Beechwood est un groupe new-yorkais de rock garage glam. Le furieux et doué combo était en concert en France fin 2018 puis en 2019 pour jouer des extraits de son excellent album "Inside the flesh hotel". Nouvel album intitulé "Sleep Without Dreaming" et concerts en France en 2022 !
Beechwood en concert
Beechwood : l'historique des concerts
Sa.
15
Oct.
2022
Ve.
14
Oct.
2022
Je.
13
Oct.
2022
Me.
12
Oct.
2022
Ma.
04
Oct.
2022
Sa.
01
Oct.
2022
Je.
29
Sept.
2022
Me.
28
Sept.
2022
L'Aéronef - EuraLille (59)
Beechwood : les dernières chroniques concerts 4 avis
Beechwood
Beechwood terminait sa tournée européenne ce samedi 15 octobre à la Lune Froide, un bar-concert de Nantes, situé non loin de l'île Versailles. Nous avions été complètement retournés par leur incandescente prestation à l'Ubu de Rennes, au tout début de leur périple sur le vieux continent, et nous ne pouvions nous résoudre à manquer leur dernière date aux portes de la Bretagne, malgré les deux heures et demie de route, afin de rendre un dernier hommage à ce qui s'impose définitivement à nos yeux comme l'un des meilleurs groupes de rock'n'roll de l'époque. Alors, oui, ce dernier jugement est totalement subjectif et excessif, mais le potentiel du groupe new yorkais est tel que l'on s'autorise à remiser aux vestiaires toute prudence et modération en matière d'évaluation. Car c'est un fait, Beechwood n'a pas la reconnaissance qu'il mérite : toutes ces chansons hallucinantes de mélodies rageuses et profondément émouvantes, comment peuvent-elles être encore ignorées, non pas du vaste monde, mais de ce qui reste encore du public rock ? Alors allons-y franco dans l'exagération pour espérer, plus que modestement, participer à la promotion de ces artistes d'exception. Arrivés à la Lune Froide, on retrouve en terrasse Gordon Lawrence,... Lire la suite
Beechwood + Dude Low
Après avoir inauguré sa tournée européenne la veille à l'Aéronef de Lille, les New-Yorkais de Beechwood ont imposé leur élégance de dandys trash à l'Ubu de Rennes, le 29 septembre. Une date qu'il ne fallait pas manquer, tant le groupe a marqué les esprits avec ses trois albums, devenant l'un des meilleurs représentants de la mythologie rock'n'roll. On parle bien de rock'n'roll, à une époque où tous les groupes sont qualifiés de post punk et usent - et parfois abusent - de rythmiques raides et sèches, comme de guitares tranchantes et répétitives. Avec Beechwood, on assiste au retour d'une musique violente et sexy, mélodique et fragile, révélant les failles et la force d'un combo ancré dans la réalité urbaine tout à la fois sordide et éclatante de Big apple. Ce trio devenu quatuor à la faveur de son éblouissant dernier album, "Sleep without dreaming", fascine par sa capacité à créer des chansons miraculeuses ; plus d'un se damnerait pour écrire un seul morceau de la qualité de "Front page News", "Boy before", ou "Melting Over You". On se dirige donc vers l'Ubu, excité et impatient comme rarement. Les locaux de Dude Low, en première partie, nous permettent de nous détendre agréablement en proposant une pop soyeuse et parfois éthérée,... Lire la suite
Beechwood, Death Valley Girls, Prettiest Eyes, Mod Con, Listener, Moody Beaches, Saba Lou, Draught Dodgers, Guadal Tejaz, The Kill Devil Hills, Knuckle Head (Binic Folks Blues Festival 2019)
