Noise rock
C'est du rock à l'état brut, ça joue fort et ça claque...
Claque en concert
Claque : l'historique des concerts
Je.
11
Avril
2024
Je.
04
Avril
2024
Sa.
17
Fév.
2024
Je.
13
Juillet
2023
L'Intermédiaire - Marseille (13)
Je.
04
Mai
2023
Sa.
01
Avril
2023
Sa.
18
Mars
2023
Me.
15
Fév.
2023
Claque : les dernières chroniques concerts 8 avis
Claque, The Great Montana Collapse
Ma soirée ne s'arrête pas là, je pousse pour descendre à la Salle gueule pour y retrouver d'autres habitués (retrouver le début de cette chronique par ici)(Claque)Au programme Claque et son noise rock. Peu de monde mais cela permet à la nouvelle formation de se faire les griffes avec notamment à la batterie Panagiotis (bassiste de Odd Beast). On attend l'album. (https://claquemusic.bandcamp.com/track/in-my-room)(The Great Montana Collapse)Pour clôturer, du postcore avec un groupe de Dijon, The Great Montana Collapse pour leur première fois à Marseille. Les trois front men se relaient au... Lire la suite
Tessina, Les Crakers (concert de soutien au Vortex)
Il y a des soirs d'hiver où l'on a envie de rester au chaud à la maison pour manger une bonne raclette. Mais quand c'est une soirée de soutien au Vortex et bien on sort et on se retrouve à la Maison Hantée. Sur place on peut croiser des habitués tels que Catalogue ou Ask the Light, Monastr.Le Vortex c'est quoi ? Le Vortex c'est l'agenda (ou la revue comme je l'ai entendu hier soir) des concerts underground de Marseille. Le Vortex c'est une publication papier mensuelle, tirée à 1500 exemplaires, regroupant plus de 20 salles et lieux marseillais dans lesquelles on peut venir écouter chaque soir toutes sortes de musiques. A ce jour on en est au numéro 119, je vous laisse le soin de compter le nombre de pliages de... Lire la suite
Bongzilla + Claque + Urethane Damage
Perdu dans ses pensée, Place Notre-Dame-du-Mont, Marseille, France, Raoul Duke cherchait un moyen de qualifier sa patrie aux tétons tristes, un prisme à spectre large pour analyser ceci. Mais ce pays aussi avait les tétons tristes, tout avait le téton triste. Titiller la pointe d'un sein avec une langue aguerrie aux chatouilles déprimait le premier léché venu. Le mot meme de tétons n'était plus qu'une énième barricade derrière laquelle des populations à l'agonie et indéfinies pouvaient se carapater à l'envie, pour bombarder depuis ce bunker de fortune l'inconnu qui, par définition récente, constituait la menace. "Ce haschich local me rend paranoïaque", se disait Raoul en titubant sur la pente qui perçait son tracé vers les entrailles du centre ville. La vague de l'occident était partie de ce port, lieu de liaison vers d'autres départs civilisateurs. A grand coups d'arquebuses et d'esprit de supériorité.Venir suer dans le ventre de Marseille se révélait n'être pas une si bonne idée que ça. Les masses hébétés, exaspérées par toutes lectures excédant les trente minutes de concentration, bave au lèvres, slip en feu, le bousculaient jusqu'à le faire tournoyer sur lui même. A chaque coup d'épaule, le dilemme entre laisser tomber son... Lire la suite
Mercer + Claque
Après une virée au vernissage de l'expo de Thierry Guitard aux Editions Même pas Mal, je débarque au Leda Atomica pour une séance de pliage de Vortex avant le début des concerts vers 20h30. Je ne connais pas le premier groupe, Mercer, mais le nom titille le fan de SF, c'est le nom d'une religion virtuelle dans Do androids dream of electric sheep? de ;P.K Dick (aspect absent d Blade Runner adapté du roman). Le trio délivre un pop-rock très 90's, légère mais travaillée. Cela tranche avec les derniers groupes plutôt oppressants vus ici et ce qui va suivre. Là on est plus dans la ballade, aux mélodies entrainantes qui peut toutefois se faire cavalcade rock. Originalité du groupe, de jolis passage chanté en canon, comme sur Caribou, si j'ai bien entendu le titre, mon morceau préféré de leur set, avec ce final trituré à la guitare, qui s'accélère jusqu'au final. La dernière partie se fera en acoustique, ce qui met encore plus en avant la voix derrière un côté folk apaisé. Changement complet d'ambiance, avec Claque, qui comme son nom l'indique, te balance plutôt du gros mur de son dans la gueule. Dès le premier morceau, tu es pris dans cette violence avec les amplis réglés sur 11. Oppressante, la musique l'est autant... Lire la suite