Le Suédois Bror Gunnar Jansson se présente souvent sur scène façon one man band folk-blues rock 'n roll... Il évolue dans dans la lignée de Charley Patton et Jeffrey Lee Pierce. En concert avec le festival Les Nuits de l'Alligator 2014. En tournée en France en trio en septembre/octobre 2020 !
Bror Gunnar Jansson en concert
Bror Gunnar Jansson : l'historique des concerts
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26
Janv.
2024
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Je.
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Bror Gunnar Jansson : les dernières chroniques concerts 8 avis
Bror Gunnar Jansson + Muddy Gurdy
Très belle affiche franco suédoise et 100% blues rock avec Muddy Gurdy et Bror Gunnar Jansson au 106 de Rouen mi septembre. Pour sa réouverture, la superbe salle située sur les quais de Seine dans un ancien hangar portuaire (il y a même des grues derrière... ) est en version gradins, comme c'est de rigueur partout en cette putain d'année 2020. La soirée va néanmoins être cool car malgré les mesures sanitaires en vigueur, le public, assis, est venu aussi nombreux qu'enthousiaste et le son est classe, ce qui est appréciable pour un concert. Muddy Gurdy En ouverture de programme, les Auvergnats de Muddy Gurdy chauffent parfaitement la salle et même un peu plus : très bien accueillis par le public, visiblement fan, les trois musiciens peuvent déployer tout à loisir leur blues rock joliment teinté de musique trad. Tia Gouttebel (guitare et voix), Marc Glomeau (batterie) et Gilles Chabenat (vielle à roue) déroulent donc une superbe set list, sans temps mort ni ventre mou, une série de morceaux à la fois efficaces et envoûtants. Comme sur l'album du même nom que le groupe, paru en 2018 et qui devrait bientôt avoir un successeur, en live on peut apprécier l'alchimie qui se crée entre la voix grave et la guitare virtuose (sans excès) de la... Lire la suite
Bror Gunnar Jansson + Yannick Owen
Une soirée sans fioritures se profile ce soir au Périscope, jolie salle lyonnaise dont la taille et la configuration favorisent la proximité et l'intimité d'une écoute privilégiée... Deux ‘lonely men' ce soir, racontant des histoires et besoin de personne pour les y aider... De la musique, authentique, ressentie, éprouvée, présentée par deux musiciens, avec tout d'abord la folk de Yannick Owen pour se mettre en appétit, jeune artiste venu avec sa guitare présenter ses compositions... Un jeu de guitare solide, techniquement abouti en finger picking, joliment exécuté pour accompagner une voix qui marque immédiatement les esprits... D'une justesse et précision impressionnante, elle s'avère être un support parfait pour y étaler des textes très personnels, qui fixent l'attention du public rapidement... oui, qu'elle voix ! on en ressent rapidement quelques influences, un peu de Cat Stevens peut-être, Neil Young et Lou Reed aussi, les morceaux s'enchaînent, rendant le personnage attachant et sympathique par une certaine réserve s'en émanant... Quelques jolis riffs entraînants, une valse aussi, un peu bossa même, les neufs morceaux se sont enchaînés avec un peu de la mélancolie que génère ce style et déjà sonne la fin du set... Un seul... Lire la suite
Bror Gunnar Jansson + Whitney + Frank Carter & The Rattlesnackes + Pond + Black Angels + Teenage Fanclub (This is Not a Love Song - J3)
THIS IS NOT A LOVE SONG. ... But This a (good) live song. Dimanche, 11 juin 2017. Nous avons raté les jours un et deux mais les retours, glanés de ci, de là sur le site sont plus que favorables. Les prestations de Primal Scream, Make Up (folie furieuse), Echo and the Bunnymen, Thee Oh Sees, The Groowlers et consorts furent des réussites (mais pas Grandaddy qui s'était fait porter pâle)... Ce qui, rétrospectivement, ne peut nous faire que regretter notre absence... Détail qu'il n'est pas inutile de mentionner, le festival est très bien organisé d'un point de vue "citoyen" avec ses poubelles de "recyclage", sans oublier ses ateliers pour les petits et les grands... Les festivaliers sont d'ailleurs très sympas, tout comme l'équipe qui organise. Puissance maxi sur l'échelle du cool. Le suédois Bror Gunnar Jansson, one man band, donne une prestation magnifique. On le croirait natif de Tupelo ou Clarksville, tant son blues, est "roots". Excellent. Il avait d'ailleurs enchanté le public dans la Grande Salle, samedi soir. C'est peu dire que beaucoup sont contents de le revoir !!! Whitney, apparait comme une erreur de programmation tant son lien avec l'Indie -Pop chère au Festival parait ténu... Pour autant, ça ne signifie pas qu'il... Lire la suite
(My) This Is Not A Love Song (TINALS) Festival 2017 : Bror Gunnar Jansson, Frank Carter & the Rattlesnakes, Slaves (+ Whitney, Kokoko, Laura Sauvage)
This Is Not A Love Song ! Ou plutôt TINALS, puisqu'on est désormais presque intimes, avec cette troisième édition pour nous (la deuxième en famille), où l'on est comme toujours venus en voisins et en parfaits touristes, désinvoltes et sandalés, pour une grosse demi-journée seulement, avec quand même la ferme intention de dépouiller notre premier compte Cashless ici - la dernière innovation hyper-pratique en festoche depuis l'an dernier, et qui manquait encore ici-bas ! Ce festival est donc vraiment définitivement "le place où être", même pour un petit saut dominical, d'autant qu'il est toujours gratuit pour les mômes, sur simple réservation. C'est aussi assez marrant, le dimanche, d'y croiser nombre de collègues marseillais.es et autres, en partie carbonisé.e.s par leur déjà 1 ou 2 jours dans les pattes... Rien n'a changé ici ! Programmation au poil, jauge raisonnable, accueil sympa, cadre quasiment idyllique et créativité des sides attractions (y compris pour les kids - confection de collier de bonbons, instruments bricolo électro-zarbis, console de jeux où l'on joue avec une fourchette et une cuiller, etc etc), pour les grands un choix très correct de bières (Grim ambrée en pression ? super !) et une qualité constante de la... Lire la suite
Bror Gunnar Jansson : les chroniques d'albums
Bror Gunnar Jansson : Moan Snake Moan
Chronique écrite le 16/01/2015, par Philippe
Un one-man-blues-band, un de plus, est-ce bien raisonnable ? Eh bien oui, car on en a jamais assez et, quand on y pense, ce sont bien ces petits artisans (souvent des galériens de la route) qui perpétuent au mieux l'esprit hobo des bluesmen fondateurs. Le dernier repéré s'appelle donc Bror Gunnar Jansson, suédois de son état, et il joue tout seul guitare, percussions et occasionnellement saxophone. Son jeu de guitare/batterie, assez classique dans le genre, pourrait le condamner à un relatif anonymat s'il n'avait pas en plus une magnifique voix déglinguée, nasillarde et parfois dégueulante, et surtout une aptitude à composer des titres superbes (The Church Bell's Tone), et à tirer ainsi le meilleur de moyens forcément limités. Son organe peut aussi bien vous secouer façon Tom Waits tant il semble parfois agoniser (William is back et Butch, splendides complaintes éméchées), que vous toucher inexplicablement en version à jeun, à la façon du grand Micah P. Hinson (New Mountain Ballad, poignante).... Lire la suite
Bror Gunnar Jansson : Vidéo