Une Beyoncé punk : chanteuse black renversante accompagnée par un gang funky-punk héritier de ESG pour un mix explosif de ska, d'afrobeat, de post-punk et de hip-hop, joué sans complexe. A écouter, son premier album détonant : Bone Of My Bones...
Ebony Bones se présente :Ebony Thomas débute comme actrice de soaps anglais et en 2005, elle se transforme en Ebony Bones, véritable bête de scène carnavalesque qui écrit, interprète et produit ses compositions colorées et acidulées, créant le "nu clash", un mix explosif de ska (genre musical originaire de la Jamaïque reconnaissable au contretemps par la guitare), de hip-hop, de post-punk, d'afro-beat et de no wave.
Par ses extravagances flashy ainsi que ses shows déjantés et enjoués, Ebony Bones est rapidement érigée au rang de "new black britain star" par la presse internationale. Son premier single "We Know All About U" est devenu le single d'un artiste non signé le plus joué sur BBC Radio 1. Elle a été également récompensée pour le clip de son second single, "Don't Fart On My Heart".
Considérée comme la référence anglaise du moment, Ebony Bones s'apprête à sortir son premier album début juin, "Bone of My Bones" chez Sunday Best.
Actuellement en tournée à New York, Munich ou Toronto, elle entraîne son public dans un carnaval haut en sons et en couleurs, à mi-chemin entre un concert post-punk et un bal afro-tropical. Son seul credo : mélanger les extrêmes.
Ebony Bones en concert
Ebony Bones : l'historique des concerts
Sa.
27
Avril
2019
Sa.
06
Fév.
2016
Coopérative de Mai - Clermont Ferrand (63)
Ve.
05
Fév.
2016
Je.
04
Fév.
2016
Ve.
26
Sept.
2014
Le Plan - Ris Orangis (91)
Sa.
12
Juillet
2014
Complexe Ty-Colo - Stade de Rugby - St Renan (29)
Sa.
01
Mars
2014
Ve.
28
Fév.
2014
Chabada - Angers (49)
Ebony Bones : les dernières chroniques concerts 9 avis
Black Strobe, Ebony Bones, Ok Bonnie
Belle soirée electro rock proposée par le label Bi Pole. Le premier groupe, Ok Bonnie, attaque pied au plancher avec des assauts guitaristiques assez éloignés des quelques morceaux entendus avant de les voir. Mais après quelques morceaux brutaux, le trio emmené par la très séduisante Justine explore des sonorités moins pétaradantes et parfois assez dansantes. Sous le regard complice de Laurent Garnier (qui a remixé un de leurs titres) reconnu aux premiers rangs, Ok Bonnie joue avec conviction des titres qui ne choisissent jamais vraiment leur camp. La batterie métronomique et les riffs efficaces de ses comparses se marient bien aux synthés et autre démodulateur du style onde Martenot de la chanteuse. On pense parfois à The Knife, Garbage, Metric, cela s'écoute sans déplaisir à défaut de vraiment accrocher. On aurait néanmoins aimer un peu mieux entendre ce qui se chantait, la voix était parfois largement couverte par l'accumulation de sons, et peut être un peu plus d'interaction avec les spectateurs qui leur réservent du coup un écho timide. Un groupe en devenir en tout cas, à suivre sur leur premier disque à paraître dans les prochaines semaines. La suite c'est avec une habituée de cette salle, déjà... Lire la suite
Festival Solidays 2011 : Moby, Gaëtan Roussel, Aaron, Iam, Katerine, John Butler Trio, Patrice, Moriarty, Têtes Raides, Asaf Avidan & The Mojos, Aloe Blacc, Ebony Bones, Stromae, Skip The Use, Zone libre vs Casey & B.James, Madjo, Israel Vibration, Hocus Pocus, Irma, Raggasonic, Les musiciens du métro
13ème édition du Festival Solidays et je m'aperçois que nous n'avons pas fait de chronique depuis 2005 !!! Cette année encore, record de concerts, d'animations, de solidarité, de prises de parole, d'expos, d'informations. Vous vous imaginez bien que je n'ai pas pu tout faire. Tout ça était bien frustrant pour une assoiffée comme moi. 5 scènes différentes de part et d'autres de l'Hippodrome Longchamp, ça en fait des kilomètres... J'ai bien couru dans tous les sens et parcouru le site au pas de course, mais je ne pourrais vous raconter le plus souvent que les ambiances perçues. Les musiciens du métro, Je vous déteste Mon témoignage commence par Les musiciens du métro. Je n'assiste qu'au dernier titre de Je vous déteste. Pourtant je regrette mon retard et j'espère les recroiser bientôt. Ok ils ont une chanson qui s'appelle Julie alors forcément ça m'intrigue ;) . Irma Première artiste pour laquelle je viens en particulier : Irma. Toujours aussi douce, charmante, discrète et tellement groovy. Elle mérite le succès de sa Major Company. Son album entier est repris par le public qui l'acclame à chaque intermède. Et puis, contrairement à l'album, son acoustique est tellement magique et encore plus pendant les... Lire la suite
