Le mythique Alice Cooper est le roi du Hard Rock à grand spectacle. Ses shows à l'américaine font souvent forte impression ! Ça fait près de 40 ans que Vincent Damon Furnier, alias Alice Cooper, occupe le devant de la scène du hard granguignolesque, mais ne cherchez pas à lui rappeler qu'il pourrait être un vétéran du hard ; ses boas pourraient vous ramener à des considérations plus respectueuses. Et puis, qu'on ne se méprenne pas : ce pionnier d'un rock théâtral sonique reste vaillant quand il s'agit d'outrances en tout genre !
Alice Cooper en concert
Alice Cooper : l'historique des concerts
Sa.
12
Oct.
2024
Me.
02
Oct.
2024
Di.
07
Juillet
2024
Base de Loisirs de Pratgraussals - Albi (81)
Ve.
24
Juin
2022
Site du Hellfest - Clisson (44)
Sa.
21
Sept.
2019
Ve.
20
Sept.
2019
Ve.
20
Sept.
2019
Je.
05
Sept.
2019
Alice Cooper : les dernières chroniques concerts 15 avis
Alice Cooper
C'est le Zénith qui accueillait l'énième visite parisienne du légendaire Alice Cooper. On a tendance à l'oublier, mais le légendaire américain fut le premier, au tout début des années 70, à pondre des concept albums s'inspirant d'une imagerie horrifique et à proposer des shows grandiloquents mêlant Hard Rock, cabaret, provocations, guillotine, serpents, poupées géantes et film d'horreur. On peut aisément affirmer qu'il est l'une des inspirations majeures pour 99% des musiciens de hard rock apparus après lui. (Iron Maiden, Marylin Manson etc.)Mais au-delà du Show, Alice Cooper c'est une avalanche de tubes et morceaux iconiques. Que ce soit dans les 70's avec les Albums "Killer", "Love it to death", "School's out", "Billion dollars baby" ou dans les années 80/90 avec des chansons comme "Poison", "Hey Stoopid", "Feed my frankenstein", "Lost in america", il y a de la matière pour proposer des set list ultra... Lire la suite
The Hollywood Vampires
Les Hollywood Vampires ont commencé comme un petit délire sympa qu'Alice Cooper, Joe Perry et Johnny Depp ont monté entre deux tournées, histoire de reprendre les hits de leurs amis et idoles. Mais rapidement, sous l'effet de la qualité de leurs shows et de la demande du public, ils se sont mis à écrire leurs propres morceaux et le groupe s'est mué en tête d'affiche incontournable, enflammant les scènes les plus prestigieuses de la planète. Le postulat est le suivant: et si Joe Perry jouait le riff de "School's Out" ? Et si Alice Cooper se lançait dans "Walk This Way" ? Et si cette bande de pirates du rock n' roll nous balançait "The Jack" d'AC/DC et "Baba O'Riley" de The Who ? Le résultat est là, sur la scène du Zénith et c'est un pur bonheur. Malgré la longue carrière des musiciens, leur célébrité et leur professionnalisme, le groupe n'a heureusement rien perdu de son côté bon enfant : Hollywood Vampires reste un groupe de bar. C'est juste qu'il a la particularité de jouer devant des milliers de fans... Ah, et leur cachet est peut-être un chouïa plus conséquent que celui du groupe de reprises votre cousin.C'était le premier concert des Vampires dans la capitale française, après le report puis l'annulation pure et simple de leur... Lire la suite
Alice Cooper + Black Stone Cherry
