Fascinés par le rock psychédélique, le krautrock, King Krimson et par la scène expérimentale nippone, les 4 Japonais de Bo Ningen ont été sacrés "groupe live le plus excitant de l'année" par le magazine anglais Mojo.
Bo Ningen en concert
Bo Ningen : l'historique des concerts
Me.
26
Oct.
2022
Lu.
12
Nov.
2018
Di.
11
Nov.
2018
Ve.
15
Sept.
2017
Le Quai - Théâtre 900 - Angers (49)
Lu.
16
Nov.
2015
Le Bikini - Ramonville St Agne (31)
Sa.
14
Nov.
2015
Stereolux - Nantes (44)
Ve.
13
Nov.
2015
La Cigale - Paris (75)
Je.
12
Nov.
2015
Le Grand Mix - Tourcoing (59)
Bo Ningen : les dernières chroniques concerts 3 avis
The Black Angels, Slowdive, A Place To Bury Strangers, Bo Ningen, Jen Cloher, Acid Mothers Temple, The KVB, Group Doueh & Cheveu, Elephant Stone, Cosmonauts, Ulrika Spacek, Moon Gogo, CFM, The Murlocs, The Holydrug Couple, Beach Fossils, Petit Fantome (Levitation France 2017)
Encore une super édition pour le festival Levitation France, l'immanquable version française du grand rassemblement d'obédience psychédélique initié à Austin, Texas par les Black Angels. Le combo d'Alex Maas avait d'ailleurs inauguré la déclinaison sise dans notre beau pays en 2013 en jouant au Chabada à Angers. Et cette année les récents auteurs de l'album Death Song étaient de retour au Quai, toujours dans la cité angevine, pour jouer en tête d'affiche tout en haut d'une très belle programmation ayant attiré 3700 personnes réparties sur les soirées des vendredi 15 (quasi complet) et samedi 16 septembre (complet complet). On vous raconte tout ça... Cosmonauts Vendredi dès 19 heures, dans la grande salle du Forum, le groupe Cosmonauts délivre un set superbement psyché, qui fait un énorme effet sur le public commençant tranquillement à se chauffer pour le reste de la soirée, qui s'annonce sous les meilleurs auspices. Comme son nom l'indique assez clairement le combo américain invite à faire ses valises pour la voûte céleste. Et il arrive à ses fins malgré l'horaire précoce et la lumière du jour qui perce encore au travers des vitres du Quai. Le mélange rock garage, influences Lou Reed/Velvet Underground et aspirations psyché... Lire la suite
Savages + Bo Ningen
Savages Gros concert de Savages dans une Cigale archi complète à l'occasion de la tournée du groupe franco anglais pour promouvoir le revêche mais réussi album " Adore Life "... Boosté par une très androgyne et sexy Jehnny Beth (qui s'autorise un numéro d'équilibrisme à la Iggy Pop au milieu du public), le combo 100% féminin envoie un post punk noise limite gothique qui électrise admirablement et donne des frissons dans l'échine. Les titres intenses (" The Answer ", " T.I.W.Y.G. "... ) s'enchaînent sans laisser aucun répit au public... Lire la suite
Savages + Bo Ningen
Bo Ningen Le concert de Savages à l'Epicerie Moderne de Feyzin, affiche complet. La première partie est assurée par le groupe Bo Ningen. Les membres du groupe sont tous japonais mais ce sont rencontrés à Londres. Bo Ningen, c'est une découverte en ce qui me concerne, même si je me suis renseignée un peu sur leur sujet et ai écouté quelques morceaux sur la toile avant le concert. Je sais donc à quoi m'attendre, et effectivement, l'idée que je m'étais faite sur leur compte va s'avérer être la bonne. Comment dire... Bo Ningen ça déménage ; on peut même dire, à la vue de la chevelure de ces quatre énergumènes, ça décoiffe. Leur rock - à la fois psychédélique, saccadé, explosif et abrasif -, est matraqué par une batterie qui s'emballe et qui ne semble plus vouloir s'arrêter. Bo Ningen nous offre une explosion de riffs où le chant en japonais semble tantôt agressif, tantôt à la limite de la possession. A moitié vide, la salle se remplit rapidement avec les retardataires restés au bar, qui certainement attirés par le bruit venant de la salle, viennent rejoindre le nombre de curieux déjà scotchés, hébétés devant ce groupe complètement dément... Lire la suite
(mes) Eurockéennes 2015, 1/2 : Grunge, Ibeyi, Seasick Steve, The Bawdies, Etienne Daho, Bo Ningen, Sleaford Mods, Major Lazer, Foxygen, Chemical Brothers
Critique écrite le 06 juillet 2015, par Philippe
Presqu'île du Malsaucy, Evette Salbert 4 juillet 2015
Et soudain, le doute saisit le chroniqueur, déferlant sur son esprit tel une armée grimaçante et marronnasse de Wildlings revenus d'entre les morts, franchissant le Mur écroulé en ricanant, piétinant le corps encore chaud de l'infortuné... pouf, pouf. Bref, le chroniqueur se dit : Et si j'arrêtais de chroniquer ces putain d'Eurockéennes ? Ca va quand même faire la 22ième année d'affilée, ce n'est pas raisonnable de s'entêter à écrire de telles chroniques d'environ 140 lignes par journée, à l'heure où l'on perd l'attention de la plupart des gens, surtout les plus jeunes, après 140... signes. Les quelques commentaires amicaux reçus chaque année (enfin, surtout les meilleures années !) étaient quand même assez loin des rêves de gloire immarcescible auxquels son style fougueux et surtout jamais bavard (hum) semblait pourtant le destiner... Et puis à quoi bon continuer à essayer, après avoir écrit l'an dernier, certainement la plus belle introduction de chronique de festival de toute son existence ? D'autant que sur le papier, cette édition 2015 était très largement la moins engageante dont on puisse se souvenir ! Ne s'est-on pas esclaffé en lisant les premiers noms annoncés à l'hiver dernier ? Et ceci alors que d'autres festivals de... Lire la suite