Accueil Arnaud Rebotini en concert
Mardi 3 décembre 2024 : 6495 concerts, 27243 chroniques de concert, 5420 critiques d'album.


Arnaud Rebotini fait de la Dark & Acid House. Beats travaillés, évolution lente, c'est lancinant et parfois hypnotique...

Arnaud Rebotini : vos chroniques d'albums
Site

Arnaud Rebotini en concert

Il n'y a pas de concert actuellement annoncé pour cet artiste.

Arnaud Rebotini : l'historique des concerts

Sa.

24

Août

2024

Arnaud Rebotini, Disco Darblé, Fckn Nico, Hardrock Striker Folie's Pigalle - Paris (75)

Sa.

16

Déc.

2023

Ve.

13

Oct.

2023

Arnaud Rebotini, Damon Jee, Kabylie Minogue, Zaratustra, Dj Tsygan Kilometre25 - Paris (75)

Sa.

08

Juillet

2023

Arnaud Rebotini, Hardrock Striker, Zaratustra Glaz'art - Paris (75)

Je.

15

Juin

2023

Arnaud Rebotini, Chef And The Gang Usines Fagor Brandt - LYON (FRANCE) (69)

Ve.

05

Mai

2023

Arnaud Rebotini - Colin Benders Espace Culturel Barbara - Petite-Forêt (59)

Sa.

25

Mars

2023

Arnaud Rebotini, Hardrock Striker, Zaratustra, Italo Bass Line Technology, Berouzer + Angie (squadra Solare), Colapso Café Movida - Paris (75)

Sa.

17

Déc.

2022

FRONT 242 en concert
Front 242 & Arnaud Rebotini Arnaud Rebotini | FRONT 242 | She Past Away
Elysée Montmartre - Paris 18e (75)

Arnaud Rebotini : les dernières chroniques concerts 7 avis

Isaya, Feu Chatterton, Arnaud Rebotini (Au Large Festival)

Critique écrite le 10 juillet 2021, par Agent Massy

Théâtre Sylvain - Marseillle 4 juillet 2021

Isaya, Feu Chatterton, Arnaud Rebotini (Au Large Festival) en concert

Isaya Isaya ce soir là c'était les deux chanteuses-soeurs au premier plan, à cour et à jardin, et un multi instrumentiste (essentiellement clavier et percussion sur pad et tom basse) au milieu, un peu en retrait. Géométriquement, de face, ça fait un peu comme les cages d'un terrain de foot avec un poteau jaune à gauche et un poteau rouge à droite, et puis un goal, classiquement en maillot noir, au milieu. Isaya existe maintenant depuis plusieurs années, et on peut donc apprécier l'évolution de la musique du groupe, qui est passé à ma connaissance par des phases franchement folk, tribale, electro... Il me semble que la constante est une façon de chanter qu'on pourrait qualifier de " soul ". Avec bien sur l'importance de l'harmonisation vocale, puisqu'il y a deux voix. Les textes sont en anglais, et comme un public francophone ne fait forcément attention aux paroles dans ces cas là, elles donnent parfois le sens général du texte à l'avance. Elles commencent à vraiment bien s'y connaître franchement et à très bien écrire ce genre de trucs, en plus de très bien les réaliser. Globalement, tout est très joli dans ce set, dans le sens plein qu'on peut donner à ce terme, qui sera donc, en fonction de l'humeur ou des goûts,... Lire la suite

(mes) Eurockéennes 2019, 2/2 : Julia Jacklin, Stray Cats, Turnstile, The Roots, 88Kasyo Junrei, The Smashing Pumpkins, Arnaud Rebotini

Critique écrite le 09 juillet 2019, par Philippe

Presqu'île du Malsaucy, Evette Salbert 7 juillet 2019

(mes) Eurockéennes 2019, 2/2 : Julia Jacklin, Stray Cats, Turnstile, The Roots, 88Kasyo Junrei, The Smashing Pumpkins, Arnaud Rebotini en concert

Après un traditionnel et très agréable barbecue à la fraîche, on arrive un peu avant l'ouverture, pour un deuxième et dernier jour au Malsaucy, toujours baigné de soleil même pas caniculaire... Et on croise à l'entrée, parmi le tout-venant festivalier, toute une petite foule très typée : des rockeurs tatoués et gominés de frais (parfois avec des constructions capillaires impressionnantes), dont certains doivent également soulever de la fonte régulièrement ! Ils sont évidemment venus pour les dieux du rockabilly qui vont jouer tout à l'heure, impossible de les manquer ! C'est aussi là qu'on croise l'Eurockéen antédiluvien, déjà cité hier, celui qui a non pas deux mais presque trois fois l'âge moyen du reste du public, heureusement tiré vers le haut aujourd'hui par les rockabillies en goguette, pas vraiment des perdreaux de l'année non plus... Même si le rock'n'roll immortel - c'est bien connu - a pour effets naturels de rafraîchir le teint, retendre les collagènes, muscler le pelvis, brûler la cellulite et ralentir la chute des cheveux... Après avoir glandouillé un moment sous les arbres, un rafraîchissement à la main, on rejoint la toute mimi Julia Jacklin, qui attaque directement (enfin attaque, façon de parler, c'est très doux !)... Lire la suite

