Chronique de Concert
Narrow Terrence / Mansfield Tya
" Préquelle... "
Le temps de glisser son blaze au sein du cadre de bois pendu à cet effet, et voici le Professeur Sloggy lancé à " donf " dans Célestine : une chronique d'une mort annoncée toute nimbée de cynisme, qui tranche franchement avec les apparats vestimentaires exhibés à nos sens (une sorte de grand footballeur brésilien en tongs, béret et short long, qui flâne de goguette sur la côte d'après match !).
Annoncée d'un sonore et tentant " prochain passage au dégueulasse ! " son ode poignante à la sodomie, achève de détendre l'atmosphère (et les sphincters compatissants posés à quelques mètres en contrebas !) une bossa céleste et décalée, qui visite indifféremment : lune (pleine) et amples Trous Noirs... Après l'instant " dépression " - pas celle qui guette le marin à l'horizon solitaire, non, non, plutôt celle qui plombe l'humanité en pleine période " post " récession ! - voici que l'on nous tire le portrait du " ... Roi de la déprave ! Roi de l'empire néo-naze ! " : une suite d'images grinçantes sous caustique prose, que l'on appliquerait volontiers aux actuels gluants Traders (de sinistre et récente mémoire...).
Photo Pirlouiiiit
Place désormais à l'incompréhension (nichée au sein) du couple, qui convoque, d'un même élan, illusions au crachoir et solitude au parloir... Un " Ha ! C'qu'on est seul, quand on est deux ! ", qui fait certains regards alentour - autrefois complices, pleins d'espoirs, emplis de désirs inassouvis - frayer au plus proche (ras ?) de la croûte terrestre carrelée de frais du lieu ; une sorte d'au secours, je coule ! Mais... J'aime pas ta bouée ! " qui glace finalement sous cutané, plus qu'il ne délasse et active franchement du " zygo ".
Rythmée par l'apparition (et la basse) de Nicolas Puaux (Narrow Terrence) le zigue nous " finit " à l'aide d'une ode aux mensurations à l'Africaine (un poil longuette) qui fait glousser la part féminine de l'assistance et fait crisser dans les caleçons masculins alentours, qui se plaisent tous à imaginer l'entrejambes du fauteur de troubles - une toute petite chose racornie, flétrie de courte sèche, penchée négligemment sur les terribles absences, de " cousine " dimension... - à l'aune de leurs manques, ou normales (dé)mesures...
Un sourire et un départ plus loin, aidé d'une courte flamme tranchant sur cadre, et nous voici au coin du bar, ou au centre du patio baigné de frais : salive en pôle, il aux aguets, et langues bien pendues qui murmurent sous voûte...
" Séquelles... ".
Lors de la " NarrowTya " apparition - déflorée sous lumières tamisées et public sagement accroupi - les interrogations colonisent les plus réticentes de mes synapses (manifestement émoustillées par l'interview des deux entités réalisée au préalable). Surpris par le caractère " abouti " de leur résidence commune effectuée durant les jours précédents en la Gare Le Coustellet, les cinq musiciens attendent fébrilement de pouvoir enfin en découdre pour de vrai, devant public (familles, amis, " locaux ", résidents en demande, et autres " invités " d'affaire...).
Entourés (cernés ?) d'une foultitude d'instruments qui reposent encore sur leurs supports en l'instant - un dédale option " foutoir ", encombré de multiples guitares, basses, claviers et percussions sous cymbales - le trio aborde le premier morceau au plus proche de l'" Étroit " de légende. Une valse lente, menée par le violon de Christelle (Lassort), l'acoustique de Nicolas (Puaux), et la rauque voix du frérot Antoine, qui s'en va immédiatement " chasser " sur les terres empreintes de nostalgie du gars Tom (Waits) qui n'aurait en rien renié cette profusion de " marmelade eyes... ", épicée d'un archet qui crisse doucement sous les appels lointains de " mère " Russie : c'est Moscou la rebelle qui brûle au loin, léchée d'une simple paire d'étincelles passionnées, craquées/nées sous prunelles incandescentes issues des premiers rangs déjà visiblement sous emprise...
À peine le temps de souffler, de se remettre, et les voici qui se tiennent désormais au " complet " devant nous - afin que de se lancer dans une touchante Love Battle - augmentés d'une paire de " Tya-filles ", d'un duo de violons, d'une rangée de touches noires et blanches qu'on joue caresse ou effleure d'un regard, d'une pulpe concentrée, d'une âme qui geint sur plaines... Et déliés du propos. Cerise sur la douceur " née " Doun, les voix conjuguées d'Antoine et Julia (Lanoë) se complètent à loisir, s'attirent, s'évadent, s'érigent (parfois) d'un doigt tendu de raide dissonance qui se frotte tout doucement au silence, parfois ; un silence ému qui se rompt brusquement, qui s'éparpille sous les assauts secs conjugués d'une caisse claire qui fesse et rougit et d'une paire de violons qui usine de poignets, de concert...
