Le Vercors Music Festival démarre pour sa deuxième journée sur une météo capricieuse mais avec une programmation éclectique prometteuse.Sarah Lenka ouvre cette journée avec une prestation qui, dès les premières notes, captive les spectateurs. Elle nous offre un répertoire emprunt de folk et de musiques du monde avec sa voix à la fois puissante et délicate, et un timbre envoutant. Avec des titres issus de son album "Women's Legacy" ainsi que de son dernier EP 'Mahala', elle honore les femmes du monde. Elle offre un hommage touchant à ses grands-mères en chantant en arabe, langue qu'elle annonce ne par parler. Elle réussi à transmettre une émotion brute et sincère, et les échanges sur les thèmes des chansons renforcent la connexion avec le public, créant une atmosphère intime et chaleureuse.El Gato Negro prend le relais avec un set énergique et vibrant. Le public se laisse facilement emporter par les rythmes mêlant jazz, hip-hop, et musiques traditionnelles africaines et cubaines. Axel, le chanteur charismatique, guide la foule avec une présence magnétique, entouré de musiciens de talent tels que... Lire la suite

Concert annoncé à 21h, j'arrive à 20h40 et la première partie Fowatile a déjà commencée depuis 20 minutes, sur scène 4gars tous avec des lunettes de soleil enfin, celles du chanteur sont sans verre et surtout fluorescentes. Leur style électro hip-hop est assez original et bien speed, les personnes appréciant ce style sont devant la scène, pour le moment la salle est loin d'être remplie. Moi je n'ai pas très accrochée, je ne suis généralement pas très fanatique de hip-hop. Mais il faut avouer que Elby Dillinger, le MC a une belle voix et qu'il sais bien l'utiliser par moment son ton est grave et presque gospel, puis il repart sur du speed. Je pense qu'il faudra les suivre. Comme par hasard, ils sont de Lyon, je leur souhaite de suivre la trace de Higtone par exemple, je reconnais tout de même l'efficacité du MC et des gars derrières. Leurs instruments électroniques sont cachés derrière des déco type anciens instruments, le synthé est habillé d'un vieux piano droit, la batterie électronique est vêtue de faux toms et d'une fausse grosse caisse, cela va avec leurs costumes de scène. Leur dernier morceau a tout de même réveillé le public et mis tout le monde en mouvement. Puis le MC demande une ovation pour Asian Dub Foundation qui... Lire la suite

L'avantage d'arriver en avance sur les festivals c'est que des fois il est possible d'assister aux balances. Il est donc 17 heure lorsque nous nous rendons aux balances. Il fait 35 degrés à l'ombre, il n'y a pas d'ombre... Finalement, une fois les balances des Fatals Picards finies, nous trouvons refuge dans la pinède "Backstage" pour y interviewer le groupe. Quelques bières plus tard il est temps d'aller se placer pour le concert. Pas question de rater une seule seconde du show que donneront dans quelques heures les membres du groupe phare de la scène asian beat, Asian Dub Foundation. En attendant ce sont les Fatals Picards qui montent sur scène. Verre de sky en main les quatre picards parisiens rentrent en scène. Paul le chanteur introduit le concert par un bref discours, "Ce soir concert interactif ! Toi public tu vas faire parti entière de notre concert. ". Le but est simple, s'amuser. Trois, quatre les cœurs de " Française des jeux" retentissent dans la pinède. Le public se prend vite au jeu, les premiers rangs sautillent, un peu plus loin ceux qui ne veulent pas rentrer dans les pogos reprennent les refrains le tout dans une ambiance bonne enfant drainée par les boutades et mises en scène des Fatals. Entre... Lire la suite

Apres l'excellent concert de Moussu T e Lei Jovents de la veille, nous sommes de retour, Bertrand Da Photographer et moi, à la Fiesta. Première surprise : beaucoup moins de monde devant les grilles... Meilleure organisation ? Programmation particulière ? Nous faisons donc notre entrée aux alentours de 21h00 (merci LIM pour ces jolis Pass Magiques) pile pour le début de Beat Assaillant. Fraîchement débarqué d'Atlanta, le groupe est une formation bien originale: un rappeur à casquette très stylé backé par un énorme Band : 3 cuivres, clavier, basse, guitare, batterie, DJ, choriste sexy... La fameuse scène sous la passerelle a même l'air un peu petite. Ça déchire, gros son. On passe du hip hop "tradis", au rock en s'arrêtant quelques fois sur la case funk and soul. Le public est bien présent : sous la passerelle, c'est plein et ça danse quand même pas mal. On ne peut pas dire que c'est l'hystérie collective mais la musique fonctionne à merveille et mes pieds bougent naturellement tout seul. Les cuivres y sont pour beaucoup ! Le chanteur se permet de nous envoyer quelques mots en français ! excellent ! Le groupe passe tellement bien qu'un bon petit rappel nous est même offert. C'est l'heure de se désaltérer. La... Lire la suite