Tom Rowlands et Ed Simmons se sont rencontrés à l'Université de Manchester en 1989 lorsqu'ils étaient étudiants. Le premier album des Chemical Brothers, 'Exit Planet Dust', a marqué le point de rencontre entre la culture dance et le rock'n roll. Depuis, les albums se succèdent... Le duo crée un univers où rêve et réalité se croisent et s'entremêlent au cur d'un son fluide et harmonieux. Les Chemical Brothers étaient en concert à l'AccorHotels Arena à Paris le 3 octobre 2018 et en tournée des festivals... En tournée en 2023 !
The Chemical Brothers en concert
The Chemical Brothers : l'historique des concerts
Sa.
26
Août
2023
Parc de Saint Cloud - St Cloud (75)
Ve.
18
Août
2023
Stade Bayard - Charleville Mezieres (08)
Me.
16
Août
2023
Stade Bayard - Charleville Mezieres (08)
Sa.
30
Juillet
2022
Bietenplein - Tirlemont
Di.
10
Juillet
2022
Esplanade du Lac - Aix les Bains (73)
Ve.
15
Nov.
2019
Lu.
08
Juillet
2019
Stravinski Hall - Montreux (Ch)
Me.
03
Oct.
2018
The Chemical Brothers : les dernières chroniques concerts 27 avis
(mon) Rock en Seine 2015, 2/2 : Kadavar, Pond, Last Train, Fuzz (Ty Segall), Jungle, Mark Lanegan Band, Parquet Courts, (Chemical Brothers)
Après une bien belle première journée passée vendredi au Parc de Saint-Cloud, et un samedi où nous avons vaqué ailleurs dans la capitale (...à entendre les retours et à voir les vidéos des Libertines hier soir ici, nous n'avons rien manqué de crucial, à part sans doute une énième occasion de nous foutre de ce brave Pete Doherty...), retour à Rock en Seine, par un après-midi objectivement caniculaire. Personne ne se plaindra de ne pas finir les festival sous une de ses pourtant traditionnelles averses, mais quand même, heureusement qu'il y a des arbres partout, et des robinets ici ou là... Et donc d'autres moyens de se rafraichir que ces nouveaux verres, d'une mesquinerie sans nom, de 47 cl... et souvent servis trèèèèèèèèèès lentement ! Curieusement, un certain nombre de bars du festival semble en effet avoir recruté comme barmen et barmaids, des enclumes unijambistes sous Tranxène, tout en leur mettant dans les pattes une application dont on se demande bien à quoi elle peut bien servir, à part à les ralentir encore et à leur éviter du calcul mental de niveau CM1... Les organisateurs ne semblent pas réaliser le manque à gagner que peut représenter un tel niveau de service, mais après tout, tant mieux pour eux, s'ils n'ont pas besoin des... Lire la suite
(mes) Eurockéennes 2015, 1/2 : Grunge, Ibeyi, Seasick Steve, The Bawdies, Etienne Daho, Bo Ningen, Sleaford Mods, Major Lazer, Foxygen, Chemical Brothers
Critique écrite le 06 juillet 2015, par Philippe
Presqu'île du Malsaucy, Evette Salbert 4 juillet 2015
Et soudain, le doute saisit le chroniqueur, déferlant sur son esprit tel une armée grimaçante et marronnasse de Wildlings revenus d'entre les morts, franchissant le Mur écroulé en ricanant, piétinant le corps encore chaud de l'infortuné... pouf, pouf. Bref, le chroniqueur se dit : Et si j'arrêtais de chroniquer ces putain d'Eurockéennes ? Ca va quand même faire la 22ième année d'affilée, ce n'est pas raisonnable de s'entêter à écrire de telles chroniques d'environ 140 lignes par journée, à l'heure où l'on perd l'attention de la plupart des gens, surtout les plus jeunes, après 140... signes. Les quelques commentaires amicaux reçus chaque année (enfin, surtout les meilleures années !) étaient quand même assez loin des rêves de gloire immarcescible auxquels son style fougueux et surtout jamais bavard (hum) semblait pourtant le destiner... Et puis à quoi bon continuer à essayer, après avoir écrit l'an dernier, certainement la plus belle introduction de chronique de festival de toute son existence ? D'autant que sur le papier, cette édition 2015 était très largement la moins engageante dont on puisse se souvenir ! Ne s'est-on pas esclaffé en lisant les premiers noms annoncés à l'hiver dernier ? Et ceci alors que d'autres festivals de... Lire la suite
Festival de Nimes : The Do + Crystal Castles + Metronomy + Chemical Brothers