Black Stone Cherry "God Bless you! We love You so much..." Voilà, c'est tout ce que je peux dire du concert de Black Stone Cherry puisque c'est sur ces belles paroles, si chères aux coeurs de nos cousins outre Atlantique que je suis arrivé dans ce Dome si cher au mien. Ah, le Dôme et ses 3 sas de sécurité, le Dôme et sa bière sans alcool, le Dôme et la qualité de son acoustique ! Que de concerts j'y ai vu, à défaut de les avoir correctement entendu, dans ce Dôme ! Et bien, ce soir les z-amis, l'ordre des choses a été respecté. La grande roue de la vie et son cycle immuable, en somme. Je suis bien content que les traditions ne disparaissent pas aussi facilement que les bout de terrains constructibles sous l'ère de Jean-Claude Gaudin. Alice Cooper Non Messieurs Dames, ce soir, on a entendu chanter Vincent Furnier qu'a partir de Fallen in Love, soit 25 minutes après le début du concert. Pas mal. Bon, c'est peut être pas la faute au Dôme ce coup ci, plutôt à un sondier en cours de décès ou à un micro acheté d'occasion peut-être, bref, on ne saura pas, mais ça n'a pas aidé le show à décoller cette affaire. Pas vraiment. Et je passe sur la guitare de la Madame Nita si en retrait qu'on l'aurait cru sorti d'un... Lire la suite
Alice Cooper
A l'orée des années 70, Alice Cooper n'était pas uniquement l'incarnation scénique du chanteur Vincent Furnier. C'était un groupe et probablement l'un des meilleurs de l'histoire du rock ! Les albums "School's out", "Love it to death", "Killer", "Billion dollars babies" et "Muscle of love" sont au panthéon des grands disques des 70's et de l'histoire. Ils initièrent le mouvement glam-rock et furent les pierres angulaires de ce que l'on appela par la suite et souvent à tort le Hard Rock. A l'époque, l'extraordinaire voix rock (assurément l'une des plus marquantes de tous les temps) de Vincent Furnier était soutenue à la guitare par le formidable guitariste Glenn Buxton (co-auteur des grands titres de cette période), la basse de Dennis Dunnaway, la guitare rythmique de Michael Bruce et la batterie de Neil Smith. Cette formation historique se sépara malheureusement à la fin de l'année 1973. Furnier endosse désormais seul, depuis plus de 40 ans, le nom d'Alice Cooper. Pendant toutes ces années, le nom d'Alice Cooper est devenu synonyme de grands shows où se côtoient le hard rock le plus pur et des mises en scènes de grand guignol macabres où le hurleur en chef se fait tour à tour guillotiner, électrocuter, décapiter à grands... Lire la suite
Alice Cooper : les chroniques d'albums
Hollywood Vampires : Hollywood Vampires
Chronique écrite le 02/11/2015, par Philippe
Retour dans les années 1970 à Los Angeles : que pouvait-on bien faire de ses journées, quand on était une rock-star qui vivait indécemment bien de sa musique, entre deux tournées ou deux albums ? Eh bien, se bourrer la gueule (et sans doute aussi le pif) avec d'autres rock-stars, pardi ! C'est ainsi qu'Alice Cooper a fondé Hollywood Vampires, club honorifique de soiffards anglophones dont beaucoup d'anciens membres sirotent aujourd'hui plutôt le schnaps de pissenlit par la racine (John Lennon, Keith Moon, Harry Nilsson...). Cette fort jolie bande a certes contribué à asseoir (...bien avant qu'il soit devenu le rade officiel du hair metal des 90's et depuis, le living room officieux de Lemmy Kilmister lui-même...), la réputation du mythique Rainbow Bar & Grill, sur Sunset Boulevard... Où l'auteur de ces lignes avoue avoir voulu passer absolument en visitant L.A. en 2011, dans l'espoir resté hélas inabouti d'apercevoir Dieu, devant sa machine à sous habituelle... Quoi qu'il en soit, même composé pour moitié de vampires, ce club se porte toujours au mieux, grâce à de nouveaux membres et/ou héritiers putatifs : c'est ainsi qu'Alice Cooper, lui-même mort-vivant notoire (rappelons qu'il se fait zigouiller 4 à 5 fois par concert depuis le siècle... Lire la suite