De la pluie...De la pluie nous accueille à notre arrivée à la Fiesta des Suds. Ce soir c'est samedi soir et si on fait pas gaffe on va vraiment l'attraper, la fievre du samedi soir :-) Il est 21h, on fonce vers la scène principale où Broken Back a déjà commencé. J'ai juste le temps de sortir mon appareil et de prendre une seule photo du concert car je me fait gentiment refoulé hors des crashs barrière. "C'est fini, c'était les trois premières chansons". Ca sonne bien, je ne connaissais pas ce groupe breton (je m'imaginais plutot des cow-boys sous une tente comme me le fait gentiment remarquer mon voisin), c'est une belle découverte avec une préférence pour les sons bien rocks et chantés en anglais. Du coup on enchaîne par la scène de la salle des sucres où se joue le groupe Pink No Color : un groupe original constitué de 5 personnes dont une violoniste plutôt classe et mignonne. L'ambiance est bien cool et la musique est parfaite. Comme dirais le site des docks : Un ballet de voix éthérées y soutient les assauts de guitares atmosphériques tandis que les claviers ou le violon s'ébattent et s'entrechoquent sur tempo rock. Je ne connaissais pas non plus mais apparemment le public est conquis. J'assiste d'ailleurs à mon premier... Lire la suite

Ce soir nous avions au moins deux bonnes raisons de venir à l'u-percut : Svet n'y était encore jamais venue (moi une seule fois pour Eyma) et je n'avais pas encore vu Namaste depuis qu'ils ont une chanteuse. À notre arrivée l'accueil est comme la dernière fois chaleureux. Le sous sol (ou se trouve la salle) n'étant pas encore ouvert, nous attendons dehors comme certains, pendant que les autres mangent des tapas au rdc. Arrivés en bas avec le premier paquet nous nous câlons sur une des tables du premier rang. Le clavier et piano a queue de Cyril Benhamou, le saxo et les machines de Fred Pichot, la basse de Sylvain Terminiello et la batterie de Jean-Michel Troccaz attendent sagement pendant que nous goûtons le mojito maison (très bon!) et que la salle se remplit. La première partie du set se fera uniquement à 4 avec un micro vide au centre qui annonce que tôt ou tard ils seront rejoints. Mais pour le moment on profite de leur electro jazz instrumental tour à tour planant ou speed, mais toujours mystique. Chacun à sa façon dégage une sensation de bien être voire de transe assez plaisante. Cette fois je me concentre sur le jeu sec et claquant de Jean-Michel imperturbable mais souriant dès qu'il croise le regard d'un de ces... Lire la suite