Enfant terrible de la techno anglaise, entre hard-beat et "flows" hip-house.
Dave Clarke en concert
Dave Clarke : l'historique des concerts
Sa.
27
Janv.
2024
Ve.
29
Mai
2020
Ve.
16
Août
2019
base de loisirs Val du Riot - Caudry (59)
Sa.
14
Juillet
2018
Site Festival - Dour(B)
Ve.
23
Mars
2018
Di.
13
Août
2017
Esplanade de la Petite Palud - Landerneau (29)
Sa.
29
Juillet
2017
Ve.
21
Avril
2017
Dave Clarke : les dernières chroniques concerts 3 avis
festival Marsatac : Brodinski, Infected Mushroom, Boris Brejcha, Ninos du Brasil, Joris Delacroix, Dave Clarke, Superpoze, ...
Pour cette deuxième journée du festival Marsatac, on regrettera encore l'absence de formation Hip Hop déjà remarquée hier. Que de l'électro, pure et dure pourrait-on rajouter, et pourtant comme je pourrais m'en rendre compte tout au long de la soirée, on pourra y entendre des sonorités vraiment variées. D'ailleurs, c'est un constat que nous ferons en fin de soirée, la musique électronique porte un multitude de tendances musicales, parfois oubliées à tort et qui peuvent vraiment être excellentes quand cela est bien diffusé. Arrivé à 22h30, je commence la soirée en salle principale avec un Joris Delacroix, jeune artiste qui joue live sur deux synthétiseurs séquenceurs et propose une musique électro un peu housy, plutôt conventionnelle mais assez bien ficelée tout de même Mais, c'est pas mal pour débuter la soirée en tout cas, il faut l'avouer ! Mais je préfère passer au Cabaret où on me conseille d'aller voir Superpoze. Super pote de Fakear qui était à Marsatac l'an dernier (et avec qui il a fait des études), Gabriel Legeleux aka Superpoze est un autre petit jeunot, seul au milieu de ses synthés et autres boites à rythme. Il y a même une guitare. Sa musique sonne très downtempo et est plutôt bien travaillée. Malheureusement pour... Lire la suite
Electrobotik Invasion
Quand on a vu le lineup, on savait déjà que la soirée risquait d'être sympa. Gaiser, Laurent Hô, Matador, Andy C, Dave Clarke, Foreign Beggars, Dusty Kid ...Du jamais vu à Marseille, ou en tout cas de mes propres yeux. Et une fois sur place, la claque dans les dents : Une scène extérieure gigantesque avec à côté un manège "pour les grands", un sound system qui se fait entendre, trois autres salles chauffées à blanc dès le départ, des shops divers autour du bâtiment, des bars un peu partout... L'orga a mis le paquet, et le fait voir. Seul petit bémol, le nombre de personnes présentes vers le début de la soirée. Les Docks étaient loin d'être pleins à 22h, et l'ambiance -même si elle n'était pas mauvaise, loin de là- faisait plus penser à un before qu'à une vraie soirée electro. L'impression ne s'est pas arrangée quand le son a été baissé dans la salle T-800 (hardtek/tribe !) une bonne demi-heure après, mais heureusement, le gros de la soirée commençait. Le set d'Uto Karem entrait dans le vif du sujet au même moment. Pas besoin... Lire la suite
ODYSSEUS : Destination Electronique
Le collectif Phosphène (www.association-phosphene.org), regroupant plusieurs associations de la Cote d'Azur, avait relevé le pari audacieux de proposer un festival de musique électronique dans le Zénith de Toulon, répondant au nom d'Odysseus. Un nom d'origine antique qui prenait tout son sens dans une salle configurée comme une arène greco-romaine, pouvant accueillir jusqu'à 4000 clubbers et ravers. La programmation proposait également un second line-up dans une salle plus intimiste, le Zénith Omega, devant environ 400 personnes. Il était environ 22h30 lorsque PAUL NAZCA, du label Scandium, label techno émérite originaire de Nimes, prenait les platines dans un Zénith déja au 3/4 plein, délivrant une techno efficace, tantot sombre, avec des morceaux signés Johannes Heil, Umek ou encore PAUL NAZCA. Ce fut ensuite au tour d'OXIA, digne représentant de la maison grenobloise Goodlife, de prendre le relais. Son style, un peu différent qu'à l'accoutumée, flirtait non seulement avec la groovy-tech mais aussi l'electro et l'acid-house, donnant ainsi... Lire la suite