Accueil Deadwood en concert
Dimanche 17 novembre 2024 : 6587 concerts, 27224 chroniques de concert, 5420 critiques d'album.


Deadwood assure des prestations blues arrachées, hantées par des beats industriels sombres mais parfois touchées par la grâce d'une chanteuse-muse invitée...

Deadwood : vos chroniques d'albums
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Deadwood en concert

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Deadwood : l'historique des concerts

Ve.

08

Juillet

2022

Mekanik Kantatik en concert
Nyctaloop | Full Fuel - compagnie Oxyput | Mekanik Kantatik | Deadwood Mekanik Kantatik | Deadwood
Toit Terrasse - Friche Belle de Mai (13)

Sa.

26

Mars

2022

Sa.

19

Mars

2022

Sheilager, Dealers, Chrysis, Deadwood,zaang, Survival Zero Salle Contrepoint - Chalons en Champagne (51)

Sa.

05

Mars

2022

Benoit Dettori Le Fuzz - Marseille (13)

Ve.

04

Fév.

2022

Di.

24

Oct.

2021

Sa.

29

Sept.

2018

Festival Impressions visuelles et sonores en concert
La Canaille, Doghouse, Deadwood, DJ Daz, the Crush, Swan Ink, Potochkine, F.U.R., Binaire, DJ Chica Festival Impressions visuelles et sonores | Binaire | Deadwood | Swan Ink | La Canaille | Dj Daz
Espace Julien (13)

Je.

03

Mai

2018

Cowboys from Outerspace en concert
Deadwood - Cowboys From Outer Space Cowboys from Outerspace | Deadwood
Le Moulin - Marseille (13)

Deadwood : les dernières chroniques concerts 9 avis

Deadwood + Mekanik Kantatik (On Air : l'Art Attrape)

Critique écrite le 14 juillet 2022, par Pirlouiiiit

toit de la friche Belle de Mai, Marseille 08 juillet 2022

Deadwood + Mekanik Kantatik (On Air : l'Art Attrape) en concert

J'y vais j'y vais pas ? Allez tant pis, on essaie d'oublier un peu le boulot et ses échéances, on fait comme si on était pas fatigué et on se met en route vers la Friche Belle de Mai pour la soirée " on air " organisée par l'Art Attrape sur le toit de la Friche et qui pour la modique somme de 5 euros nous donne a voir et entendre pas moins de 4 artistes, à savoir Nyctaloop et Oxyput que je connais pas encore et Mekanik Kantatik et Deadwood que je connais plutôt pas mal au contraire. Partis de chez nous à l'heure où Nicolas et Violetta (Mekanik Kantatik) étaient censés attaquer, nous savons déjà que ce n'est pas ce soir que nous ferons connaissance avec Nyctaloop et Oxyput. J'étais inquiet à l'idée de faire tout le trajet avec Alice sur le siège arrière de mon vélo sous gonflé, mais c'est finalement le vélo de Cyril qui crèvera au niveau de la fin de la rue saint Savournin le contraignant à finir sur le porte bagage de celui de Svet. Malgré tout cela nous arriverons bien avant que Mekanik Kantatik ne finisse, ce que je ne réalise pas tout de suite. En effet plutôt que de profiter du cadre et de la magnifique vue à contre jour avec le soleil couchant, je me précipite au pied de la scène pour immortaliser un peu cela aux côtés... Lire la suite

Deadwood

Critique écrite le 28 mars 2022, par Philippe

Le LAM, Marseille 25/03/2022

Deadwood en concert

Entre Deadwood et nous, c'est déjà presque une vieille histoire... On avait eu un peu l'impression d'assister en direct à leur naissance en version 2.0 sur scène, il y a plus de 6 ans (@ Lollipop Music Store & Machine à Coudre, un même soir de décembre 2015), quand un Jeremy suant et légèrement paniqué, invitait timidement sur scène une Violette un peu flippée elle aussi, et le tout pour nous mettre une inattendue mais magistrale claque dans la gueule : des voix incroyables tous les deux, des compositions rock ou électro sombres, mélodieuses et marquantes, un charisme éclatant ! Le tout traduit quelques longs mois plus tard sur un vinyle superbe, qui avait été salué à juste titre, jusque dans Rock'n'Folk. On les a revus depuis mais on a aussi raté plusieurs de leurs passages à Marseille et c'est donc une joie sincère de les revoir enfin au LAM, attachante petite salle de concert du quartier, surtout avec un son toujours costaud, mais qui nous paraîtra bien plus agréable qu'il y a quelques semaines pour les prometteurs Novitchok 234. Certes on n'y connait personnellement rien en réglage de son (private joke !) : on sait juste détecter, depuis 30 ans qu'on assiste à des concerts de groupes souvent assez velus, si on est au dessous ou... Lire la suite

