la fois organique et programmée électroniquement, la musique de The Ting Tings est un habile mélange furieusement sexy et dansant. Un batteur, guitariste, choriste et une chanteuse guitariste - habillée comme une star du R&B flirtant avec le porno, qui a dit comme Christina Aguilera ? - créent à quatre mains de petits hymnes remuants, futés et hédonistes... Le tout sonne à la fois funky, lo fi et électronico hip hop grâce à des samples percutants ; le public danse avec le sourire aux lèvres, un peu interloqué par ce... Lire la suite
(mon) Marsatac 2007 : Architecture in Helsinki, HifiKlub, The Divine Comedy, The Dead 60s, The Young Gods, Gus Gus, Simian Mobile Disco
Critique écrite le 01 octobre 2007, par Philippe
Esplanade Saint-Jean, J4 de Marseille 28 septembre 2007
Alors d'abord je tiens à dire que toutes les chroniques postées jusqu'ici sur ce festival sont vraiment particulièrement nazes ! Non c'est bon, je plaisante les gars... C'est au contraire un grand plaisir de voir tant de chroniques d'un festival sur ce site ! Je me suis par contre interdit de les lire pour ne pas être influencé (ni humilié et découragé, par exemple par la culture électronique sans failles de Mr. Sami ou par les formules dévastatrices de Mr. Stéphane S... !). Bref, comme chaque année le dernier festival sympa de la fin d'été se passe à 30 minutes à pied de chez nous, en plein air et au bord de la mer, alors on ne se fait pas prier ! Marsatac, festival à la maturation et à la survie difficile : comme péripétie cette année, les sponsors de rugbymen avaient un temps menacé de monopoliser le J4 pour le remplir de supporters... Marsatac donc, qui semble avoir trouvé son rythme de programmation, commençant très en amont avec des pré-concerts, et atteignant son apogée sur deux soirées dont une traditionnellement plus rock et l'autre plus hip-hop. Le tout étant entouré de moult DJ branchés de nature à réjouir les plus exigeants (et les plus intellos) des clubbers. Et comme chaque année on ira qu'à une soirée, celle qui nos... Lire la suite
Marsatac : Architecture In Helsinki + The Divine Comedy + Dead 60s + Gus Gus + Simian Mobile Disco + Para One
Neuvième édition déjà pour ce qu'il est convenu d'appeler ‘plus grand festival de musiques actuelles' à Marseille, et comme chaque année une affiche plaisante sur le papier avec son lot de bons et de moins bons moments. Les principaux bémols à propos le site du J4 ont été sensiblement corrigés : le bar est nettement plus accessible, les stands mieux répartis, les chapiteaux plus accueillants, même s'il y avait semble t-il moins de monde que l'édition 2006, il était beaucoup plus facile de passer d'une scène à l'autre. On peut déplorer néanmoins qu'à cause de l'annulation de Chromeo les horaires de passage sur la scène Pharo étaient décalés avec une bonne heure d'avance et pas très bien indiqués. Et aussi, mais là les organisateurs n'y peuvent pas grand-chose, un manque d'ambiance en général, comme si le public était refroidi par le mistral, et peut être désarçonné par la diversité des styles proposés. Les festivités commencent avec les Australiens d'Architecture In Helsinki dont les disques le cul entre deux chaises laissaient imaginer un concert tout aussi inclassable. Ils sont six sur scène et chantent souvent en chur des airs pop parfois un peu abscons mais qui font souvent mouche, c'est un peu de la ‘clap ... Lire la suite
(mes) Eurockéennes de Belfort 2007 1/3 : Gogol Bordello, Juliette & the Licks, Hells Kitchen, Archie Bronson Outfit, Wu-Tang Clan, Andy Newcomers, Amy Winehouse, Simian mobile Disco, Rita Mitsouko, Young Gods vs Dälek, Marylin Manson, Justice... (2007)
Critique écrite le 05 juillet 2007, par Philippe
Presqu'Ile du Malsaucy, Evette-Salbert 29 juin 2007
Peut-on dire "mes" et s'approprier un peu des mythiques Eurockéennes, sous prétexte qu'on y va pour la 14 ième fois ? Bof, tant qu'un type qui y serait allé 15 fois ou plus ne nous aura pas traité de merdeux néophyte, pourquoi pas ? On gagne donc en habitué notre presqu'Ile de festival favorite, à la recherche de petits améliorations ou changements. Pas grand chose cette année, à part quelques endroits défoncés accidentellement au Manitou, et une route en gros cailloux - preuve de la confiance qui règne sur ce site puisqu'ils pourraient très bien servir de projectiles, en d'autres contrées et d'autres ambiances ! Vendredi : Du gros son et une déesse en chignon Bref c'est sous un ciel gris et un site encore presque vide qu'on arrive au Malsaucy, avec de mauvais pressentiments météorologiques, en écoutant d'un oreille distraite Kaolin ennuyer le public sous de lourds nuages et un chapiteau peu rempli. Heureusement une bière, un rayon de soleil et surtout les chiapacans new-yorkais de Gogol Bordello vont nous remettre d'aplomb, grâce à leur bonne humeur certes un peu too-much, mais résolument communicative. Le chanteur a ce qu'il faut bien appeler une tête de voleur de poules, ses choristes par ailleurs splendides sont... Lire la suite
Simian Mobile Disco : les chroniques d'albums
Simian Mobile Disco : Attack Decay Sustain Release
Chronique écrite le 17/06/2007, par Pierre Andrieu
Attack Decay Sustain Release de Simian Mobile Disco est l'album idéal à mettre en boucle lors d'une fête débridée. Extrêmement varié, ultra dansant, souvent électronique, parfois un peu rock, méchamment remuant, furieusement synthétique, franchement analogique, cet album contient des titres en forme de bombes à retourner n'importe quel dance floor en deux temps trois mouvements. C'est bien le moins que l'on pouvait attendre des ex Simian, James Ford et James Shaw, qui ont été remixés par Justice (le tube Never be alone) avant que Mr Ford ne devienne le producteur incontournable du moment - c'est lui qui était aux manettes sur les récents (et vrillants !) albums des Klaxons et des Arctic... Lire la suite