Le groupe américain Alabama Shakes fait du country folk rock 'n soul inspiré et classieux.
Alabama Shakes en concert
Alabama Shakes : l'historique des concerts
Sa.
09
Juillet
2016
Parc del Forum - Barcelone (Sp)
Sa.
14
Nov.
2015
Rockhall - Esch-Alzette (Luxembourg)
Me.
11
Nov.
2015
Casino de Paris - Paris 9ème (75)
Je.
09
Juillet
2015
Stravinski Hall - Montreux (Ch)
Di.
05
Juillet
2015
Presqu'ïle de Malsaucy - Belfort (90)
Ve.
28
Juin
2013
Site du Festival - Glastonbury
Sa.
10
Nov.
2012
La Cigale - Paris (75)
Ve.
13
Juillet
2012
Esplanade du Lac - Aix les Bains (73)
Alabama Shakes : les dernières chroniques concerts 4 avis
(mes) Eurockéennes 2015, 2/2 : Parkway Drive, Slaves, Eagles of Death Metal, Alabama Shakes, Electric Wizard, Sting
Critique écrite le 06 juillet 2015, par Philippe
Presqu'île du Malsaucy, Evette Salbert 5 juillet 2015
Le samedi, c'était par ici ! Deuxième jour pour nous et dernier pour tout le monde, ce dimanche commence en pente douce comme la veille. Il est vrai que personne de sensé ne voudrait être en plein soleil (toujours 36°C au thermomètre) à 16 h 30, à part peut-être les bluesmen africains de Songhoy Blues, dont on espère avoir d'autres occasions de les voir. Il y a bien quelques vagues nuages au loin pour nous donner le faible espoir d'une rincée salvatrice (qui ferait aussi retomber la poussière) : un nuage de type Canadair, comme celui passé 5 minutes sur le site l'an passé, nous irait très bien ! En attendant, les canons à eau projettent toujours ici ou là, et être sur une presqu'île est une bonne façon de s'assurer un peu d'air frais (plus, par exemple, que de camper sur un aérodrome, comme quelques milliers de jeunes gens bien courageux dont on a fait partie ...il y a quelques temps déjà !). Pour finir sur la note d'ambiance, on peut noter sans enfoncer le clou qu'il n'y a que peu de déco sur le site, et (sauf erreur) pas du tout de ces artistes de rue incongruEs qu'on aimait pourtant bien croiser au détour d'un chemin. Budget un peu serré, ou cachet un peu cher de la très barbue tête d'affiche du jour, dont on reparlera ? On... Lire la suite
Festival Les Inrocks 2012 : Alabama Shakes + Michael Kiwanuka + Willy Moon
Willy Moon WILLY MOON Déjà aperçu très brièvement (un petit quart d'heure à peine) à la Flèche d'Or il y a quelques mois, le jeune surdoué néo-zélandais Willy Moon, signé récemment chez Third Man Records (le label de Jack White), était de retour dans la capitale à l'occasion de cette soirée de haut vol à La Cigale. Moins brouillon que lors de sa dernière prestation, mais toujours avec la même classe, la même énergie débordante et ce son brut terriblement efficace, l'artiste offre une trentaine de minutes d'un rockabilly endiablé, moderne et glamour, dont les accords rêches vous arrachent du sol. Mêlant les quelques compositions qu'on lui connait (Yeah Yeah, I Wanna Be Your Man, She Loves Me Now...) et des reprises inspirées (notamment le classique I Put A Spell On You du fou furieux Screamin' Jay Hawkins), Willy Moon offre un set jouissif à chaque instant. On trépigne d'impatience en attendant l'album ! Willy Moon MICHAEL KIWANUKA On avait aussi aperçu Michael Kiwanuka il y a quelques semaines, c'était aux Eurockéennes de Belfort, sur la superbe scène lacustre de La Plage, et si, les pieds dans le sable, au coucher du soleil, le moment s'était plutôt révélé agréable en ouverture du festival, on n'était pas totalement... Lire la suite
(mes) Eurockéennes de Belfort 2012, 2/2 : The Brian Jonestown Massacre, Refused, Alabama Shakes, Lana del Rey, Poliça, Jack White, Miles Kane