Deadwood + Binaire (Festival Impressions Visuelles et Sonores)

Critique écrite le 12 octobre 2018, par pirlouiiiit

Espace et Café Julien, Marseille 29 septembre 2018

Deadwood + Binaire (Festival Impressions Visuelles et Sonores) en concert

En complément de la chronique de Sami (parti avant que son carrosse en commun ne se transforme en citrouille) sur les concerts de DJ Daz, the Crush, FUR, La Canaille, et Potochkine, j'ajouterai quelques mots sur les concerts de Deadwood et Binaire. Pas énormément cela dit car même si je suis très amateur des deux groupes, que j'ai vus sur scène plusieurs fois et dont j'ai les disques, je n'ai pas accroché autant que les fois précédentes. Bon peut être que la perspective de me lever tôt le lendemain matin pour aller préparer la Rue du Rock n'y était pas étrangère non plus. Dans l'ordre il y avait donc Deadwood sur la grande scène de l'Espace Julien. Pris par surprise en 2015 lors de leur showcase au Lollipop Music Store, revus quelques mois plus tard à la Meson, puis en 2016 au Poste à Galène et plus récemment en 2018 au Moulin en version Cabaret, c'était donc la cinquième fois et la première sur une scène aussi grande. Peut-être un poil trop grand pour eux qui semblaient presque recroquevillés au centre de celle-ci derrière leurs machines et leur squelette d'oiseau. Ajouter à cela un jeu de lumière minimaliste très sombre, l'effet de surprise en moins par rapport aux fois précédentes (Juliette est désormais présente sur scène... Lire la suite

Cowboys from Outerspace + Deadwood - 20 ans du label Lollipop Records

Critique écrite le 04 mai 2018, par Philippe

Le Moulin, Marseille 3 mai 2018

Cowboys from Outerspace + Deadwood - 20 ans du label Lollipop Records en concert

Enorme affluence ce jeudi soir... au stade Vélodrome et sur les terrasses de bar ! Avec certes un peu de chance dans le tirage, notre club de foutebolle municipal s'est hissé ce soir-là en demi-finale d'une Coupe d'Europe pour la première fois depuis 14 ans ! Ah... et pis il pleuviote, aussi ! Pas évident donc d'amener du monde au Moulin pour célébrer les 20 ans du pourtant très méritant et sexy label Lollipop Records. Le fondateur & boss Stéphane Signoret a pourtant programmé ce soir avec un certain à-propos, l'une de ses premières signatures (la première ?), et aussi la dernière en date : une affiche à faire baver de joie les amateurs phocéens ! Autant dire que celles & ceux qui sont donc là à l'heure du coup d'envoi, sont vraiment le dessus de la crème du public rock. Pourtant il a bien été prouvé que (au moins) deux punqueroqueurs locaux présents ce soir ont baigné dans le foot... au point d'avoir joué avec Zinedine Zidane (enfin, il y a plus d'un siècle). C'est la première fois que je vois le Moulin en configuration club, et il faut avouer que ça fait une bien jolie salle, façon petit Poste à Galène, avec de belles lumières et acoustique. Y'a plus qu'à mettre de la vraie bière au bar et ce sera le paradis (ce n'est... Lire la suite

Deadwood : les chroniques d'albums

Deadwood : II

Chronique écrite le 27/04/2018, par Philippe

Deadwood : II

Rhaaââh... Enfin ! Les mois et les années sont passées depuis la première rencontre du label Lollipop Records et du duo Deadwood (venu jouer en showcase dans le magasin du même nom, bien sûr, devant nos gueules déjà béantes), mais ça valait le coup d'attendre : Violette & Jeremy Deadwood ont enfin sorti très précisément et sur ce label (where else ?), le disque qu'on espérait tellement d'eux... Non pas que le premier fut mauvais, déjà riche en promesses électro-blues, mais il date d'une époque où les Deadwood n'étaient qu'un et donc nécessairement, moins inédit en sensations. Bien évidemment, Mr Jay a réalisé depuis qu'il avait trouvé la voix, The Voice, celle de Miss Vee, qui lui manquait pour cartonner et devenir réellement captivant... L'album commence pourtant par un trompe l'oeil électro-rock avec basse à l'octave, façon Vive la Fête, sympa mais déjà beaucoup entendu ces dernières années. Tout rentre heureusement dans le désordre dès que les loups garous sont lâchés, à la bascule du morceau : le duo vocal retrouve sa place naturelle (dans les graves, donc), chatouillé par un orgue puis défoncé par une guitare et un Theremin. Puis ses marques sur Run Baby Run, belle cavalcade punk rauque (de plus en plus rauque) - et plus tard sur sa... Lire la suite