C'est Julia qui mène la danse. Désormais assise sur fûts tendus, elle annone ses kyrielles de syllabes, dévoile ses secrets sous alcôve qui " voyellent " et " consonnent " de miroir. Tiens, ils ne sont plus que quatre. Tandis que l'acolyte (Antoine) se fait regard extérieur, sous escalier de fond de scène, posé, les autres reprennent leur (notre ?) souffle, l'espace d'un court instant, juste pour mieux pouvoir se donner et se tendre (Silver Silences). Voici que " ça " monte, et monte, monte, monte, monte, monte, et... Monte, encore ! C'est une maîtresse autoritaire qui chevauche hardiment sa compagne, qui souffle et coupe dans le vif de l'action, qui s'entremêle de désirs embués, qui signe en thoracique majeur !
La complicité des Mansfield, fait chaud à voir : elle se balade sur fil, s'effile sous âmes, soutenue par le quasi " Kat Onomien " Lointaine - splendide extrait du récent et beau Seules Au Bout de 23 Secondes... - qui avance et irrigue d'un même élan : canaux (lacrymaux) et glottes (caverneuses) ; porté d'un duo de voix qui vocalise d'unisson, qui symbiose et s'unit à l'envi(e) (" ... Quel est donc, mon mérite, de m'enfuir, en cachette ? Si ce n'est un supplice, pourquoi y penser sans cesse... " ). Quand elle égrène et chuchote ainsi de la sorte, c'est du Lisa (Germano) pur miel qui surgit, qui tournoie dans l'espace, qui trapèze et ondule sous filet, qui inspire, qui remue et retourne.
Après cette brève enclave baignée d'humide intime, retour au présent, au partage, au quatuor, à la résidence (Je Ne Rêve Plus).
" ... Quand tu es là, le monde entier n'existe plus...Je suis plus calme dans tes bras... Chaque jour je me le dis, quand dans la nuit... Je ne rêve plus ! " : j'en suis au point où la possibilité d'une absence (juste) me pèse, ma respiration prend toute la place, s'épanche, me fige dans l'instant... Jusqu'à cette arrivée un rien " brute " et inopinée d'une lourde batterie qui roule, qui se brise sèchement sur toms. Les Saxons d'outre-Manche ont beau insinuer un peu partout que " Three is a crowd ! ", il suffit parfois de peu pour remettre sans tarder le quinté(t) du jour au sommet des choses, et dans l'ordre. Deux paires d'humains en grande quête, une petite pluie fine de baguettes acérées, et c'est l'affaire qui court ! Pleine de tact, la " photo-finish " les déclarera toutes et tous à égalité, sur une même ligne... Directrice !
Le temps des folles cavalcades est ouvert de nouveau, les " Mauvaises Graines " germent autour de ce " Trou " pour s'en venir ensemencer la terre et nous ramener vers les noirceurs insondées qui l'habitent : vers une bande-son imaginaire, qui aurait Les Ailes du Désir pour ange gardien affairé, et les bas-fonds d'Amsterdam pour unique conquête. Le violon dissone au loin, devant, en figure de proue, et les gosiers des marins bouillonnent de solitude : noyés des larmes au long cours d'un amour et perdu... Aussi !
" Jette un chiale sur ta bière ! Un mouchoir sur tes yeux ! Porte le cur à tes lèvres et... Vit ! La nuit, toutes les âmes se grisent d'odieux atours, glissent de lumière en lames, de larmes en oublis, furtives, et s'enfuient... ". C'est con à dire, mais, quand y'a pas de " texte ", faut qu'j'meuble ! Il était pourtant beau cet " instru ". J'suis ému. Il avançait d'un pas sombre, mais sans retenue : jusqu'à vous pénétrer sans bruit et glacer d'inconnu ; une nappe de brouillard qui s'insinue en vous, lentement, dedans, dehors, partout autour, qui s'installe de profond pour rester à jamais... Durer !
" Ça " vibre au plus près de l'os - qui pore ou bien se rompt sous la charge émotion ! - et c'est estampillé Mansfield Tya, cette fois. Une Skin à fleur de peau qui nous fait sa PJ : 10 cordes qui vibrent et résonnent, et pleins des autres (vocales) qui se tendent cassent ou vibrent, qui communient, puis dérapent vers le sale, le râpeux, la brisure ; soudain, c'est l'instant de la gigue qui envahit Julia et la dote d'une crête imaginaire, qui saute déambule et déblatère dans un putain de cassage de cadre en règle qui sent bon la fin des seventies (76 ?).
