Auteur de mixes diaboliques à 3 platines et de quelques fameux remixes, Agoria est devenu une icône incontournable de la scène électronique. Un digne rejeton de Jeff Mills... Sébastien Devaud, aka Agoria, est toujours en voyage pour jouer entre Paris, Londres, New-York, Berlin, Bruxelles ou Oslo. En tournée en 2013 !
Agoria en concert
Agoria : l'historique des concerts
Ve.
14
Juillet
2023
Site de Kerampuilh - Carhaix-Plouguer (29)
Ve.
16
Déc.
2022
Cité des Sciences - Paris 19ème (75)
Sa.
15
Oct.
2022
Di.
10
Juillet
2022
Théâtre de Verdure - Calvi (20)
Di.
03
Juillet
2022
Plage du Prado - Marseille (13)
Ve.
10
Juin
2022
Musée Dauphinois - Dauphinois (38)
Sa.
04
Déc.
2021
Palladium - Genève (Ch)
Ve.
06
Août
2021
La Citadelle de St Tropez - Saint-Tropez (83)
Agoria : les dernières chroniques concerts 3 avis
Rock en Seine 2012 - Jour 2 : The Black Keys, Noel Gallagher, Agoria, Eagles Of Death Metal, The Temper Trap, Speech Debelle
Critique écrite le 01 septembre 2012, par Fredc
Domaine National de Saint-Cloud, Saint-Cloud 25 Août 2012
SAMEDI 25 AOÛT 2012 Temps : Plutôt beau, rares averses en soirée, très froid la nuit. On a vu : Speech Debelle, Of Monsters And Men, Ed Sheeran, The Temper Trap, Eagles Of Death Metal et Lou Doillon dans l'espace VIP/presse ; Jean-Paul Huchon et Elisa Jo, visiblement peu emballée, devant Noel Gallagher ; Antoine de Caunes, Hyphen Hyphen et Anaïs à l'after VIP. SPEECH DEBELLE - Scène de la Cascade - 15h00 : 7,5/10 C'est sous un beau soleil que cette deuxième journée de Rock en Seine commence avec la rappeuse/chanteuse Speech Debelle sur la Scène de la Cascade. Musicalement, elle se situe à mi-chemin entre deux artistes déjà passés par le festival francilien : Macy Gray et The Streets. Avec un excellent groove et un bon flow, l'artiste britannique livre une musique très mélodique et rythmée, bien entourée par son band, devant malheureusement bien peu de monde et pour un set de 35 petites minutes à peine. Belle performance toutefois. THE TEMPER TRAP - Scène de la Cascade - 19h10 : 6,5/10 Beaucoup de monde pour un concert plutôt sympa des Temper Trap. Malheureusement, le groupe originaire de Melbourne n'invente vraiment rien et tourne vite en rond, sauf quand le chanteur Dougy Mandagi se lance enfin et offre quelques... Lire la suite
Shabazz Palaces + Agoria + Spoek Mathambo + Ghostpoet + Epic Rain + Hanni El Khatib + Carbon Airways (Trans Musicales de Rennes 2011)
Critique écrite le 06 décembre 2011, par Pierre Andrieu
Salle de la Cité et Parc Expo, Rennes 3 décembre 2011
Samedi 3 décembre, c'est déjà la dernière soirée des 33èmes Rencontres Trans Musicales de Rennes... Au programme, de très nombreux artistes émergents programmés à la salle de la Cité dans le très rock 'n roll centre de Rennes (quelle bande d'irréductibles fêtards ces Bretons !) puis au Parc Expo (après avoir pris des navettes bondées) pour le feu d'artifice final clôturant trois jours de concerts, de fête, de crachin, de bières, de kebabs, de galettes saucisses et de visites plus ou moins prolongées des bars de l'accueillante cité bretonne. Après la très réussie création Kütu Folk Records le 30 novembre, une soirée sympa sans plus au Liberté le 1er décembre, un joli vendredi 2 décembre au Parc Expo, place à la fièvre du samedi soir à la mode rennaise, c'est à dire humide et doux à l'extérieur et brulant et hystérique à l'intérieur des salles... Récit : Epic Rain La marathon musical de la journée commence pour nous à 18h30 avec le concert d'Epic Rain, un groupe islandais de hip hop teinté de folk pop emmené par un chanteur d'origine libanaise possédant une belle voix grave et un flow passionnant à la Buck 65... Au début du set, on est séduit, les titres aux atmosphères sombres et plutôt marquantes se succèdent... Lire la suite
Carbon Airways / Don Rimini / Agoria / Breton / Kakkmaddafakka / Stuck In the Sound / Fukkk Offf / Spank Rock / Orchestra Of Spheres / Fuel Fandango (Trans Musicales de Rennes 2011)
"Oublie que t'as aucune chance de voir tous les concerts, vas-y fonce, sur un malentendu ça peut marcher". Ainsi détournée, la formule empruntée au film "Les Bronzés" pourrait assez bien résumer l'angoisse qui parcourt l'échine, au moment où l'on se décide à raconter un vendredi et un samedi soir, au cur des 33e Rencontres Trans Musicales de Rennes. Pourquoi ? Parce qu'avec une cinquantaine d'artistes à l'affiche en deux soirs, quasiment tous inconnus du grand public, ce festival n'est pas vraiment comme les autres. Pas comme les autres également parce que la tenue vestimentaire de rigueur y est plus proche du combo doudoune/bonnet, que du short/casquette, habituellement en vogue lors des festoches estivaux. Ensuite, parce que la prog mitonnée par Jean-Louis Brossard joue résolument la carte de la découverte. Du coup, deux solutions s'imposent pour profiter de ce festival. La première : arriver sur zone avec une feuille de route des groupes à ne pas manquer. Ce qui aura nécessité au préalable un épluchage en règle de la prog et d'avoir visionné sur Internet les vidéos des 42 groupes programmés pendant ces deux jours. Et la deuxième solution ? Y aller à l'arrache. J'ai opté pour la deuxième solution. Bon, il y avait quand même... Lire la suite
Winter by Marsatac : The Subs + Zombie Nation + Clara Moto + Dj Agoria
Alors s'il y avait bien un soir où faire des entrées risquait d'être pas gagné d'avance c'était bien ce vendredi...des gens partout, tous les bars ouverts, des sets dj en veux-tu en voilà..! A croire que les salles se sont données le mots ce soir !! Je suis assez curieuse de voir ce que peut donner de l'électro dans un lieu plus destiné aux concerts qu'aux sets de dj minimalistes berlinois et à 25 euros l'entrée il est clair que je ne m'attends pas à l'ambiance d'une free ou d'une Dragon bal. Arrivée en retard en plein milieu du set puissant et déjanté de The Subs et moi, j'adore. Malgré une salle à moitié pleine les 3 belges envoient une énergie électro-rock et dance punk communicative avec reprise de Prodigy plutôt bien sympathique au passage. On oublie vite l'espace trop présent car ils sont bons nos amis, Jeroen au chant et clavier et d'un imper de plastic transparent vêtu. Wiebe et Stefan se font visiblement plaisir, avec une basse moins cérébrale et posée que Rinocêrose, on bouge, c'est intense, on... Lire la suite