Formé par Warren Ellis (violon), Mick Turner (guitare) et Jim White (batterie), le groupe australien Dirty Three fait du rock expérimental... Le résultat est barré et captivant ! En concert en mai 2012...
Dirty Three en concert
Dirty Three : l'historique des concerts
Di.
18
Nov.
2012
Me.
30
Mai
2012
Epicerie Moderne - Feyzin (69)
Ma.
29
Mai
2012
Lu.
28
Mai
2012
Di.
27
Mai
2012
Ve.
22
Fév.
2008
Salle Omnibus - St Malo - St Malo (35)
Je.
21
Fév.
2008
Ma.
19
Fév.
2008
Dirty Three : les dernières chroniques concerts 3 avis
Shellac + Dirty Three + Helen Money
Une fois de plus, un plateau ultra classe est proposé par l'Epicerie Moderne, salle de concert située à Feyzin, à quelques kilomètres de Lyon. La salle, ouverte depuis 2005, propose chaque année une des plus belles sélection de concerts indés, un lieu emblématique pour tout amateur de musique résidant en province. Ce mercredi 30 mai 2012, ce sont les grands Shellac que l'Epicerie accueillait, accompagnés des Australiens de Dirty Three et de l'Américaine Helen Money. Chronique d'un des concerts de l'année 2012 ! Helen Money Helen Money, ou Alison Chesley de son véritable patronyme, est originaire de Chicago dans l'Illinois. Cette violoncelliste évolue seule sur scène, accompagné de nombreuses pédales d'effets et autres samples de boucles de batterie. Une première partie plutôt impressionnante, parfois assez proche du travail de Warren Ellis (Dirty Three) sur ses bandes originales réalisées au coté de Nick Cave. Vivement recommandé ! Dirty Three Un petit quart d'heure après la fin du set (relativement court) d'Helen Money, ce sont les trois Australiens de Dirty Three qui prennent possession de la scène. Formé en 1992 à Melbourne, le trio se distingue par des morceaux instrumentaux composés avec un violon (Warren Ellis), une... Lire la suite
Shannon Wright + Dirty Three (+ Low)
Apres 15 jours passes a Boston sans avoir le temps/courage/occasion d aller voir un concert (tentative de Grant Lee Philipps soldee par un sold out decourageant) me voici a New York avec un pass photo obtenu la veille, pour cette affiche allechante. Le probleme c est que j habite dans le Bronx qui est assez eloigne du Bowery Ballroom. Mes affaires rapidement deposees, je repars et apres quelques peripeties me voici en compagnie d Olivier et Amandine devant la salle. Paye pas vraiment de mine de l exterieur, on dirait une boite ... On nous fait descendre un escalier, c est bon je suis sur la liste (ca me fait toujours angoisser ces trucs), passe par les vestiaires et le bar, on remonte et nous voici dans la salle. Belle salle, taille intermediaire entre le Moulin et le Poste a Galene (et oui il faut connaitre un peu les salles marseillaises) genre 500 personnes ? Un balcon, public assez nombreux et sur scene Shannon Wrigth qui s excite. Seule a la guitare ou au piano, juste accompagnee d'une batteuse. Malgre la faim qui me tenaille (n ai avale que 5 cookies de toute la journee) j'apprecie bien. Un melange de Catpower, Blonde Redhead avec une chanteuse beaucoup plus imposante que ce que j'avais pu... Lire la suite
Indochine+Noir désir+Gonzales+Dionysos+Chokebore+Mass Hysteria+Tarmac+Morning Star+An Pierlé+Jeronimo+Alughana+la Ruda Salska+Remy Bricka....
Critique écrite le 17 juillet 2002, par M. Verriez
Festival de Dour (Belgique) 11-14 juillet
Dour 2002 : Comme chaque année, le festival de Dour (Belgique) propose une affiche des plus complètes et des plus éclectiques. Sept scènes cohabitent sur la plaine de la machine à feu, qui sera le théâtre de découvertes, de confirmations ou de déceptions. Jeudi 11 : Le premier groupe à se produire est Alughana, et c'est la première bonne surprise de ce festival. Sur scène : un violon, une cornemuse, un digeridoo accompagnent des instruments plus rock, ainsi que la voix de la chanteuse. Le tout forme un mélange de musique traditionnelle celtique et de métal avec des touches électro, qui est fort réussi. Le concert terminé, on reste dans la magic tent pour voir Pneumatic Head Compressor, et là je dois bien avouer que je n'ai pas bien saisi la subtilité, voir l'intérêt de ce rock- hard-core. Direction ensuite la grande scène (Last Arena) pour assister au concert d'un groupe du coin, Girls in Hawaï, qui nous proposent un pop rock assez classique, empruntant ainsi ce fameux long tunnel musical creusé entre l'Europe et les Etats-Unis. Retour dans la magic tent pour écouter starfield season, mélange de rock indus métal assez expérimental. Nous retournons ensuite vers la Last Arena ou se produit Daniel Hélin et sa fanfare. Hélin évolue dans... Lire la suite
Rock Dans Tous Ses Etats
Critique écrite le 03 juillet 2002, par samuel charon
Evreux 28 juin 2002
Vendredi 28 Juin : Alors que s'égosille la jeune pousse de The Music, qui semble rencontrer des difficultés liées à la mue et à son statut de groupe Anglais du mois, la majorité des festivaliers patiente encore à l'extérieur de l'enceinte, qui accueille la 19ème Edition du "Rock Dans Tous Ses Etats". La première soirée, complète depuis plusieurs jours en raison de la présence d'une locomotive sponsorisée par Jean-Marie Messier & co, s'avéra très éclectique et riche en événements. Doté de deux scènes, dont la seconde un peu plus petite, le festival proposait de nouveau cette année le Banana Club, voué aux musiques électroniques : pour le moment ce troisième site cherche un peu son public et rares sont les adeptes à se donner corps et âme aux dieux de la House. Mardi Gras Brass Band, fanfare germanique assez méconnu en France, investissait la grande scène vers 19h00, pour proposer un son digne des meilleures shows de twirling. Certains devaient se souvenir, subrepticement, d'une majorette -avec un zeste de nostalgie- qu'ils admiraient lors des défilés communaux et dont ils étaient secrètement amoureux. Sur la scène B, enchaînait, sans transition, ...And You Will Know Us By The Trail Of Dead. Remplaçant de... Lire la suite