Les chiens mouillés pleuvent désormais comme " Tom qui pisse ! ", et les âmes emprisonnées trop longtemps se mettent à envahir landes et mares putrides, armées d'un cri sans fin...
" Amour " et " Haine " ont eu un fils illégitime, et celui-ci n'a de cesse que de hurler japper baver et se plaindre : d'envies, de faim, de sueur qui crasse noircit et casse sous ongles ou griffes, sous croûtes qui pustulent (Wet Dead Horses). J'ai le plexus qui vrombit et se tend : la " Faucheuse " s'en vient chercher son dû en couinant sous les charnières grinçantes du temps, du néant. Ils sont de nouveau en formation " Étroite ", resserrée à l'extrême : quelques grammes de petit-bois, pour un grain lourd qui balade, ondule d'envies, balance lentement sur pied ; la romance s'est fichée en une glotte Rognoise (niaise ?) et refuse manifestement d'en sortir.
À force que d'évoluer en permanence, on ne sait plus très bien qui se lâche, se retient, ou bien s'absente, mais le fait est que " ça " tourne salement ; tandis qu'un bateau luit, glisse, et avance ; que le cadre se fait fenêtre, que la fenêtre se fait cache, que celui-ci explose pour se faire espace sous gravité ; une douleur élevée sous la mer, qui pointe désigne et grossit. C'est pas d'ma faute ! C'est juste cette boule qui nichait en mon ventre jusque-là, qui bougeait en tous sens, qui ne cherchait qu'à m'déchirer d'un coup sec, jusqu'à élargir l'horizon de mes peines ; c'est la main qui se tend, qui respire, qui rassemble et désigne, sans discerner pleinement, sans séparer les pâleurs soumises, les noires solitudes qui emplissent nos vies... (Alcohol).
Quand les violons mènent ainsi la danse, c'est le sol sous nos pieds qui se fait vitre, qui donne sur les entrailles de nos dédales intimes : je l'avais pourtant coursé si souvent jusqu'alors, sans me douter que c'était là, tout près, qu'il se tenait pour me guetter... L'enfoiré ! Ces violons jouent de mes nerfs en permanence, le rythme se brise tout net sur les vagues d'assauts, d'élans alternatifs. Quand You Are The Woman se pointe langoureusement sous les doigts de Carla (Pallone), c'est la pulpe dénudée qui s'offre à vif, qui rougeoie sur ventricules, qui bat, qui se livre : toute (fausse) pudeur mise enfin au rancart, étouffée sous regrets passés et erreurs inavouées à ne (surtout) pas répéter ; je chante pour toi et me fait cri, voilà, ça y est... J'l'ai dit !
Ils ne sont plus que 2 - Julia et Antoine - (ou font sécession ?) et tout bascule de nouveau : c'est l'enfant dans le bas du dos reconnu par ses pairs, LE bâtard de lumière, la perte en filigrane ( " ...‘Been waitin for death, since i was born... My tears are fallin', without reason... ") mes larmes emballent le tout et le salent de liquide(s) envie(s), sous le regard complice et un rien rêveur (deux tiers jaloux ?) du trio délaissé qui observe et se taît ; quand la raison à ses trahisons que le cur ignore : d'un revers de fortune, d'un doux voile d'indolence...
Durant Weakness Of The Sheep, je me dis que le Hollandais Volant a tout vu, tout cru, tout vécu, tout bu : " De l'eau, de l'eau, partout de l'eau, Et pas une goutte à boire... " (Samuel Taylor-Coleridge : La Complainte du Vieux Marin). Amsterdam, secoue-toi ! Ces marins font violence : ils éructent et s'échinent, ils s'écroulent et se roulent de sueur, en de sordides bas-fonds infestés de rancurs solitaires... Et ils plissent comme je ploie, sur les âmes infidèles !
Un bref salut débordant de remerciements envers l'ami Arthur(Durigon/manager des Narrow) - à l'initiative de cette résidence hors du temps, de cette rencontre d'exception qui se complète sans forcer, qui vibre et qui vrombit... Aussi ! - et les voici qui remettent " ça ". Le Club des " 5 " est manifestement sur la même corde raide : qui chauffe, qui fume, qui roule sous deux caisses claires martelées d'envies, d'énergie, et nous, ben, on s'y agrippe sans retenue... Complices ! (The Day Goes Pale). Deux moitiés au complet, désormais, qui rappellent, en Polly Jean majeur(e), que la bougresse a du mouron à se faire, qu'on ne prête qu'au Parish (John) et que l'emprunt est à (la) vie, à la mort, à l'après... (Laisse tomber le Folk Afghan et reprends tes esprits,PJ !).
