Eiffel fait du rock chanté en français avec poésie, énergie, générosité et textes aussi sincères qu'engagés. On y retrouve les guitares des Stooges et des Pixies, avec une prose passionnée à la Brel, Ferré ou Noir Désir. De retour en 2019 ! En concert partout en France en 2019 puis en 2020 afin de présenter en live l'album "Stupor Machine"...
Eiffel en concert
Eiffel : l'historique des concerts
Sa.
16
Avril
2022
Ve.
15
Avril
2022
Je.
14
Avril
2022
Me.
13
Avril
2022
Ve.
08
Avril
2022
Je.
07
Avril
2022
Sa.
17
Avril
2021
Sa.
24
Oct.
2020
Eiffel : les dernières chroniques concerts 39 avis
Eiffel (Les Troubles Ville Festival 2013)
C'est avec beaucoup d'impatience que je retrouve Eiffel ce soir au Festival Troubles Ville de Connéré après leur passage au Mans il y a quelques mois. Près de 3000 personnes sont venues découvrir ou revoir ce groupe de rock français peu médiatisé. Une scène simple, des jeux de lumières sobres, qui proposent une ambiance assez singulière. Dès le premier morceau " Place de mon Cur", Romain Humeau dévoile une voix exceptionnelle, semblant être écorché vif. Le public fait connaissance timidement avec le groupe pour ensuite révéler une ambiance conviviale et festive, se montrant très réceptif à l'énergie des musiciens. Eiffel propose un... Lire la suite
Eiffel + Phoebe Killder & the Short Straws
Rétrospective d'une journée qui commence mal Avant de rentrer dans le vif de la soirée, il est bon de signaler que notre cher Boby national, taulier de Concertandco chez qui il officie depuis maintenant quatre riches années, s'est fait lâchement voler son appareil photo. Rassurez-vous, l'amour propre plus fort que tout, il sera bien là en ma compagnie avec son petit appareil argentique, bombardant la scène de "clics" revanchards, dont il a le secret. En attendant, si vous voulez faire des dons, joignez-le directement sur sa page fb, il accepte tout. (FAIL) Phoebe Killder & the Short Straws : parlons peu, parlons rock La soirée s'ouvre avec Phoebe Killdeer & the Short Straws, collectif australo-français né en 2007 et qui officie dans... du bon rock qui dépote à mort (ben quoi ? je vous avais prévenu qu'on allait parler rock). On est d'ailleurs immédiatement interpellé par le charisme des membres, du guitariste Cédric Le Roux, aux faux airs de Phil Lyner (c'est écrit sur le site !), au bassiste Alexandre Maillard, en passant par la chanteuse Phoebe Killdeer. Le duo de gratteux n'hésite d'ailleurs pas à aller matraquer la batterie du pauvre Raphael Seguinier en plein morceau, tandis que la leader australienne agite ses maracas,... Lire la suite
Eiffel
Le groupe bordelais était attendu de pied ferme pour son passage au Poste à Galène ce vendredi soir, la salle affichant complet. Nous réussissons tant bien que mal à nous placer de manière à apercevoir la scène. Nous sommes d'ores et déjà prévenus : il s'agit d'une mini tournée d'échauffement, le prochain album n'étant pas encore mixé et sortant en septembre prochain. Une rencontre avec le groupe est prévue à l'issue du concert. Les musiciens font leur entrée sur scène à 21h40 et sont 5. Aux 4 de la tournée précédente, vient donc s'ajouter un clavier. Ce membre supplémentaire et le choix des morceaux du futur 5e album studio changent drastiquement le son Eiffel auquel nous sommes habitués. Le premier titre est presque pop et le travail des churs ainsi que de la mélodie est plutôt réussi. La voix de Romain est également nettement plus posée, chantée qu'à l'accoutumée. Place de mon cur le 1er single de l'album déjà en écoute sur le site du groupe, est plaisant avec ses samples et un son toujours rock. Cependant, à l'exception du trop court Frères ennemis qui claque, on a l'impression d'assister à la naissance d'un nouveau Eiffel. On sent que le groupe se cherche et il ne s'en cache d'ailleurs pas. C'est assez... Lire la suite
Brune + Eiffel
