House décomplexée... Fer de lance de la "French Touch", de Crécy reconstruit ses morceaux à chacune de ses prestations : une techno résolument électronique, crunchy, avec des sons crades, râpeux et gorgés de distorsion. En 2014, Etienne de Crécy présente Super Discount 3 en live !
Etienne De Crécy : tous les concerts
Me.
05
Mars
2025
Je.
06
Mars
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Sa.
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Mars
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19
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2025
Etienne De Crécy : les dernières chroniques concerts 9 avis
Festival Woodstower 2019 : Nekfeu, Blade, Remy, Etienne de Crecy...
Depuis 21 ans, le festival Woodstower nous dévoile ses artistes les plus sensoriels. Cette année, il ouvre ses portes ce jeudi 29 août et nous plonge au coeur d'une atmosphère électrique et lumineuse. Les mains sont en l'air, les regards sont impatients, le public est venu le sourires aux lèvres pour un voyage électrique et rythmique qui durera toute la nuit. La soirée commence en pétillant avec Blade, formation de musiciens et de rappeurs, qui voyage à travers les genres old school, rap et électro. Blade mélange, Blade est intense et ça commence ! Remy, un jeune rappeur lyonnais apparaît ensuite sur scène. Repéré par Mac Tyler, il vient de sortir un premier album (c'est Remy) qui fait battre les coeurs et nous surprend avec des textes poignants. Des sentiments forts parcourent alors la scène. Le public se... Lire la suite
Festival Acontraluz : The 2 Bears, De La Soul, Etienne De Crecy, Dj Oil, Amine Edge & Dance
Lancé l'an dernier à la même période le festival electro Acontraluz récidive sur la même esplanade du J4, nous rappelant au bon souvenir d'une époque où l'on ne s'y rendait pas que pour aller au Mucem. Pour cette deuxième édition, les organisateurs ont tenté le pari d'un soir supplémentaire avec deux groupes live qu'on apprécie particulièrement. Un peu casse gueule en cette semaine de rentrée, particulièrement pour les artistes locaux programmés soit trop tôt (Dj Oil & The Monkey Nuts, dont les dernières minutes groovaient bien) soit trop tard (Amine Edge & Dance, hélas ratés) mais à part ce petit bémol, cette première soirée aura été une vraie réussite. Ce qui frappe en arrivant sur le site, ce sont des moyens impressionnant pour la scène, surélevée de plusieurs mètres et équipée d'écrans géants où seront projetés moult visuels, on y reviendra, souvent à couper le souffle. On sera un peu moins enthousiastes en découvrant un carré VIP rappelant l'éphémère festival Be Fort et ces boites de nuit où l'on vient davantage pour se montrer que pour danser, mais bon rien de bien choquant non plus. Gros point positif en revanche pour l'accueil chaleureux du festival, permettant à notre chanceux photographe quelques clichés... Lire la suite
Marsatac 2014 : Monophona, Kid Francescoli, Trentemoller, Super Discount, Gesaffelstein, Acid Arab
Critique écrite le 30 septembre 2014, par Sami
Friche de la belle de mai, marseille 27 Septembre 2014
Dernière soirée à l'affluence nettement plus élevée que la veille, ça promet coté ambiance avec quelques groupes bien accueillis et beaucoup de dj's ensuite. Les premiers à se produire au Cabaret sont Monophona, un trio Luxembourgeois mené par une jeune songwriteuse aussi timide dans ses interventions que convaincante au chant, avec un timbre qui n'est pas sans rappeler Lykke Li. Elle est accompagnée d'un batteur et d'un bidouilleur de sons qui lui distillent un écrin trip hop/downtempo qui se marie bien à ses aspirations folk. Le public venu progressivement semble apprécier ce petit moment calme et sans prétention. Toujours au cabaret, Kid Francescoli joue à domicile et en trio avec un batteur et surtout la fameuse Julia qui chante sur son album plébiscité un peu partout. Un live décomplexé qui rend enfin justice à son virage electro-pop entamé depuis quelques années déjà. D'entrée le très Chromatics "Does she" happe le public venu en masse, qui dandine joyeusement que l'instrumental "Prince Vince" et fait un triomphe au plus ancien "One moment" à l'entêtant "Disco queen" et au hit viral de l'an dernier "Blow up". La soirée est idéalement lancée, on rejoint la grande scène de la Cartonnerie pour s'en prendre plein les yeux... Lire la suite
(mon) Rock en Seine 2014, 1/2 : Cage The Elephant, Tiger Bell, Wild Beasts, Jake Bugg, Blondie, The Hives, Die Antwoord, Arctic Monkeys, Etienne de Crecy présente Super Discount 3
Huitième venue au Festival Rock en Seine sur 12 éditions... pas si mal pour un indigène d'une région lointaine ? Faut dire que pour l'amateur de musique - bien équipé contre les intempéries, ce festival reste la meilleure façon de boucler l'été, avec sa programmation jamais tellement aventureuse sur les têtes d'affiche, mais toujours très efficace. En deux ans, le site a manifestement été agrandi (pour accueillir plus de monde sans doute), au détriment de l'exposition d'affiches et du "food court" qui semblent bien esseulés, relégués à l'entrée. Météo ? Nuageuse et non menaçante. So far so good. On commence par retrouver Cage The Elephant, auteurs d'un super set déchaîné ici même il y a deux ou trois ans. Leur nouvel album nous a hélas moins marqué que le précédent, pure tuerie régressive pour ex-ado des 90's. Même si le chanteur (toujours beau gosse et ultra-affuté) se démène comme un beau diable quel que soit le rythme, et va chercher le public sur son terrain, et même si trois guitares permettent de gonfler le son, la tonalité est plutôt pop-rock aujourd'hui, disons genre Beatles sous stéroïdes. Aberdeen ou Shake me Down sont de fort belles ballades, qui n'atteignent pas la rage de leurs titres plus nirvanesques (Sell yourself,... Lire la suite