Ebony Bones + Tristesse Contemporaine
Première soirée des "Break Series" qui vont voir se succèder pas mal de bons concerts rock/electro en Mars. Contrairement à ce que son nom pourrait le suggérer le trio Tristesse Contemporaine n'est pas Français : on y trouve une clavièriste Japonaise, un guitariste Suédois et un chanteur/rappeur Anglais. Qui s'avère être une voix bien connue des amateurs de trip hop, Mau découvert dans les 90's avec Earthling. Leur nom ne trompe pas trop sur la marchandise : à défaut d'être totalement contemporaine, elle n'est pas très festive. Je pense que leur disque à venir me plaira davantage que ce concert : le mélange façon The XX de guitares cold wave et de beats synthétiques fonctionne plutôt bien mais peine à décoller sur scène. Rien de honteux mais rien de vraiment enthousiasmant non plus, si Mau se cache derrière un masque on ne va pas lui decerner un bonnet d'âne pour autant. Certes sa reprise un peu foirée du merveilleux "Uptown Top Ranking" d'Althea & Donna donne envie de le secouer, mais quelques montées sur certains titres augurent de quelque chose d'intéressant à suivre. Comme toute diva qui se respecte, la tête d'affiche se fait attendre. Beaucoup aimé les premier singles d'Ebony bones et leur passage... Lire la suite
(mon) Rock en Seine 2009, 2/3 : Kitty Daisy & Lewis, Cheveu, The Asteroids Galaxy Tour, Ebony Bones, Dananananaykroyd, Zone Libre vs Casey & B.James, The Horrors, Yann Tiersen, Faith No More, Birdy Nam Nam
Le début par ici ! Deuxième journée à Saint-Cloud, sur le papier la plus attendue par un certain nombre de gens de notre connaissance, filles et garçons confondus, sous le vague prétexte qu'une légende vivante s'y produirait avec son ancien groupe pour la première fois depuis 11 ans (et depuis plus longtemps encore en France). On les a donc chambrés un peu à propos d'une annulation toujours possible en dernière minute "suite à une altercation entre les membres", mais ça ne les fait curieusement pas beaucoup rire - décidément quels qu'ils soient, les fans n'ont pas tellement d'humour. En tout cas en tant que chroniqueur s'efforçant d'être curieux de tout, on veut bien miser pour voir, d'autant qu'un paquet d'autres belles choses nous attendent par delà le Pont de Saint-Cloud. Et en premier lieu, une découverte plutôt enthousiasmante : Kitty, Daisy & Lewis, saignant trio de jeunes gens (âgés de 16 à 21 ans), qui semblent inexplicablement nés dans une boucle spatio-temporelle située quelque part dans les années 50. Cheveux en arrière et costume vintage pour monsieur, mini-Elvis en herbe, robe sage et coiffures à la mode Betty Page pour mesdemoiselles, le trio envoie sans aucun second degré apparent des salves continues de rockabilly,... Lire la suite
Ebony Bones : les chroniques d'albums
Ebony Bones : Bone Of My Bones
Chronique écrite le 14/05/2009, par Pierre Andrieu
Bête de scène survoltée dès qu'on la lâche devant un public, la très fauve Ebony Bones confirme ses bonnes intentions - faire tourner la tête et danser jusqu'à ce qu'épuisement complet s'en suive - avec son premier album Bone of My Bones... Hyper tendance, tout à fait dans l'air du temps, carrément bienvenu pour faire la bringue, le mix métissé, habile et virevoltant entre les styles disco, funk, rock ‘n roll, électro, hip hop, R&B, world et pop fait sensation dès qu'on entre en contact avec celui-ci. Croisement hallucinant entre Santogold, Chic, Grace Jones, The Slits, ESG, Afrika Bambaataa, M.I.A., Timbaland, The Clash et Missy Elliott, l'excentrique Ebony Bones ne laisse pas une seule seconde de répit à ses auditeurs, littéralement pris à la gorge par le déluge de sons, de délires vocaux... Lire la suite