Chansons aux inspirations tango, flamenco teintées de jazz, de musique tzigane... "Une musique tragique de vie, de mort, d'amour fou, d'excès, de sensations fortes."

Angèle se présente :Angèle chante "Esos momentos", "ces moments" rares d'émotions intenses, ces moments arrachés à la vie, loin, très loin du quotidien. Elle écrit et compose des chansons aux inspirations tango et flamenco teintées de jazz, de musique tzigane ou encore d'influences classiques et baroques. La présence de morceaux cubains des années 20 revisités par le groupe ajoute au répertoire chaleur et légèreté tandis que "Les amours perdues" de Gainsbourg, réinterprété façon tango, dit toute la tragédie du passage du temps. Angèle, française originaire d'Europe de l'Est chante en espagnol, en français, en brésilien, en capverdien, en manouche... Elle interprète ces chants qui parlent de joie et de larmes, de vin rouge et de danses avec l'énergie de l'essentiel et de l'urgence. Urgence à dire en musique ces instants qui échappent, urgence de transformer la plus grande douleur en ivresse des notes. Avec la complicité de Salvatore Catalano (compositeur, arrangeur, pianiste et accordéoniste) et de Massimo Piccoli (contrebassiste) ces morceaux invitent au voyage, chaque musicien apportant au groupe son influence et sa sensibilité. "Angèle est une interprète au sens où elle joue, elle vit ses chansons. C'est le spectacle d'une perfectionniste qui n'envisage pas de faire autrement que ressentir viscéralement tout ce qu'elle chante et de s'en donner les moyens, techniques et émotionnels. Toutes les chansons, discrètement scénarisées, sont interprétées avec passion, chaque mot est compris, transmis, l'émotion violemment extraite de cette jeune femme mince à la voix puissante, elle vibre, c'est communicatif. Le tango, c'est l'esprit d' "Esos Momentos", une musique tragique de vie, de mort, d'amour fou, d'excès, de sensations fortes. Ici, c'est la passion, l'émotion en rouge et noir, certaines chansons sont incendiaires, violentes ou mélancoliques, on est bousculé, ébranlé, ému, on sort de la salle en se disant qu'on va y retourner..." Camille Marty - Cinémaniac

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