Heavy rock australien.
Burn In Hell en concert
Burn In Hell : l'historique des concerts
Sa.
31
Août
2019
Di.
28
Juillet
2019
Sur les Quais - Binic (22)
Ve.
27
Mai
2016
Divan du Monde - Paris (75)
Ve.
28
Nov.
2014
Sa.
31
Août
2013
Les Michauds - Giggors et Lozeron (26)
Di.
04
Août
2013
Sur les Quais - Binic (22)
Sa.
03
Août
2013
Sur les Quais - Binic (22)
Me.
19
Juin
2013
Thunderbird Lounge - Saint-Étienne (42)
Burn In Hell : les dernières chroniques concerts 3 avis
Los Bankalos + Burn In Hell
C'est déjà la rentrée à la Salle Gueule (qui n'a peut-être pas fermé de l'été, d'ailleurs ?). Mais c'est encore l'été et donc, il y fait une chaleur torride : 30 degrés au rez-de-chaussée, 50 au sous-sol, où personne ne fume plus, heureusement... Ca nous a manqué, depuis le changement de clim' au Molotov et surtout la désolante fermeture de la Machine à Coudre, cette sentation de hammam rock, d'autant que la dernière fois ici c'était l'hiver... Comme toujours, accueil super sympa, après avoir croisé pas mal de têtes connues et notamment les têtes de pistoleros de Burn in Hell, en goguette dans la foule et dehors. Ayant raté le premier groupe, début de soirée, pour moi (après une pénible extraction de canapé, et après avoir abandonné ce pauvre Malotru dans une merde noire, comme d'habitude), avec les très agréables Los Bankalos, groupe qui continue à progresser régulièrement depuis notre dernière rencontre en 2016. Ils ne sont plus du tout bancals à vrai dire, leur rock'n'roll garage façon old school, chanté en français (respect !) et sans basse, a gagné en précision par rapport à mon souvenir, le son est propre (ce qui n'est pas toujours évident ici !), c'est en quelque sorte simple et de bon goût ! En outre, la chanteuse est sympa... Lire la suite
Binic Folks Blues Festival : Burn in Hell, Ben Salter, Waves of Fury, Shannon & the Clams, Mikal Cronin, the Feeling of Love, Libido Fuzz, David Evans, Mississipi Gabe Carter
Lorsque Pierre m'a parlé de ce festival où il allait à Binic je me suis dit que ça pourrait être amusant de s'y croiser. Les arguments ne manquaient pas : à une heure de là où je me trouvais en Bretagne, gratuit, rock, en plein air, au bord de la mer ... un petit coup d'oeil à la programmation... sur les 24 groupes programmés sur les 3 jours je n'en connais que 2 : Thee oh Sees et Movie Star Junkies deux excellents groupes (que je ne connaîtrais pas si je comptais sur la télé ou la presse écrite pour m'informer) découverts respectivement à l'Embobineuse et à la Machine à Coudre. Du coup il y avait de fortes chances que le reste de la programmation soit a l'avenant. En plus des 2 déjà cités : 9 groupes venant d'Australie, 6 des USA, 5 de France, 3 de Bretagne (ce n'est pas moi qui fait la distinction mais les programmes) et enfin 1 d'Angleterre (1) ... Pour achever de me séduire, une affiche dessinée par Tonio Marinescu (ancien batteur des cultes Casse Pipe) dont je me suis empressé d'acheté la sérigraphie. Restait à choisir le soir ... vendredi pas possible car soirée crêpes chez les Pouliquen, samedi pas possible car au Fest Noz de Taulé pour les Frères Morvan, ce sera donc dimanche ... Le temps d'aller relever les filets, faire... Lire la suite
Ultrateckel + Burn in Hell
Arrivé à Rennes, s'échapper de la ville encombrée le plus vite possible, effleurer la rocade ouest pour s'en extraire direction Brest et St-Broc, comme ils disent là-bas. Suivre la 4-voies N12 qui devient rapidement, rassurez-vous, champêtre, tourner à gauche à Montauban sur la N164. Dépasser Loscouët-sur-Meu sans rigoler ni plaisanter si vous êtes avec des bretons (même si le nom est rigolo et le village évidemment, cerné par les vaches, ils vous regarderaient comme si vous aviez lisié sur le tapis - j'ai testé). Suivre toujours la direction le-bout-du-monde à l'ouest, ne pas rigoler davantage en dépassant, heu, Merdrignac, et vous ne pourrez pas le manquer sur la route, sortie Loudéac, le panneau "Pub Follette", lointainement inspiré de celui du Roy's Motel d'Amboy, Route 66, Californie. Quelques bordées de juron en breizh de plus et vous êtes rendu. Et le Pub Follette a pareillement valeur d'oasis que le pré-cité Roy's Motel. Voyez donc : on atteint le Roy's par l'est après 250 kilomètres de désert, quasiment rectiligne, le réservoir bouillant, la bouche râpeuse et la sueur dans les yeux, prêt à tuer pour une bière, fut-elle américaine. Pareillement, d'où qu'on vienne, l'on se présente après un sacré bout de pampa verte et... Lire la suite
Burn In Hell : les chroniques d'albums
Burn In Hell : Dr Awkward
Chronique écrite le 03/10/2012, par Zeu Western Manooch
On aurait adoré dérouiller avec eux, à l'aune de la création de ce Dr Awkward ; non qu'on ait senti à son écoute que les quatre Australiens de Burn In Hell aient ramé, mais bien qu'ils en aient sué sang et eau. On aurait adoré être enfermé avec eux, passer des heures à les regarder embraser leurs idées. On aurait surement compris ce que franchir le Styx pouvait signifier. Rarement aura-t-on "vu" une musique nous arpenter le cortex aussi rageusement, s'étirer, rugir ou soudain faire patte de velours, sans qu'à aucun moment la prochaine beigne émotionnelle ne soit prévisible. Comment vous les décrire ? Imaginez des pirates punks largués là dans le dernier port du bout du bout, avec pour seule alternative d'y honorer quelques putes à crack... Lire la suite
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