One man band rockabilly qui déménage sévère en concert ! Le dénommé Bloodshot Bill se fait fort de plonger son public dans l'atmosphère des années 50. En concert en 2015 pour Les Nuits de l'Alligator !
Bloodshot Bill en concert
Bloodshot Bill : l'historique des concerts
Sa.
05
Mars
2016
Ve.
04
Mars
2016
Je.
03
Mars
2016
Ma.
01
Mars
2016
Lu.
29
Fév.
2016
Di.
28
Fév.
2016
Je.
25
Fév.
2016
Ve.
27
Fév.
2015
La Maroquinerie - Paris (75)
Bloodshot Bill : les dernières chroniques concerts 2 avis
Heavy Trash + Bloodshot Bill + Hayseed Dixie (Les Nuits de l'Alligator 2015)
Critique écrite le 26 février 2015, par Pierre Andrieu
La Coopérative de Mai, Clermont-Ferrand 25 février 2015
HEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAVY TRAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAASH !!!!!!!!!! La vieillesse n'est pas forcée d'être un long naufrage conduisant à suuuuucrer leeees fraaaaaises... A cinquante ans, le fringuant Jon Spencer - qui porte toujours beau dans son costard cintré, le petit salaud -, en est la preuve vivante ! Devant un public chauffé à blanc, le Blues Explosion Man a offert un concert du feu de Dieu à la Coopé à l'occasion des Nuits de l'Alligator, et en compagnie de ses joyeux potes Matt-Verta-Ray (guitare électrisante, voix sexy), Bloodshot Bill (contrebasse énormissime, cris) et Ramshackle Sam (batterie cognée, contrebasse), le groupe Heavyyyyyyyyyyyyyyy Traaaaaaaaaaaaaash, quoi ! Après un excellent petit set en solo guitare/voix de Bloodshot Bill en ouverture de soirée, une prestation looooooooooooooooongue de Hayseed Dixie (les bonnes blagues sont les plus courtes... reprendre du hard rock graisseux - et du Manu Chao ??!!? - en version country, ça va cinq minutes, hein), Heavy Trash prend d'assaut la scène pour délivrer un set sexy, enflammé, jubilatoire au possible et notoirement bandant... Avec des morceaux de rockabilly bien branlés dedans. Et aussi du rock 'n roll high voltage de derrière les fagots. Sans oublier... Lire la suite
Heavy Trash + Bloodshot Bill
Critique écrite le 23 mars 2010, par Pierre Andrieu
La Coopérative de Mai, Clermont-Ferrand 22 mars 2010
C'est un lundi soir de printemps après un hiver sans fin à Clermont-Ferrand (une ville souvent désespérante à cette saison... et étouffante en été) et l'on tient une sévère loose lorsqu'on se dirige à reculons vers la Coopérative de Mai... Mais pourquoi donc ? On devrait être fou de joie ! Après tout, la gauche vient de gagner les Régionales ici comme ailleurs - mais le Front National est reparti comme en 40 et les Socialistes sont toujours des mollasses sans programme incapables d'oublier leurs égos, comme leurs amis de L'UMP - et l'on se rend dans la salle de concerts la plus pointue de France - selon quelques journalistes sourds et aveugles, ça fait 10 ans qu'on vient chaque semaine et on avait plutôt remarqué une sérieuse baisse de la qualité de la programmation depuis 2 ans, malgré quelques jolis coups comme French Cowboy, BRMC, Archie Bronson Outfit, Charlotte G., A Place To Bury Strangers, Peter Doherty... -, donc, en route pour la joie ! Sauf que dans ce contexte un peu morose de crise généralisée à laquelle aucun homme politique n'apporte de réponse, pas de quoi être particulièrement rempli d'allégresse... Il y a néanmoins une bonne raison de sortir de chez soi : un concert intéressant à la Coopé, celui de l'excellent groupe... Lire la suite