Folk rock. Elégance dandy légèrement tâchée d'arrogance, song-writing sombre, sensible et gracieux.
Agop en concert
Agop : l'historique des concerts
Sa.
25
Avril
2015
Je.
09
Avril
2015
Cabaret Aléatoire - Marseille 3ème (13)
Sa.
04
Avril
2015
Ve.
30
Janv.
2015
Ve.
12
Déc.
2014
Ma.
04
Fév.
2014
Me.
23
Mai
2012
Sa.
25
Fév.
2012
Seconde Nature - Aix-en-Provence (13)
Agop : les dernières chroniques concerts 5 avis
Theodore, Paul & Gabriel + Agop
Ayant raté Agop en première partie de Asa au Moulin (pour cause de concert annulé), au Poste à Galène (avec Onefoot en première partie) et au Cabaret aléatoire pour les sélections du tremplin sponsorisé par un opérateur téléphonique et un journal musical connu, je ne pouvais vraiment pas raté ce 4ème concert de l'ex marseillais dans le coin ! D'autant qu'il était là pour fêter la sortie du très bon Merenda. Ce soir il n'est pas en "full band" comme la fois précédente (full band = 8) mais en formule réduite (à 3). Il fera son entrée seul sur la scène bien décorée (pieds de micros avec guirlandes) alors que le public est en train de causer et attaquera de la plus belle manière par un Room 45 guitare voix puissant et assuré ! Inutile de vous dire que les bavardages se sont arrêtés et que tout le monde s'est tourné vers la scène. Cette attention ne retombera pratiquement pas pendant la demi-heure de son set. Certes il y avait pas mal de monde qui avait l'air d'être venu pour lui sinon en tout cas de connaitre ses morceaux, mais même indépendamment de cela son set était super bien construit. Après avoir commencé seul pour les deux premiers morceaux (le second pourrait s'appeler birds are singing tonight) il sera rejoint par Levon... Lire la suite
Micky Green + Agop
M'étant fait presque engueulé pour avoir osé aller voire Rihanna sans avoir lu sa biographie ou visionné tous ses clips j'ai donc jeté une oreille attentive au myspace de Micky Green plutôt entrainant ! Je me suis aussi dit à la lecture de la chronique de Sami que depuis son premier album elle avait du faire pas mal de scène et donc gagner un peu en spontanéité. Lorsque j'arrive Agop (qui ouvre pour elle se soir) vient à peine de commencer. Agop (ex Nacimiento) fait son chemin tout seul et il le fait très joliement. Je ne l'avais vu qu'une seule fois jusque là mais j'avais été vraiment touché par sa pop sur scène. Et son superbe 5 titres (Leave this town) avait achevé de me convaincre que je pouvais aimer des trucs beaucoup plus " love " que ce que je pensais. Par " love " j'entends (brit) pop mélancolique / sentimentale aux textes parfois un peu " cucu " (genre Coldplay, Radiohead dans une certaine mesure, Oasis...). Pourtant à l'image de sa sublime Room 45 (qui " parle de gens sales dans une chambre sale ") qu'il dédiera à son " chanteur préféré " Mickael Jackson, beaucoup de ses morceaux sont hyper touchants / entrainants. Et même seul à la guitare il arrive à leur donner suffisamment de puissance pour qu'on soit bluffé (en... Lire la suite
Agop + Watine + Redlight
A l'heure où les petits lieux de musiques actuelles s'éteignent les uns après les autres, jugés bruyants et nuisibles à la paix du voisinage, il y a de la bravoure à vouloir continuer, désirer évoluer et voire même changer. Le Lounge fait partie des quelques résistants gaulois à vouloir se réinventer et continuer d'offrir une rare qualité d'accueil tant aux artistes invités, qu'aux photographes de lives et à son public. Samedi soir, c'est le South Indies Festival qui s'arrêtait à Marseille, nous invitant à écouter Agop, Watine et les Redlight. Lancé à l'initiative du label Forget-Me-Not Records qui tourne sur tout le sud, comme son nom l'indique. Une fois n'est pas coutume, le lieu était plein à craquer et l'ambiance vraiment chaleureuse. Agop nous a fait planer dans son univers urbain, sombre et inspiré. Le choix de... Lire la suite