Bigflo et Oli, Feu! Chatterton, Kid Francescoli, Arnaud Rebotini, Muthoni Drummer Queen, Adieu Gary Cooper, Jamel Debbouze (Paleo Festival 2018)

Critique écrite le 14 septembre 2018, par Lionel Degiovanni

Paléo Festival, Nyon 21 juillet 2018

Bigflo et Oli, Feu! Chatterton, Kid Francescoli, Arnaud Rebotini, Muthoni Drummer Queen, Adieu Gary Cooper, Jamel Debbouze (Paleo Festival 2018)  en concert

Muthoni Drummer Queen Pour ce début de week-end, je découvre Muthoni Drummer Queen, qui est originaire du Kenya et de Suisse. Là aussi, j'ai eu un coup de cœur pour ce groupe qui arrive à allier le groove, le coté tribal et le rap. On peut d'ailleurs sentir le mixage de ces deux cultures en les écoutant. On pourrait dire que ce groupe fait de la "Bombe hip-hop dancefloor" ! Muthoni Drummer Queen est le projet qui unit la chanteuse kenyane Muthoni et les deux producteurs suisses Hook et Gr!. Depuis 2013, MDQ embrase les scènes helvétiques et africaines avec un son groove hip-hop à retourner les pelouses. Chanteuse, rappeuse et percussionniste, la Queen de la scène urbaine de Nairobi et ses acolytes règnent sans partage sur un royaume de beats R'n'B, reggae ou dancehall que ne désavoueraient pas M.I.A ou Beyoncé. Un show total entre musique, danse, lumières et costumes clinquants. La nouvelle Lauryn Hill, c'est elle. Je vous encourage à aller les voir sur scène, ils sont terribles ! Allez les découvrir sur mdqmusic.com et facebook.com/muthonidrummerqueen ! Adieu Gary Cooper Retrouvaille avec un groupe que j'avais découvert à Paléo : Adieu Gary Cooper. J'ai toujours autant de plaisir à les voir en live ; j'avoue qu'ils... Lire la suite

Festival Reevox : Yuksek + Arnaud Rebotini & Christian Zanessi + Chapelier Fou + MXCT

Critique écrite le 12 février 2013, par Sami

Cabaret Aléatoire - Marseille 9 Fevrier 2013

Festival Reevox : Yuksek + Arnaud Rebotini & Christian Zanessi + Chapelier Fou + MXCT en concert

Un Cabaret aléatoire très bien rempli, malgré le froid et une grosse affiche electro au Dock des suds, pour cette soirée de clôture de la deuxième édition du festival de musiques et arts électroniques Reevox. On suppose vu la moyenne d'âge que beaucoup sont venus pour Yuksek mais il y a déjà une assistance fournie et attentive pour les premiers artistes. En bon ignare des musiques expérimentales que je suis, il me sera difficile de décrire avec précision la création de MXCT, lesquels délivrent un travail de textures sonores minimaliste à souhait. Un souffle de plus en plus vrombissant, une genre de clarinette qui intervient parfois, dur dur de rentrer dans cet univers sans en avoir les repères. La jolie surprise de la soirée est venue du Messin Chapelier Fou, qui nous confesse être grippé mais en rien démotivé. Son deuxième album "Invisible" sorti l'an dernier laissait présager un bon moment mais c'est un peu plus que ça, un concert-trip original et assez envoûtant. Les morceaux à dominante instrumentale s'écoutent avec plaisir, et on aura rarement vu sur scène un équilibre aussi parfait entre électronique et organique. Le musicien à béret arrive presque à nous faire oublier qu'il est seul... Lire la suite

Arnaud Rebotini : les chroniques d'albums

Arnaud Rebotini : Someone Gave Me Religion

Chronique écrite le 29/09/2012, par Philippe

Arnaud Rebotini : Someone Gave Me Religion

Arnaud Rebotini ? C'est pas tout neuf ça... En effet, Someone Gave Me Religion est sorti déjà il y a une bonne année, et a été récemment (re)édité en vinyle. A vu de la profondeur du son à apprécier, on parle bien ici de PVC, et non du triste polycarbonate des CD, encore moins de la version .mp3 qui a pourtant largement hanté nos oreilles cette année, mais n'avait évidemment pas dévoilé toute la profondeur maniaque du son... Autant on est pas fan d'électro de branleur de mulots, autant on essaye en tout cas de suivre ce que font les électroniciens issus du rock. Comme ce garçon, Arnaud Rebotini, aux faux airs de Lemmy-qui-serait-allé-chez-le-coiffeur, au look viril assez lointain des canons du genre, et réputé pour le caractère un peu soupe-au-lait qui va avec... Evidemment, il ne tombe pas du ciel : ex-Zend Avesta, ex-Blackstrobe (duo électro-rock spécialisé dans les remixes, auteur... Lire la suite