La belle Emiliana Torrini évolue avec classe et charme entre folk délicat, trip hop alangui, reggae doux, bossa nova poignante et pop entraînante... En concert en France en 2013 !
Emiliana Torrini en concert
Emiliana Torrini : l'historique des concerts
Me.
22
Fév.
2017
Di.
19
Avril
2015
Zenith de Strasbourg - Eckbolsheim-strasbourg (67)
Lu.
24
Nov.
2014
Di.
23
Nov.
2014
Me.
13
Nov.
2013
Je.
07
Nov.
2013
Ve.
06
Juillet
2012
Minnewaterpark - Brugge (B)
Me.
26
Oct.
2011
Salle Del Castillo - Vevey
Emiliana Torrini : les dernières chroniques concerts 6 avis
Yo yo yo Acapulco + Didier Super + Tunng + La Rue Ketanou + Herman Dune + Thomas Fersen + Emiliana Torrini + Gossip + Mogwai + Thomas Dutronc (Furia Sound Festival)
J'arrive pour Yo Yo Yo Acapulco. Un look hawaïen alors qu'ils viennent de Norvège. De la pop ukulélé expérimentale mais assez monotone fait que je ne traine pas pour le set de Didier Super de l'autre côté. Ma première fois avec ce danger public. Bien sur, j'en avais entendu parlé et quelques fois entendu citer, mais on n'est jamais vraiment préparé. Je ne sais pas comment orienter ce passage. Il est horripilant, cultive ce sentiment, joue et chante atrocement et intentionnellement. Plus c'est méchant, sarcastique, limite et plus le public est content. La chaleur monte et l'ordre des pompiers arrive : une petite douche pour la foule ! Arriver devant Tunng devient du coup un havre de paix et je me demande si je vais être objective... Une folk électronique apaisante et des voix douces... merci au programmateur. Après ce petit trou anglais on peut remonter la cadence avec La Rue Ketanou. Sauf que cela devait être une création spéciale pour le festival avec L'orchestre symphonique du Josem. Mais voilà, à cause d'un problème administratif, nous n'aurons pas l'occasion d' écouter ces 50 jeunes musiciens. Ceux de La Rue Ketanou, même déçus, sont tout de même là et leur dernier album... Lire la suite
Festival Les Eurockéennes de Belfort 2009 - Jour 1 : Emiliana Torrini, Chapelier Fou, Les Wampas, Oxmo Puccino, Ghinzu, Yeah Yeah Yeahs, Seyfu, Cypress Hill, Prodigy
Un petit résumé de mes trois jours aux Eurockéennes ! Première fois (enfin !) que j'ai la possibilité de m'y rendre, le site est évidemment parfait, le soleil et la chaleur furent au rendez-vous pendant 3 jours et 80 concerts au programme ... c'est parti pour le premier jour ! (vous trouverez le samedi et dimanche bientôt). Arrivé en début d'après-midi, je récupère mon bracelet et la dame au guichet me dit qu'ils attendent 10.000 personnes au camping ! Autant dire archi blindé. On se trouve une place, on s'installe, on se pose puis on décolle pour la première journée. Il fait très (trop) chaud, et nous empruntons le chemin de fer pour nous rendre sur le site. Le temps de se faire contrôler les billets et fouiller, nous entrons enfin sur le Malsaucy ! Emiliana Torrini Le temps de se désaltérer, on file directement sous le chapiteau pour Emiliana Torrini. Une demoiselle bien jolie et qui nous sert un peu de pop folk fort sympathique ! une très jolie voix et un univers bien a elle, j'étais parti dans l'idée que ça allait être chiant et bien je me suis trompé ! Chapelier Fou On se dirige rapidement à la Plage pour voir Chapelier Fou... malheureusement il finissait son live 2 minutes après que nous soyons arriver. Tant... Lire la suite
Emiliana Torrini
Je vais vous parler d'un temps que les moins de 30 ans ne peuvent pas connaître, des temps anciens où la musique était le fait d'artistes et de musiciens, ou le sampling n'existait pas, et la musique se vivait profondément. Qu'est ce que ça vient faire ici ? Ce sont les premiers sentiments qui me viennent à l'esprit à l'issue d'un concert mémorable de la grande Emiliana Torrini. Comme elle est relativement inconnue du grand public, sachez en résumé, qu'elle est islandaise, née d'un père italien restaurateur, et qu'elle a commencé très tôt dans la musique par 2 disques de reprises, avant de la sortie de son vrai premier opus en 99. Ensuite, une participations au 2ème volet du Seigneur des Anneaux, suivi de Fisherman's woman en 2005, qui est bien accueilli tant par la critique que par le (petit) public. Et pour finir un dernier album Me and Armini en 2008, ponctué d'une tournée dont Paris ce soir. Je l'ai découverte par hasard - tard donc, mais nul n'est parfait - par le biais de Oui FM qui passait le single Jungle drum relativement souvent, et par enchainement, j'ai recherché le clip sur le net, découvrant au passage qu'il avait fait l'objet de la musique de Greys anatomy,... Lire la suite
Emiliana TORRINI
Ouaip, ouaipLa première partie Nicolas Dunger, TRISTE, Déprimant, Sinistre.Comme la déco du TRABENDO.Emiliana Torrini : Bon j'ai adoré le CD.....et sur scène...c'est comme le CD. Rien de plus rien de moins. Un set Miniscule 45 MN2 faux rappels total 1 heure de concert .... Un bon... Lire la suite
Emiliana Torrini : les chroniques d'albums
Emiliana Torrini : Me And Armini
Chronique écrite le 03/11/2008, par Pierre Andrieu
Joli retour gagnant pour l'islandaise Emiliana Torrini avec l'album Me and Armini, charmant "fait main" entre folk délicat, trip hop alangui, reggae doux, bossa nova poignante et pop entrainante... La voix suave de la belle illumine en effet des compositions bien foutues qui ont - en plus - le mérite d'être portées par des arrangements remarquables de sobriété. Tout cela fait du nouvel album d'Emilina Torrini un recueil de chansons parfait pour la saison automne/hiver 2008 ; frais, doucement mélancoliques et joyeusement classieux,... Lire la suite