La jeune anglaise Anna Calvi écrit des morceaux pop rock blues dans la lignée de la grande PJ Harvey, de la mythique Patti Smith et des BO des films de David Lynch, mais sans les plagier... ! Sortie en octobre 2013 de l'album One Breathsur le fameux label Domino (The Kills, Franz Ferdinand, Arctic Monkeys... ). A consulter, une interview d'Anna Calvi à propos de cet album... Anna Calvi était en concert à La Gaité Lyrique à Paris le 15 juin 2018, au festival Rock en Seine le 25 août 2018 et en tournée française en 2018/2019 avec une date salle Pleyel à Paris le 30 janvier 2019.
Anna Calvi en concert
Anna Calvi : l'historique des concerts
Me.
10
Juillet
2019
Ve.
05
Juillet
2019
Hôtel de Ville - Paris 4eme (75)
Je.
04
Avril
2019
Le Trabendo - Paris (75)
Sa.
23
Fév.
2019
La Nouvelle Vague - St Malo (35)
Ve.
22
Fév.
2019
La Nouvelle Vague - St Malo (35)
Ve.
22
Fév.
2019
Ve.
15
Fév.
2019
Sa.
09
Fév.
2019
Centre Dramatique National de Franche Comté - Besançon (25)
Anna Calvi : les dernières chroniques concerts 21 avis
Anna Calvi + Warmduscher + Boy Harsher + Drahla (La Route du Rock Collection Hiver 2019)
Après un vendredi de haut vol permettant de voir à l'uvre à La Nouvelle Vague Marble Arch, Mermonte, Flavien Berger, Bodega et Cannibale, le dernier soir de la Route du Rock Collection Hiver n'est pas en reste puisqu'il offre sur un plateau le post punk abrasif de Drahla, le rock magistralement emphatique d'Anna Calvi, la darkwave gothique de Boy Harsher et le rock défoncé de Warmduscher... Drahla Suite à l'annulation du show de BC Camplight prévu à 20 heures, on peut prolonger notre apéro au coucher de soleil sur la plage du Sillon puis arriver en pleine forme et dans les temps pour le concert de Drahla, qui débute à 21 heures... Il aurait été dommage de louper ça car le jeune groupe anglais emmené par une chanteuse au timbre rappelant celui de Kim Gordon de Sonic Youth se lance dans un set à la fois pointu, stimulant et rafraîchissant. Le post punk noise pratiqué par les musiciens basés à Leeds est agressif, grinçant et brillamment relevé d'un saxophone free. C'est le genre de truc bienvenu pour électriser un début de soirée. Les fans de bruit punk distordu lardé de parties vocales revenues de tout devraient se pencher sur les uvres des très doués extrémistes de Drahla ! Anna Calvi La divine et... Lire la suite
Anna Calvi (+ Roland Moog)
Déjà notre 6ième concert d'Anna Calvi depuis 2011 mais, quand on aime... on ne compte pas (on l'a d'ailleurs déjà poursuivie à vélo jusqu'à Lyon cet automne). Et puis on ne rechigne pas davantage à gagner, une fois n'est pas coutume, la splendide salle Paloma de Nîmes au coeur de l'hiver (plutôt que pour le merveilleux festival TINALS où l'on a passé trois jours l'été dernier). La salle réussit d'ailleurs l'exploit d'être aussi attrayante, et son personnel aussi sympathique, au coeur d'une glaciale nuit d'hiver que pendant les habituels et délicieux après-midi d'été... En première partie, une dijette française au bonnet et au patronyme mystérieux, Roland Moog, distille une belle sélection de titres d'EDM en langues variées, allant du presque punk en français, au totalement industriel en allemand, pour finir par un titre qui nous semble bien être un classique, non identifié... de Sisters of Mercy peut-être ? Prestation sympathique avec un son dansant et qui nous aura fait onduler malgré nous, car quelques titres sont méchamment cool ! Mais ce n'est que le poussage d'une collection de disques - certes homogène et constituée avec bon goût - donc difficile de considérer cela comme une prestation live, tout comme de trouver le lien... Lire la suite
(mon) Rock en Seine 2018 : The Orielles, Nick Murphy, The Limiñanas, Gothking, Carpenter Brut, Malik Djoudi, Anna Calvi, King Gizzard and the Lizard Wizard
Damnation, l'été 2018 s'est déjà enfui ! On a eu beau y poser autant de jalons festivaliers que possible (Tinals, Hellfest, Eurocks...), nous voilà déjà à sa borne de fin, celle traditionnelle de Rock en Seine. Pour un passage comme souvent en pointillés, la capitale parisienne comportant d'autres attraits à découvrir en famille (comme par exemple, un squelette de T-Rex de belle taille au Jardin des Plantes). On s'en voudrait néanmoins de ne pas passer voir le Parc de Saint-Cloud, qu'on fréquente quand même presque chaque année depuis 2004. Et qui, sous des têtes d'affiche qu'on qualifiera d'inintéressantes et/ou déjà vues pour être charitable, cache quand même quelques belles références pour les amateurs de rock, avec des noms écrits en plus petit sur l'affiche. Le festival peinera toutefois à faire le plein les deux premiers soirs (à peine 20 000 personnes le vendredi, on circule tranquille !), la faute au capitalisme sauvage qui est entré dans le monde des festivals il y a déjà plusieurs années : il y a un événement rap concurrent à la U-Arena de Nanterre ! Entre l'idiote conviction (teintée d'un début de panique) qu'il faut bourrer la programmation de 50 % de rap pour continuer à attirer les djeuns, phénomène déjà observé aux... Lire la suite
