Entre pop capiteuse, folk revêche et rock bruitiste, Devastations devrait retenir l'attention (et ne plus la laisser partir) des fans de Nick Cave, des Tindersticks, de The National et des Walkabouts.
Influences:
Nick Cave, Tindersticks, The National, Walkabouts.
Devastations en concert
Devastations : l'historique des concerts
Me.
14
Fév.
2007
Ma.
13
Fév.
2007
Devastations : les dernières chroniques concerts 1 avis
Devastations
Devastations est un groupe australien qui vient de sortir un excellent album chez Beggars, label anglais de renom qui ne badine pas avec la qualité. Le CD Coal est très bon car il comporte 3 ou 4 pépites rock. La voix du chanteur, neveu spirituel de Nick Cave est assez... Lire la suite
Devastations : les chroniques d'albums
Devastations : Yes, U
Chronique écrite le 25/10/2007, par Pierre Andrieu
Etrange groupe que celui formé par les Australiens - basés à Berlin et Londres - de Devastations : entre pop gothique, folk désenchanté, post rock ténébreux et ballades de crooner mélancolique... Le nouvel album de Tom Carlyon - voix, guitare, piano, synthés -, Hugo Cran - batterie - et Conrad Standish - voix et basse - (renforcés ici par Andrea Lee et Nigel Yang aux synthés, au violon et au piano) se démarque du précédent opus (Coal) qui avait une parenté assez évidente avec les univers de Nick Cave, Tindersticks et The National. Sur Yes, U, les morceaux sonnent moins folk roots et sont plus influencés par les sonorités du début des années 80 (Joy Division & co). Cela donne un disque soufflant à la fois le chaud - les... Lire la suite
Devastations : Coal
Chronique écrite le 23/11/2006, par Pierre Andrieu
Entre pop capiteuse, folk revêche et rock bruitiste, l'album Coal de Devastations devrait retenir l'attention (et ne plus la laisser partir) des fans de Nick Cave, des Tindersticks, de The National et des Walkabouts. Malgré un nom évoquant plus un sinistre combo de Death Métal austro hongrois adepte du satanisme qu'un groupe berlinois de pop langoureuse (et borderline), Devastations possède en effet de multiples qualités qui marquent immédiatement l'auditeur : des morceaux bien écrits, un univers troublant et orageux, un son percutant et une voix grave, dans la lignée du chanteur des Bad Seeds et de ses disciples doués... Après une ballade douce amère placée en ouverture du disque, Sex and Mayhem, on rentre véritablement dans le vif du sujet avec le sublime The night I couldn't stop crying, une chanson de pop torturée littéralement dévastée de l'intérieur par une guitare grinçante. Définitivement un grand morceau... Et ce n'est pas le seul, car Coal regorge de titres superbes. Du genre de ceux... Lire la suite