Composé de Will Ivy, Tim Hellman (Thee Oh Sees, Sic Alps) et Justin Sullivan (Kevin Morby, The Babies), Flat Worms est un excellent groupe américain de post punk garage bruitiste signé sur le label Castle Face Records... Magistral en live ! Le trio californien annonce sa signature sur God ? Records, le sous-label de Drag City pour son 3ème album Antarctica (qui est sorti le 15 mai 2020). En concert en France en octobre 2023...
Flat Worms en concert
Flat Worms : l'historique des concerts
Sa.
21
Oct.
2023
Ve.
20
Oct.
2023
Je.
19
Oct.
2023
Me.
18
Oct.
2023
Ma.
17
Oct.
2023
Sa.
22
Juin
2019
Ve.
21
Juin
2019
Place St Michel - Bordeaux (33)
Flat Worms : les dernières chroniques concerts 2 avis
Kid Congo & The Pink Monkey Birds, Flat Worms, Bench Press, Omni, XYZ, The Druids Of The Gué Charette, Ben Salter, Escape-Ism, Digger & The Pussycats (Binic Folks Blues Festival 2018)
L'édition 2018 de l'incontournable (si l'on aime le rock, le roll et caetera) Binic Folks Blues Festival a pris fin le dimanche 29 juillet avec une dernière tournée de shows mémorables, parmi lesquels nous citerons Flat Worms, Bench Press, Kid Congo ou encore Omni. Il a énormément plu toute la matinée (ce qui doit rendre la pratique du camping assez sportive), les organismes commencent à demander grâce après deux jours de fêtes diverses et variées, le public est donc un peu moins nombreux que la veille (où c'était un véritable marée humaine) pour assister à un final jouissif sur le port du grain de beauté des Côtes d'Armor. Oui, le "grain de beauté des Côtes d'Armor", c'est le surnom assez osé de Binic, il a été trouvé par des communicants pour promouvoir une ville, certes magnifique, mais qui a surtout un beau grain de folie. Qui se matérialise tout particulièrement pendant les trois jours de son festival (qui existe depuis 10 ans) proposant un accès gratuit à 3 scènes, sur lesquelles ont eu lieu fin juillet 2018 pas moins de 52 concerts offerts par 34 artistes triés sur le volet ! Le paradis sur Terre en quelque sorte... Escape-Ism Histoire de se remettre dans le bain et de confirmer ce que l'on sait déjà (Ian... Lire la suite
(my) This Is Not a Love Song (TINALS) Festival 2018, 1-3 : Mummy's Gone, Peter Perrett, DYGL, Nick Hakim, Sparks, Flat Worms, Les Rustyn's, Moaning, The Jesus & Mary Chain
Quatrième venue d'affilée à This is Not a Love Song, devenu un rendez-vous tout à fait inratable à notre agenda. Ambiance, météo, cadre, programmation au poil (La Route du Rock sans la pluie, en gros...). A part la truck food qui devient totalement hors de prix (les habitués apportent à manger...), le cadre est toujours aussi idyllique ! Alors bien sûr il tend à se patiner un peu avec le temps, et quelques idées marrantes du début ont été abandonnées au fil du temps (tour de contrôle, certains jeux pour grands enfants...). C'est toutefois avec un plaisir non dissimulé qu'on s'apprête, pour la première fois, à y passer 3 jours ! Au point de se prendre, et c'est une première, un rateau (amical) à l'entrée : 17h15 c'est trop tôt, ouverture à 18 heures, enfin ! Début tranquillou avec Mummy's Gone, trio de folk mélancolique, jolies chansons tristes, bien exécutées et chantées mais qui ne parviennent pas à nous émouvoir plus que ça, même en utilisant un violon. Mais ça ne fait rien, comme le public déjà arrivé, on flâne en profitant du cadre, des copains photographes et autres (tout le gratin est là bien sûr, y compris avec pompon rouge). Le site a été recouvert de copeaux de bois qui a priori, peuvent recueillir toutes sortes de... Lire la suite
Flat Worms : les chroniques d'albums
Flat Worms : Antarctica
Chronique écrite le 16/04/2020, par Pierre Andrieu
Bande son idéale de l'apocalypse à l'usage (non exclusif) des adeptes de la jeunesse sonique, "Antarctica", le nouvel album de Flat Worms (enregistré dans l'urgence par Steve Albini au studio Electrical Audio), est une excellente manière de tout envoyer balader en l'air quand on ressent une sorte de dégoût de vivre au 21ème siècle. Tout part en fumée (même les forêts aux alentours de la centrale de Tchernobyl, ce qui augure du "meilleur" pour l'avenir... ), le réchauffement climatique atteint même le continent le plus froid, l'Antarctique, et l'ébranlement intime et collectif (copyright Manu Macron, grand penseur de notre temps, ou pas) provoqué par le confinement généralisé du monde conduit à vouloir s'injecter en intra veineuse une bonne dose de rock 'n roll aussi bruitiste que jusqu'au-boutiste. Ça tombe bien, Will Ivy (chant distancié et guitare nucléaire), Tim Hellman (basse tentaculaire, membre de Thee Oh Sees) et Justin Sullivan (batterie frappée sec) viennent d'en concocter une - très efficace - en partant des préceptes édictés par Sonic Youth, The Fall, Wire ou... Lire la suite
Flat Worms : Vidéo