Concert hommage à David Bowie (avec Michael Stipe de R.E.M, Karen Elson, TV On The Radio, The Flaming Lips, Debbie Harry, Robyn Hitchcock, Pixies, Tony Visconti, Amanda Palmer, Anna Calvi, Kronos Quartet, Joseph Arthur etc)
Critique écrite le 10 avril 2016, par Demi Playmobil
Carnegie Hall, New York 1er avril 2016
Soirée hommage à David Bowie au Radio City Hall, à New York, hier soir... Le groupe de Mc Caslin qui joue sur le dernier album de du Thin White Duke Blackstar a composé une superbe version instrumentale de Lazarus. Kyp Malone de TV On The Radio a joué une version incroyablement belle de Moonage Daydream. Le grand moment de la soirée, c'était la magnifique version de Ashes to ashes par Michael stipe (dans la lignée de sa reprise de The man who sold the world) en compagnie de Karen Elson... Amanda Palmer, Anna Calvi et le Kronos Quartet ont repris Black star, mission impossible et pourtant superbement réussie. Très belle version de Life on mars par les Flaming Lips, avec un Wayne Coyne à dos de chewbacca pendant tout le morceau. Les Pixies ont repris Bowie reprenant les Pixies : le titre Cactus... Bowie avait en effet repris ce génial morceau du combo de Black Francis sur un de ses propres disques ! Joseph Arthur a fait une version solo foutraque de The man who sold the world tout en brandissant un drapeau... Lire la suite
Anna Calvi : les chroniques d'albums
Anna Calvi : Strange Weather (EP)
Chronique écrite le 19/09/2014, par Philippe
Comme certains envoient régulièrement des "cartes postales" médiatiques pour nous rappeler contre qui nous avons voté en 2012 (...et nous remonter un peu le moral), Anna Calvi poste régulièrement entre deux chefs d'oeuvre forcément trop éloignés, des "cartes postales" sonores pour nous rappeler qu'elle reste notre Reine de Coeur (...et nous remonter un peu le moral). Cette fois-ci, c'est pour s'essayer à un album de reprises agréablement surprenant, et d'abord par le choix des titres : chansons trop connues, s'abstenir ! Elle commence ainsi par reprendre l'étonnante Papi Pacify de FKA Twigs, jeune soulwoman sous influence trip-hop atonal, et concitoyenne anglaise de sa génération, encore peu connue et à qui elle passe donc gracieusement l'échelle. Bien sûr, sa... Lire la suite
Anna Calvi : One Breath
Chronique écrite le 14/10/2013, par Philippe
Retour ô combien attendu de la merveilleuse Anna Calvi, au commencement petite souris blonde apeurée et corsetée, à qui il suffisait de passer une guitare électrique et un micro... pour en faire une diva du rock. Mais autant sa voix entrait comme en catimini dans son premier disque avant de s'y déployer, autant des centaines de dates au compteur (où on a eu le bonheur de la croiser plusieurs fois) et une reconnaissance quasiment unanime du public rock, lui ont désormais donné une belle assurance ! C'est donc de plain-pied qu'elle entre en scène avec Suddenly, au refrain décomplexé (en "ah-ah-ah") : elle a enfin assimilé que la fêlure de sa voix chuchotée, tout comme la flamboyance de sa voix déployée, ont chacune le même effet chairdepoulesque sur les foules, tout autant que les fulgurances de sa chère Telecaster ... C'est donc tout aussi fièrement qu'elle aligne deux nouvelles chevauchées électriques dont elle a le secret : la western et baroque Eliza, la virile et rayonnante Tristan. Puis, soucieuse de ne pas répéter son sublime premier album (pourtant dieu sait qu'on lui aurait volontiers pardonné...) et/ou curieuse de nouveaux territoires, elle pousse assez vite ses mélodies dans des zones nettement plus inconfortables. Avec en... Lire la suite
Anna Calvi : Jezebel (VF) / Wolf like Me (EP)
Chronique écrite le 06/09/2012, par Philippe
Quoi ? Un troisième 45 tours d'Anna Calvi chroniqué ? Eh bien oui, car il en sort toujours et ils sont invariablement superbes - c'est que la prodigieuse petite guitariste-chanteuse en a gardé sous la pédale ! Et encore, on vous a épargné Desire/Joan of Arc, ainsi que Suzanne & I/Baby it's you dont les faces B sont pourtant juste ... indispensables. Mais... on ne l'avait pas déjà chroniqué celui-ci ? Eh bien non, car il s'agit de la version en français de Jezebel (telle que Charles Aznavour l'avait écrite, et telle que l'artiste l'a donnée une ou deux fois en live, devant quelques petits veinards), accompagnée d'une face B alternative : une reprise du... Lire la suite
Anna Calvi : Blackout / Surrender (EP)
Chronique écrite le 06/08/2011, par Philippe
Et hop, juste pour le plaisir d'être exhaustif avec notre révélation vocale 2011, une petite chronique du dernier 45 tours en date publié par la superbe Anna Calvi, actuellement fort occupée à retourner le coeur du public partout où elle passe en salle ou en festival, dans une longue tournée française qui vient d'ailleurs d'être prolongée (encore une douzaine d'occasions de la voir à ce jour, hourrah !). En vinyle uniquement donc, pour les fans énamouré(e)s, trois petits cadeaux. Un oeil annacalvique en plus gros plan que nous ne le verrons (hélas) jamais (bonne nouvelle, elle en a deux comme ça, et ils sont d'une intensité terrifiante, même à cinquante mètres). La... Lire la suite
Anna Calvi : Vidéo
Anna Calvi : écoute