Seule virée à Nîmes cette année pour nous, mais d'importance, puisque ce concert constitue mon cadeau d'anniversaire, avec les maîtres anglais de l'electro en tête d'affiche. A notre arrivée, The Do commence son show. Je ne les reconnais tout d'abord pas (nous ne sommes pas encore dans les arènes), car le 1er titre est justement clairement tinté d'électronique. C'est leur tubissime Over my shoulder qui nous les fera reconnaître, dans une orchestration originale. Nous n'aurons pas l'occasion d'en entendre plus, ayant décidé de nous sustenter à quelques centaines de mètres de là. Nous nous plaçons donc dans les gradins pour assister à l'entrée sur scène de Crystal Castles. Je les décrirai comme 3 jeunes gens au look débraillé avec veste kaki, capuche et Doc Martens de rigueur. Dans le genre stéréotype destroy/punk/emo, il est difficile de faire mieux. J'entrevois de bons beats sur les 1ers morceaux, malheureusement bien vite éclipsés par des nappes de claviers datées à souhaits. Il m'avait semblé entendre une fille chanter au début, même si les basses et la batterie avaient tendance à trop la couvrir. Le DJ/clavier s'en donne à cur joie, tel un teufeur fou et quand elle devient audible, la voix s'avère on ne peut plus... Lire la suite
Main Square Day 1 : Limp Bizkit, Queens of the Stone Age, Eels, Selah Sue, Beady Eye, Warpaint, Shaka Ponk...
Back to the roots pour la 7 éme édition du Main Square. Si les dernières années le Main Square avait pu habituer à une programmation dont le line up donnait des allergies oculaires (où sur la même ligne figuraient Black Eyes Peas, Rammstein, David Guetta et Pearl Jam). Cette année marquait donc un grand retour aux fondamentaux. En alliant nouveaux talents (Selah Sue, I blame Coco...), et valeurs sures (Queens Of The Stone Age, Pj Harvey, Portishead...), tout en restant cohérent, le MSF promettait une belle édition dans la citadelle arrageoise. Pretty Reckless, sexy show. Ouverture du Main Square par la plus charmante des demoiselles de la programmation (plus belle que Pj Harvey si si !!!), Taylor Momsen accompagnée de ses boys du Pretty Reckless. Bottes talonnées en cuire, portes jarretelles et T Shirt Metallica. Difficile de résister à l'ex gossip girl passée du côté obscur de la force. Et si depuis sa reconversion en bad girl du show biz les critiques n'en finissent plus de fuser. Ce vendredi Taylor a néanmoins fait fermer des bouches lorsqu'elle a ouvert la sienne. Une voix rock au service de riffs puissants comme a pu le démontrer le fameux "Make me wanna die". Warpaint, mélopée planante pour gouter entre... Lire la suite
The Chemical Brothers : les chroniques d'albums
THE CHEMICAL BROTHERS : SINGLES 93-03
Chronique écrite le 15/11/2003, par Pierre Andrieu
Les Chemical Brothers reviennent sur leurs dix ans de carrière en onze singles imparables et offrent même à leurs fans deux nouveautés correctes avec The Flaming Lips et le rapper K-OS. La particularité du duo est d'avoir su collaborer fructueusement avec des artistes aussi doués et différents que Bernard Sumner (New Order), Noel Gallagher (Oasis), Hope Sandoval (Mazzy Star), Jonathan Donahue (Mercury Rev), Richard Ashcroft (The Verve) et Bobby Gillespie (Primal Scream). En intégrant des éléments de rock et de de pop à leurs rythmes électroniques survoltés, les frères chimiques... Lire la suite
Chemical Brothers : COME WITH US
Chronique écrite le 11/02/2002, par un fan
4ème album de l'un des plus brillants groupes de musique électronique du moment, c'est le paroxysme, l'apothéose, dans la foulée de l' "out of control" du précédent album Génial, de la pure bombe, chaque morceau est différent, innovant et pourtant l'ensemble se reconnaît dans...
Chemical Brothers : Surrender
Chronique écrite le 18/06/1999, par Michon
Tres bon nouvel album des precurseurs du big-beat. Paroles sur pas mal de chansons (etonnant).Quelques titres exceptionnels, dont le single qui cartonne en ce moment sur fun radio delire grave trop cool et la premiere track aux sons electro/experimentaux.Pas mal d'innovations par...
The Chemical Brothers : Vidéo