Deap Vally est un très sexy et très efficace combo féminin de punk blues rock US sous influence Free Kitten, Hole et White Stripes...
Deap Vally en concert
Deap Vally : l'historique des concerts
Sa.
25
Mai
2024
Chabada - Angers (49)
Ve.
24
Mai
2024
Di.
08
Juillet
2018
Ile du Gaou - Six-Fours-les-Plages (83)
Di.
16
Juillet
2017
Site Festival - dour
Me.
12
Juillet
2017
Ma.
04
Oct.
2016
Me.
04
Déc.
2013
Ma.
03
Déc.
2013
Deap Vally : les dernières chroniques concerts 1 avis
Thee Oh Sees - The Soft Moon - Deap Vally - Fidlar - Carpenter Brut (Pointu Festival 2018)
Critique écrite le 14 juillet 2018, par Phil2guy
Presqu'île du Gaou- Six-Fours-les-plages 7 juillet 2018
Le Pointu Festival est en train de devenir un de ces festivals d'été réellement incontournables qui contraste avec les grosses machines habituelles aux programmations interchangeables et souvent sans réelle identité. Situé sur le magnifique site de la presqu'ile du Gaou à Six-Fours-les-Plages, il propose (gratuitement !) une affiche éclectique et exigeante (pour ne pas dire pointue) en matière d'Indie Rock au sens large et s'étale sur deux jours. Il y a une scène unique, ce qui permet au festivalier de ne pas trop s'éparpiller. Après avoir assisté la veille aux très bonnes performances de groupes aussi différents que Suuns, Sleaford Mods et Godspeed You Black Emperor (pour retenir les plus marquants), on entame ce deuxième jour pour un programme tout aussi alléchant. L'affluence est aussi importante que le premier soir, plus de 6000 personnes. Mais le site du festival est suffisamment grand pour que l'on ne se sente pas les uns sur les autres. Deap Vally C'est un duo féminin, Deap Vally, qui ouvre le bal par une chaleur encore torride. Ces deux jeunes Californiennes, dont l'une assure le chant et la guitare et l'autre la batterie, se sont faites remarquer en jouant, entre autres, avec Queens of the Stone Age ou dans de gros... Lire la suite
Deap Vally : les chroniques d'albums
Deap Vally : Sistrionix
Chronique écrite le 22/07/2013, par Philippe
Récemment, on se moquait ici assez peu charitablement de Hanni el Khatib, bogoss' ténébreux de Los Angeles, artisan correct d'un garage rock très plaisant... et totalement sans originalité. Force est de reconnaître que les Deap Vally, de la même cité des anges, émargent dans la même catégorie : "groupe qui aurait pu être génial, s'il n'était pas arrivé après un autre qui a tué à jamais le style". Hanni passera sans doute sa vie à imiter les Black Keys ? Fuck ! Les deux jolies minettes ne feront peut-être jamais rien de mieux que les à jamais référentiels White Stripes. C'est vrai que ce n'est pas fair-play pour elles d'arriver maintenant... Que peut-on faire en blues-rock bruyant et salingue, joué à deux sans tricher, en formation guitare/chant + batterie, que n'aient pas déjà fait le guitar hero de Third Man Records et sa frangine ? Sans doute rien. En commençant leur album avec une très référencée The End of the World au power riff gras comme un chichi fregi, et en le finissant avec une chanson nommée Raw Material, on ne peut certes pas s'attendre à de l'ouvrage finement ciselée ! Et alors, who cares ? Est-ce pour autant qu'on aimera moins... Lire la suite