Rappel 1 (sans briquets !) :
À chaque nouvelle mouture, à chaque nouvelle embardée : c'est en les yeux des " absent(e)s " qu'il faut puiser une ébauche de futur. À voir ceux de Claraet Julia se repaître ainsi d'une annoncée et assumée " chanson commerciale ! " (Bottom Bitch) on sent confusément que quelque chose est bien né, au sein des arcades de pierre de cet " Espace " hors du temps qui Rognes crache et martèle ; quelque chose comme une formule à dupliquer et conjuguer sans retenue au futur... L'avenir est dans le pré !
Rappel (des fées) 2 : Ce soir, Love Me Tender s'en revient déflorer les sveltes images du passé, les pelvis vigoureux et tendus de désir qui poisse, de jeunesse : exit le Las Vegas clinquant d'embonpoint rouflaquettes et paillettes qui noircit et s'efface, qui disparaît sous nos yeux ; Elvis est jeune, avide, teigneux : il se moque franchement du pathétique achevé du " Vicieux Sid " sous projos seventies... (God Save The Spleen ! ).
" Carla has just left the building ! " : me glisse alors mon ténébreux hémisphère rock (au passé originel affilié, enchaîné) sous le sceau du secret. Même pas je réplique ! L'heure est au départ, aux paupières qui perlent, à l'" Amour ". Le temps est au passé, au présent empressé, aux souvenirs, aux regrets, aux demandes inavouées ; aux notes enfiévrées, de rondes enrobées ; aux peaux qui résonnent et se tendent, aux archets qui caressent, crissent, et déclinent, en de multiples croches, qui voltigent et... Merci !
Set List Espace Doun :
Cly Musty Smell (NT)
Love Battle (NT)
Silver Silences (TYA)
Lointaine (TYA)
Je Ne Rêve Plus (TYA)
The Hole (NT)
Family Lunch (NT)
Luc (TYA)
Faraway (TYA)
Wet Dead Horses(NT)
Alcohol (NT)
The Man Who Thinks (NT)
One Million Eyes (TYA)
You Are The Woman (TYA)
Wasting (TYA)
Weakness Of The Sheep (NT)
The Day Goes Pale(TYA)
Rappel :
Bottom Bitch (NT)
Love Me Tender (TYA)
Love (NT)
NT : Narrow Terence.
TYA : Mansfield Tya.
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Critique écrite le 13 septembre 2009 par Jacques 2 Chabannes
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> Réponse le 14 septembre 2009, par Adrien
Super soirée , comme d'hab, chez nos amis de Rognes. Une vraie découverte avec les filles de Mansfield que je ne connaissais pas, et l'envie que ces deux groupes poursuivent leur collaboration! 2 petites vidéos: Mansfield Tya & Narrow Terence: https://www.youtube.com/watch?v=tfppGb9oOZ4 et le professeur Sloggy: https://www.youtube.com/watch?v=cIBDcE5VCKQ Réagir
> Réponse le 15 septembre 2009, par Pirlouiiiit
Affiche alléchante qui m'a fait rentrer un peu plus tôt de Moscou ... nouveau rendez vous avec les Narrow Terence qui au fil des ans grandissent 2005, 2007, 2008 ... et chaque fois sont un peu plus impressionnants de maturité, d'inspiration et de ... puissance, tout simplement. Apres un concert avec DAAU dont ils avaient alors débauché le violoniste, une collaboration avec Ez3kiel qui ne se sera malheureusement pas passée par le sud ... voici une autre rencontre pleine de promesse avec le duo Mansfield TYA (Carla Pallone / Julia Lanoë) auteur d'un sublime June un des rares disques qui m'ait véritablement taper dans l'oreille parmi les nouveautés inconnues que j'ai reçues (depuis elles ne le sont plus assez pour qu'on m'envoie le second) mais dont la gêne en live lors de la première... La suite | Réagir
> Réponse le 07 octobre 2009, par Preliminaires04
Je sais pas si on a le droit de poster quelque chose aussi longtemps après? mais la soirée était superbe. je ne connaissais pas l'espace doun, c'est un lieu magique, une cave à jazz qui change des grands stades et des salles sans cachet. merci à eux pour cette soirée! je tiens aussi à revenir sur l'article qui m'a fait presque autant "voyager" que le show... Merci pour ça aussi même si j'ai du m'accrocher pour "suivre" ça vaut le coup d'aller au bout jacques! Réagir
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