Après une première journée de fort bon aloi (c'est un euphémisme, c'était gé - nial comme entrée en matière !) au Binic Folks Blues Festival 2019, on poursuit nos pérégrinations entre les trois scènes de La Cloche, de Pommelec et de La Banche le samedi 27 juillet. Même si les têtes d'affiches de Sleaford Mods sont attendues pour le lendemain, c'est aujourd'hui que l'affluence sera la plus forte, avec pas moins de 35 000 personnes sur le site, au bord de l'asphyxie en fin de soirée. Mais pas vraiment de désagréments pour autant, que du bonheur d'être là au milieu d'une foule aussi à fond pour le rock 'n roll ! Knuckle HeadOn se réveille de manière brutale avec les énervés de Knuckle Head, un duo de heavy blues limite metal qui déboîte sa mère (si je puis m'exprimer ainsi... ). Le batteur tatoué cogne comme un véritable taré, son acolyte à la guitare et au chant hurle comme un loup garou pas très commode, ce spectacle est donc réservé aux amateurs de plaisirs violents. La preuve : il y a une tête de bouc sur le pied de micro... A 16 heures et à jeun, c'est un peu dur pour nous. Ceci dit, le public de Pommelec est déjà à fond, lui. Quelle santé !Draught Dodgers L'heure du véritable réveil sonne avec l'électrisante fin de set des Australiens de... Lire la suite
King Khan LTD, Cannibale, Beechwood, The Schizophonics, Death Valley Girls, Steal Shit Do Drugs, Go!Zilla, Baby Shakes, Grindhouse, Henry's Funeral Shoe, Red, Kepa (Binic Folks Blues Festival 2019)
Excellente première journée au Binic Folks Blues Festival 2019 le vendredi 26 juillet avec moult artistes de rock 'n roll, blues, garage, punk à voir en live sous le soleil, pas loin de la plage et au milieu d'un très nombreux public aussi festif que bouillant ! En plus d'avoir lieu dans une superbe petite ville surnommée "le grain de beauté des Côtes d'Armor", ce festival hors norme - totalement gratuit, rappelons-le - est une perle rare dont la programmation hautement bandante réjouit années après années. Et visiblement on n'est pas le seul à penser ça : 20 000 personnes (rockers de tout poil, familles avec enfants, bikers, seniors, jeunes, bretons, touristes etc) ont fait le déplacement aujourd'hui pour le coup d'envoi de la fête... Kepa 15 heures 45. Le premier concert du festival est signé Kepa et il est pas dégueu du tout, le jeune one man band français délivrant une série de titres de blues à la fois rugueux, accrocheurs, bien envoyés et originaux... Doté d'une belle voix, d'un jeu de guitare aventureux et d'un répertoire solide, le mec sait tenir une grande scène en solo. Mention spéciale pour son superbe instrumental inspiré par Ennio Morricone, qui nous fait penser pour la première fois du week-end en regardant... Lire la suite
Beechwood : les chroniques d'albums
Beechwood : Sleep Without Dreaming
Chronique écrite le 15/02/2022, par Lb Photographie
Sleep Without Dreaming est le - déjà - 4ème album de Beechwood. Les New-Yorkais ont accompli une sacré trajectoire musicale depuis Trash Glamour en 2016, un premier opus à la rage quasi stoogienne. Un diamant brut désormais poli. Des churs, des arrangements folks, des mélodies parfois accompagnées par un piano discret, moins de guitares sur le devant, potards à 10... voilà les ingrédients d'un groupe qu'on pourrait presque croire assagi. Beechwood a ralenti le rythme, pris le temps de poser des guitares qui se répondent parfaitement derrière une section rythmique qui assoit le tout avec classe. Mais qu'on ne s'y trompe pas, on n'a quand même pas affaire aux Dandy Warhols non plus ! La voix est toujours éraillée, les feulements encore sauvages et le voile sombre de ceux qui dorment sans rêver bien présent. Les références sont plutôt à rechercher du côté de Jeffrey Lee Pierce et du Gun Club. Ce groupe a attiré mon attention avec son 2ème album Songs From The Land of Nod et la monstrueuse reprise des Kinks, I'm not like everybody else. Le reste s'est enchaîné assez rapidement, au point d'avoir eu la drôle d'idée d'acheter un billet pour un concert virtuel joué en plein confinement circa 2020. Bon, même... Lire la suite
Beechwood : Vidéo
Beechwood : écoute
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