Saxophoniste jazz
Daniel Huck en concert
Daniel Huck : l'historique des concerts
Di.
14
Mai
2017
Ve.
25
Nov.
2016
Ve.
05
Fév.
2016
Rouge Belle de Mai - Marseille (13)
Je.
13
Août
2015
Villa Rose près mas neuf - MONTOULIEU (34)
Sa.
04
Juillet
2015
Château Laurens - Agde (34)
Sa.
07
Fév.
2015
Salle Eugene Lacroix - Aramon (30)
Sa.
05
Juillet
2014
La Halle - Monségur (33)
Je.
24
Avril
2014
Daniel Huck : les dernières chroniques concerts 3 avis
China Moses & Raphaël Lemonnier
Les lumières du Théâtre Armand se tamisent. Des bandes sons d'époque sont diffusées. L'époque, ce sont les années 55/63, lorsque Dinah Washington était au sommet de son art. China Moses et Raphaël Lemonnier se sont découvert une passion commune pour The Queen Of The Blues et poursuivent sur scène l'hommage rendu sur l'album This One's For Dinah. China avait 6 ans lorsqu'elle a découvert Washington en fouillant dans les disques cachés par sa grand-mère qui trouvait les paroles trop suggestives. Un début en douceur : Fine Fine Daddy, Mad About The Boy et Is You Or Is You Ain't My Baby sont agrémentés d'une rythmique (Fabien Marcoz / contrebasse, Jean-Pierre Derouard / batterie) pensée pour mettre en valeur la sensuelle voix de China. Sensuelle et passionnée : elle se délecte à nous raconter la vie de Dinah (7 maris, 2 fils, 200 enregistrements...) mais aussi quelques anecdotes (16 manteaux de vison, plein d'amants dont Quincy Jones). Les transitions pourraient être un poil plus concises : son aparté / truc entre filles sur l'attente du coup de fil après un rendez-vous galant et la métaphore du contrebassiste comparé à une paire de chaussures m'ont paru interminables. En même temps, je ne peux pas comprendre, je suis un... Lire la suite
Festival Rhythm'N'Funk 1/4 : Post Image + Triple Swingers Invitent Daniel Huck
Critique écrite le 27 novembre 2009, par Mcyavell
Espace de l'Huveaune - La Penne-Sur-Huveaune 26 novembre 2009
La sixième édition du Festival Rhythm'N'Funk a commencé ce jeudi soir. Quatre jours d'immersion dans les musiques afro-américaines. Le festival s'installe pour la première fois à l'Espace de l'Huveaune dans la ville de la Penne-Sur-Le-Fleuve-Du-Même-Nom. Lumineux et vaste espace bien agencé (bar fonctionnel qui propose l'exquise Cagole en pression et toute la gamme Fada !, expo photos, stand Aya Music, batteries exposées...) Triple Swingers invitent Daniel Huck There Is No Greater Love est l'occasion de faire connaissance avec les musiciens : Daniel Huck et ses 40 ans de carrière souffle dans son saxo alto avant de s'exercer au scat. Christian Mornet (piano), Christophe Levan (contrebasse) et Gilles Alamel (batterie) provoquent des applaudissements par leur solo respectif. Apparaît ensuite Kristin Marion qui s'attaque direct à un titre du répertoire d'Ella Fitzgerald, I'm Beginning To See The Light. Sans détrôner The First Lady Of Song, elle fait apprécier son timbre de voix puis la qualité de son scat sur This Can't Be Love (merveilleux duo avec Daniel Huck lui aussi très à l'aise dans cet exercice). Les standards se succèdent et avec eux les émotions : Shiny Stockings, After You've Gone... Les larmes sont... Lire la suite
Monique Hutter / Daniel Huck Quintet
Monique Hutter / Daniel Huck Quartet est l'affiche de ce dernier jeudi d'hiver. L'événement est estampillé par deux labels de qualité : sa programmation par le Cri du Port et la présence de Daniel Huck. Je fonce tête baissée, persuadé qu'il s'agit de jazz vocal. Ca part fort avec un standard bien fidèle au répertoire habituel du facétieux saxophoniste, égal à lui-même instrumentalement et humoristiquement parlant. Morceaux choisis : "On joue Seven Come Eleven, parce que c'est là qu'on habite... les Cévennes" ; "On a pris comme nom de domaine hutterhuck.net parce que hutterhuck.col, c'était pas possible". Et puis, il introduit Monique Hutter, son épouse en nous prévenant d'emblée : elle ne fait pas de jazz mais de la chanson. Quant au quartet, il est modifié à la suite de la luxation d'épaule de Patrick Diaz remplacé par un habitué du lieu, le toujours inspiré guitariste Paul Pioli. Il devient même quintet avec l'ajout de la contrebasse de Romain Noël. On est effectivement à cent lieues de ce qui se joue d'ordinaire dans cette salle : cette soirée-là fut chanson française et l'accordéon y fut roi. Cela dit, les textes de Monique Hutter sont intéressants, on pense à la qualité d'écriture des chansons interprétées par Juliette... Lire la suite