Le samedi, c'est par ici ! Retour sur le site du Malsaucy, détrempé après une nuit et une matinée très, très pluvieuse. Si on ne dort plus très souvent sous tente en festival (surtout depuis une expérience dantesque dans les Chiottes du Diable en 2010), on sait très bien ce que ça représente de se réveiller dans une tente entourée d'un marécage et de devoir remettre des fringues et des pompes trempées et couvertes de boue, avec l'envie de gerber et/ou de crever... On peut donc à la fois féliciter les campeurs qui sont restés (ce qui est l'attitude rock'n'roll normale, hein !), et comprendre ceux qui n'en avaient jamais fait l'expérience aux Eurocks et ont lâché l'affaire pour le troisième jour... Dommage quand même pour ces jeunes gens qui essayaient de revendre leur billet près de l'entrée du site, tente et sac sur le dos : ils sont passés à côté d'une journée vraiment marquante et en plus, très peu pluvieuse ! On a évidemment raté Le Comte de Bouderbala, humoriste à la présence incongrue aux Eurocks mais qui nous fait beaucoup, beaucoup rire (voir son sketch sur le rap français, ou sur les américains, qu'il a sûrement dû faire). Mais heureusement, pas complètement le set de The Brian Jonestown Massacre dont il reste une bonne... Lire la suite
Alabama Shakes + Great Mountain Fire
Après une première partie pas très appropriée à la soirée (pop rock trop maniérée ou plutôt fraiche, selon les morceaux) assurée par Great Mountain Fire, Alabama Shakes, le groupe pour lequel la Flèche d'Or (Paris) affiche complet, se fait attendre un long moment... Comme il fait une chaleur à crever (la climatisation ne sera donc jamais réparée dans cette salle, comme au Bataclan et à la Maroquinerie... ), il tarde encore plus au public de pouvoir découvrir en live le groupe américain phénomène du moment, emmené par l'exubérante et débordante de vie Brittany Howard. Une fois arrivé sur scène, Alabama Shakes prouve en une poignée de morceaux - tour à tour trainants, alanguis et intenses - que sa réputation n'est pas usurpée ou uniquement issue d'un buzz injustifié ; comme sur le disque inaugural du combo récemment sorti chez Rough Trade/Beggars Banquet, Boys and Girls, la classe rock & soul rhythm & blues des compositions saute immédiatement aux yeux. Un riff de guitare qui arroche l'oreille, une rythmique groovy, une voix racée et, hop, le tour est joué... Alabama Shakes jette un sort sur ses fans ! Cela, on le doit à la présence magnétique de la chanteuse, qui, en plus d'avoir une voix extra terrestre, un jeu de guitare... Lire la suite
Alabama Shakes : les chroniques d'albums
Alabama Shakes : Boys And Girls
Chronique écrite le 10/04/2012, par Pierre Andrieu
Et un disque de rock 'n soul authentique et accrocheur, un ! L'album Boys & Girls du groupe du Sud des Etats-Unis Alabama Shakes est une sorte de miracle sonique parfait pour consoler les fans éplorés des White Stripes et d'Amy Winehouse : Brittany Howard et ses acolytes basés à Athens, Alabama ont en effet dans leur répertoire fraîchement gravé pour l'éternité des titres qui évoquent joliment ces deux artistes et leurs mirifiques influences, Led Zeppelin, Al Green, Aretha Franklin, Otis Redding, Creedence Clearwater Revival, Ike & Tina Turner... Passéistes certes, mais sachant surtout écrire des putain de bons titres et les interpréter live en studio avec une énergie salement viscérale les Alabama Shakes ! Dès Hold On, le premier titre de leur opus idéal pour réveiller les morts, on tombe raide dingue de ce rock sudiste faisant penser à des Kings Of Leon pas encore séduits par les sirènes des FM et des stades... Et après, c'est une suite ininterrompue de futurs tubes entre soul, rock 'n roll, gospel et country blues. Telle une... Lire la suite
Alabama Shakes : Vidéo
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