Are we not men ?
Devo en concert
Devo : l'historique des concerts
Ma.
03
Juin
2008
Devo : les dernières chroniques concerts 1 avis
Devo
Je suis entre en contact avec la musique de Devo il y a maintenant un paquet d'annee lorsqu'un pote d'avais passe une cassette sur laquelle figurait quelques uns de leurs morceaux dont bien sur Are we not men ? et l'etonnante reprise des Rolling Stones Satisfaction. C'est a peut pres tout ce que je connaissais de ce groupe mythique sinon en tout cas culte qui apparement n'a jamais vriament cesse d'etre en activite ... Aussi lorsque l'annee derniere j'ai vu qu'ils passaient a Summerstage je me suis empresse de rentrer en contact avec eux ... Malgre tout la bonne volonte de Jerry de Devo impossible d'assister au concert ... du coup lorsque j'ai vu que cette annee ils passaient au Hammerstein Ballroom je suis repasse a l'attaque. Cette fois ca s'est bien passe (merci Micheal !) j'allais enfin pouvoir voir l'un des rares groupes repris sur disque par Sloy (Jocko homo) (la seule autre etant You Got it des Deche Dans Face). Apres un tres chouette mini concert de Clap Your Hands Say Yeah au Seaport Music Festival, j'arrive en nage devant le Hammestein Ballroom l'une des grosses salles "classes" comme le Roseland Ballroom ou j'avais vu Nick Cave and the Bad Seeds il y a maintenant deux ans. En arrivant les deux pass sont bien la,... Lire la suite
Devo : les chroniques d'albums
Devo : Something For Everybody
Chronique écrite le 22/03/2011, par Philippe
Pas faciles à choper sur scène (seul un certain Pirlouiiiit y a réussi en 2005 et encore, à New York), les Devo n'avaient certes pas enregistré d'album depuis 20 ans, quand est paru ce Something of Everybody en 2010. Groupe post-punk sous influence krautrock, à l'aspect aussi crétin que leurs textes situationnistes étaient/sont malins, ils ont toujours été instantanément reconnaissables à leurs déguisements colorés, et à leurs tronches pas possibles historiquement couverts de cache-pots en plastique. Ils trainaient donc un côté culte, qui compensait leur relatif anonymat au 21ième siècle, jusqu'à l'année passée où ils sont repartis à la conquête de leur Amérique natale dans une tournée qui s'est avérée - paraît-il - triomphale. Et ce même si bien sûr, ils sont maintenant plutôt quinquagénaires et bedonnant et semblent désormais tourner à la pinte, plutôt qu'au speed. Il faut dire qu'ils s'étaient armés de ce disque à la pochette chic et choc, qui suggère que le Devo nouveau (matérialisé par son... Lire la suite