Agop & Friends
Critique écrite le 10 juin 2009, par the Vaccuopilot
Centre Culturel de la J.A.F - Marseille 06 juin 2009
Qui a pu échapper à la parabole biblique du Fils Prodigue ? Bien sûr il y est question de cet héritier qui dilapide son héritage, mais de façon assez fine, le Prodigue n'est pas que ça: il est aussi celui qui va se mettre au service d'un étranger pour gagner sa vie. La parabole met en scène ce personnage séducteur, avide d'aventures, adaptable à d'autres mondes que le sien, et pour couronner le tout, guère sensible aux commandements éthiques... Agop, c'est un peu le Fils Prodigue ; non pas qu'il renie quoi que ce soit de ses héritages, loin s'en faut : ce show-case semi-privé dans l'antre du centre culturel dédié à Varoujan Bozadjian le prouve sans aucune ambiguïté. C'est davantage dans cette forme d'abandon angoissé de ses propres attaches qu'il se rapproche de l'anti-héros biblique. Oui, Agop a tout quitté : Nacimiento tout d'abord, le quatuor dans lequel il avait fini de mûrir, tant artistiquement qu'en tant qu'homme. Marseille, ensuite, la ville qui l'a vue naître. Rien à faire. Tel l'Ulysse, il s'est attaché au mât de son âme vagabonde pour aller écouter de plus près le chant des sirènes : celles de la capitale tout d'abord, où il a fait semblant de s'établir, et pas n'importe où : face à la tour Eiffel... De là, à... Lire la suite
Agop : les chroniques d'albums
Agop : Songs Of Good Hope
Chronique écrite le 07/03/2018, par Pirlouiiiit
Avec une telle pochette qui ne laissera personne indifférent (des ailes de papillon, une pizza, une pluie de sardines, un ventilateur, une guitare et look christique hawaïen) ce disque ne devrait pas passer inaperçu dans les bacs. 10 ans après ces premiers concerts sous le nom d'Agop (il avait auparavant fait ses armes au sein du trio Nacimiento) la nouvelle métamorphose de Fred Azilazian semble achevée. Le résultat est en tout cas là : une collection de tubes tantôt pop tantôt folk qui raviront autant les fans de pop anglaise genre Oasis, the Verve and co que de folk à la Jon Butler ou Cocoon. Il faut dire qu'il a eu la bonne idée de reconvoquer les titres phares de ses précédents EP (Leave this town et Merenda). Fasciné par les pays anglo-saxons et notamment les Etats Unis si on en... Lire la suite
Agop : Merenda Ep
Chronique écrite le 08/02/2015, par Pirlouiiiit
En 2009 Fred Agop Azilazian sortait le très beau EP Leave this town qu'il défendait d'ailleurs peu de temps après en première partie de Micky Green notamment : un 4 titres et une série de premières parties pleines de promesses. Depuis on était sans nouvelles et on commençait même à se dire qu'il avait peut être laissé tombé (pour ma part je savais tout juste qu'il était sur Paris mais qu'il n'avait pas coupé les ponts avec Marseille - et je ne parle pas que de sa passion pour le ballon). Et puis l'année est sorti ce nouvel EP accompagné d'un clip (fait maison) léger et frais comme le morceau qu'il accompagne. 3 nouveaux titres (et une nouvelle version d'un ancien)... Lire la suite
Agop : Leave This Town Ep.
Chronique écrite le 10/05/2010, par Zeu Western Manooch
Il est peu d'artistes capable de vous servir sur un plateau des mélodies pour dimanches pluvieux, sans pour autant vous faire investir dans un tabouret et du cordage. Sérieux, on n'écoute pas n'importe quoi les dimanches cagneux ! Il faut savoir préserver ces ambiances spleenétiques, en profiter sans couler une bielle. Il faut écouter Agop...Comprendre que cette musique d'apparence proprette, trop pop et ouvragée pour être fiable, est une des choses les plus agréables en ce bas monde depuis les draps propres dans un lit,... Lire la suite