Après le superbe concert donné en février dernier au Cargo de Nuit en Arles, Romain Humeau et sa bande étaient attendus de pied ferme à Istres. Nous sommes tout d'abord frappés par le peu de monde présent sur place une grosse demie heure avant l'horaire prévu. Nous apprenons que le spectacle aura lieu dans le bar et non dans la grande salle, à laquelle nous sommes habitués. Les spectateurs, arrivant au fil de l'eau, seront 200 au meilleur de la soirée. La première partie est assurée par la jeune Brune au sujet de laquelle le buzz grandit actuellement. Son set est (trop?) varié, avec des moments agréables, faisant tantôt penser à Mademoiselle K pour la voix ou à Emilie Simon pour certains arrangements électros. On peut cependant lui reprocher un manque d'unité dans l'ensemble des titres joués durant une grosse demie heure. Elle est cela dit fort sympathique, chante bien et ses musiciens sont à l'aise également. Le tout demande un peu de maturation pour qu'elle trouve définitivement son style, mais c'est plutôt très encourageant. Petit carton jaune à l'ingénieur du son par contre, car le volume nous a paru bien trop élevé (y compris avec des protections auditives). On m'a soufflé qu'on atteignait souvent les 100 décibels,... Lire la suite
Eiffel : les chroniques d'albums
Eiffel : A Tout Moment (2009)
Chronique écrite le 16/03/2010, par Cabask
Après avoir été "gentiment remercié" par sa maison de disques en 2007, Eiffel et son leader emblématique, Romain Humeau, a décidé de tout faire lui même pour son nouvel album. A la maison, le groupe a considérablement enrichi son univers. Finies les guitares électriques omniprésentes ; place aux ambiances et aux mélodies soignées pour mettre en valeur la profondeur des textes. Les premières notes en slide et l'intro arpégée à la guitare acoustique imposent immédiatement l'atmosphère sombre et sans grand espoir dans lequel l'auditeur sera plongé au cours des 12 morceaux. Cet album est terriblement noir, tout en accords mineurs, porté par un chant tantôt retenu, tantôt exalté. Ce sont tout d'abord les ambiances qui interpellent, qui prennent aux tripes. Relativement simples, elles n'en deviennent que plus palpables. Un soin particulier a également été apporté à la batterie, qui revêt régulièrement la forme d'un tambour de régiment, d'un appel aux troupes pour se donner du courage et avancer. Les mélodies sont également très entêtantes voire hypnotiques. Pour ce qui est des paroles, Romain Humeau exorcise ses... Lire la suite
EIFFEL : LES YEUX FERMéS
Chronique écrite le 20/04/2004, par Pierre Andrieu
Très à l'aise sur scène, que ce soit dans une salle (à la Coopérative de Mai en 2002) ou dans le cadre d'un gros festival (aux Eurockéennes 2003), Eiffel sort tout naturellement un double album live plutôt réussi. Le premier C.D. permet de retrouver les prestations du groupe en configuration "rock rentre dedans", on y constate donc la grande puissance de feu scénique d'un combo au répertoire accrocheur. Les seuls bémols à ajouter sont le chant parfois un peu trop exalté de Romain Humeau et la longueur excessive de certains morceaux (Te revoir : 12 minutes 32 !). La deuxième partie de ce live est plus inédite ; Eiffel y interprète ses morceaux et quelques... Lire la suite
Eiffel : LE 1/4 D'HEURE DES AHURIS
Chronique écrite le 06/02/2003, par artie
Accroupit sur la petite chose française, les critiques le savent, il est rare de réussir un album rock et français... Le dernier Eiffel enlève le morceau direct. Les garçons modernes et les filles dures tomberont sous les maléfices éléctriques déployés par ce seulement deuxième album. Pur. Les songs de cette bandes...
Eiffel : LE QUART D'HEURE DES AHURIS
Chronique écrite le 17/10/2002, par cseb
N'en déplaise à certains je ne vois aucun rapport avec le dernier Noir Désir et cet album dont je vais m'efforcer de faire le parti-pris. Tout d'abord, je dirai que Eiffel a repris le flambeau du rock français là où Noir Désir l'a laissé, préférant se tourner vers la chanson française en laissant derrière eux un rock français dont ils était les porte-drapeaux. L'évolution d'un groupe est toutefois un droit que je ne conteste pas. Fini pour la comparaison cavalière de Sieur Andrieu. Dites-donc où étiez-vous aux débuts de Noir Désir ? Eiffel sait au travers de cet album conjuguer des textes en français avec une musique qui certes peut paraître agressive, mais n'est-ce pas là la définition du rock ? Au lieu de conter fleurette par le biais de métaphores elliptiques, le discours utilise des mots simples, bruts parfois, mais on en fait sa propre... Lire la suite
Eiffel : Vidéo