Une des références de la scène rock progressif française actuelle, le groupe est adepte d'une fusion instrumentale teintée de rock et de jazz.
Le groupe marseillais Eclat, fêtera cette année ses 20 ans d'existence et s'impose comme l'une des références de la scène progressive française actuelle.
Adepte d'une fusion instrumentale teintée de rock et de jazz, ECLAT vous invite à un voyage musical où climats et clins d'oeil s'enchaînent à un rythme époustouflant.
Le groupe a sorti cinq albums et sortira un nouveau live en 2009.
Ces dernières années, ECLAT a participé à de nombreux festivals internationaux dont le festival Art Rock de Rio, le Baja Prog au Mexique, ainsi que le festival Gong en Italie et le festival Poséidon à Tokyo ...
Eclat en concert
Eclat : l'historique des concerts
Je.
29
Mai
2014
Jas'rod - Pennes Mirabeau (13)
Me.
08
Mai
2013
Jas'rod - Pennes Mirabeau (13)
Me.
16
Mai
2012
Jas'rod - Pennes Mirabeau (13)
Me.
01
Juin
2011
Jas'rod - Pennes Mirabeau (13)
Me.
12
Mai
2010
Jas'rod - Pennes Mirabeau (13)
Je.
21
Mai
2009
Jas'rod - Pennes Mirabeau (13)
Ve.
14
Sept.
2007
Je.
17
Mai
2007
Jas'rod - Pennes Mirabeau (13)
Eclat : les dernières chroniques concerts 3 avis
Festival Prog'Sud : Sylbàt + The D Project + Eclat
Dixième édition du Festival Prog'Sud et la première pour moi. Le rock progressif, c'était ma nourriture exclusive à la fin des 70's. Depuis, mes goûts se sont diversifiés au point que je n'en écoute pratiquement plus. Mais la nostalgie surgit en lisant les fiches sur l'historique de cette musique exposées sur les murs du Jas'Rod : Genesis, Yes, King Crimson, bien sûr et... Van Der Graaf Generator, MON groupe culte. J'ai raté hier soir Tony Levin (pour la bonne cause) et les échos sont très bons. Il a paraît-il terminé son set en jouant du King Crimson et "c'était grand" me dit un festivalier. Soirée 100% francophone ce soir, la seule du festival. Vont en effet se succéder deux groupes français et un groupe québécois. Sylbàt, groupe breton nous propose du rock progressif celte. Le premier titre, Bullmachine ne me laisse rien augurer de bon avec son thème répétitif joué successivement à la harpe (Clotilde Trouillaud) et à la guitare (Hélène Brunet). De plus, le final dudit morceau arrive comme un cheveu sur la soupe. Et puis ils ont la bonne idée de poursuivre avec La Valse Des Loups, pièce d'un tout autre calibre dans laquelle Clotilde, en solo à la harpe en intro nous fait tomber sous le charme. Une jolie mélodie un peu trop... Lire la suite
Prog'sud 2007 : Rough & Ready + Eclat + Quidam
De retour sur les hauteurs ventées des Pennes-Mirabeau pour ce deuxième soir de Progsud. La salle du JasRod est à nouveau comble et les derniers arrivants sont debout. Comme la veille c'est un groupe Japonais qui ouvre la soirée. 21h00 Rough and Ready Guitare acoustique, piano,gazouillis d' oiseaux au bord d'une rivière accompagnent l'arrivée de Hidemi Miura sur through a moonlit forest. La chanteuse aux très longs cheveux noirs qui paraissait le sujet de la naissance de Vénus sur l' affiche du ProgSud semble être sirène ce soir, habillée d'une robe à larges mailles aux formes d' écailles. Flûte et tambourin, les cinq minutes d' ambiance bucolique vont prendre fin sous une tempête de décibels marquant comme une seconde introduction, prologue, électrique cette fois et réunissant la formation complète : Noboru Ttakasugi à la batterie, Hikaru-A-Kobayashi à la basse , Hiroshi Nagashima à la guitare et Ichiro Natsume aux claviers. Prologue est en fait le premier des nombreux mouvements qui composent le morceau Page one et intitulés paradoxalement chapitre. A l' instar de ce paradoxe, on a l'impression que le groupe joue sur l' ambiguïté du côté "déjà vu" et de la carte de l'originalité. Les morceaux alternent entre rocks... Lire la suite
Festival Prog'Sud : Paul Whitehead + Éclat + Lazuli
La salle est comble comme la veille mais cette fois j'ai prévu le coup en arrivant plus tôt. 21h05 Le cyborg Paul Whitehead débarque de la planète Prog sous un masque de métal. Accompagné d'Alex Carpani au clavier,Marco Fabbri à la batterie, Fred Schneider à la basse (tous deux membres d'Éclat) également masqués, il orchestre le show aux commandes de son ordinateur. Il s'interrompt régulièrement pour donner la parole au cinquième cyborg qui avec un accent de chez-nous mal dissimulé, nous conte l'histoire d'un détective d'une galaxie lointaine venu espionner la vie terrienne pour découvrir une espèce de conscience collective animée par une seule chose... Je ne sais pas si c'est l'ambiance atmosphérique et les tempo lents de la musique qui portent l'histoire ou une mauvaise interprétation du premier message répété des envahisseurs "Toute résistance est inutile", mais je vois autour de moi nombre de personnes sombrer dans un sommeil au bout de 20 minutes. J'avoue que j'ai un peu de mal à rester attentif mais ma curiosité est plus forte : comment va être utilisée cette cymbale plantée devant la scène ? Paul Whitehead va-t-il la fracasser tel Roger Water à Pompeï ? Non, armé d'un archer il fronte délicatement durant 10 bonnes minutes... Lire la suite