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Dimanche 24 novembre 2024 : 6409 concerts, 27231 chroniques de concert, 5420 critiques d'album.

Gasolheads en concert

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Gasolheads : les dernières chroniques concerts 19 avis

Interview d'Olivier Gasoil (ex-Bleifrei, Gasolheads, Hatepinks, Irritones), pour la naissance de 'La Flingue'

Interview réalisée le 07 janvier 2013, par Philippe

Mon ordinateur, Marseille, 07/01/2013

Interview d'Olivier Gasoil (ex-Bleifrei, Gasolheads, Hatepinks, Irritones), pour la naissance de 'La Flingue'

... La fin du monde n'a pas eu lieu et donc, l'immarcescible Olivier Gasoil joue encore dans un nouveau groupe, La Flingue. Question par clavier interposé à cet accro des écrans, qui semble trouver qu'on se fout parfois un peu trop de sa gueule et de celle de ses comparses, sur Concertandco en général et via Liveinmarseille, en particulier. Où l'on en apprend un peu plus sur ses motivations à écrire des chansons brèves et explosives et à monter les défendre en équipe sur scène depuis presque 20 ans, sur sa propre histoire du punk rock, et sur le groupe 'La Flingue' en particulier ... mais pas sur le sens du mot 'Hatepinks', ni sur une éventuelle influence de rockers scandinaves ou de chevelus américains, ni même sur son amour pour nos chroniques que, trop pudique, il a préféré ne pas évoquer. Depuis combien d'années fais-tu le guignol sur scène, à enturbanner de scotch ton crâne déjà capillairement sinistré avant de péter bêtement des canettes de bière par terre, puis de toucher le zizi aux gens du premier rang et de danser comme un idiot en levant les talons le plus haut possible ? Comment répondre à un question formulée de cette manière? Je ne fais pas le guignol sur scène. J'ai cassé plusieurs fois des télés et des... Lire la suite

5 ans de Ratakans (Hatepinks, Aggravation, Elektrolux, Sweet Children, Take shit back, Lazybones, Neurotic Swingers, Cowboys from Outerspace...)

Critique écrite le 28 mai 2005, par Philippe

La Machine à Coudre, Marseille 27 mai 2005

5 ans de Ratakans (Hatepinks, Aggravation, Elektrolux, Sweet Children, Take shit back, Lazybones, Neurotic Swingers, Cowboys from Outerspace...) en concert

Pour qui aime le rock'n roll à Marseille, en particulier le punk-rock mais pas que, rater l'anniversaire de 5 ans des Ratakans relèverait de la faute professionnelle. D'autant que l'affiche alléchante proposait à peu près tous les groupes les plus hot de la galaxie Machine à coudre-Dépanneur-Lollipop-Massilia Burning-poseur. Une dizaine de groupes va donc se succéder pour environ 15 minutes chacun (en fait plutôt 20) après un tirage au sort et parait-il, un apéro au champagne (je suis arrivé trop tard bien sûr)... ndP : devant les photos c'est Pena qui a tenu tete a une salle pleine de punk avec ses chansons tres chouettes et engagées (je fredonnais d'ailleurs Les petits robots tout en votant oui ce week end) - NdPh : les opinions politiques radicales de notre photographe n'engagent que lui, bien sûr. Des photos, certaines étant excellentes, de concerts organisés par les Ratakans décorent le bar de la Machine, la plupart ayant été prises par FrBiiiiiiiiiiiiiipd, alias Pirlouiiiit, au cours de sa déjà longue carrière d'aficionado-papparazzo. Elles rendent bien compte de l'ambiance déjantée qui a toujours régné dans ces concerts, notamment lors de soirées devenues mythiques comme le dernier live des Gasolheads, ici même il y a 2... Lire la suite

Gasolheads

Critique écrite le 27 avril 2003, par Dominique K

Machine a Coudre - Marseille 29 mars 2003

Oui, je sais, je sais. Chus hyper à la bourre ! Mais quoi ? D'abord, j'ai une sacrée bonne excuse, et ensuite, qu'est-ce que vous voulez ? Comme des centaines d'autres ce soir-là, mon dealer a précipitamment décidé de retrouver une activité honnête à la sortie du concert d'adieu des Gasolheads. Et moi, vous me connaissez : moi, sans mon Viandox et mon Prozac... D'ailleurs, croyez-le, c'est là que cette histoire de dernier concert devient réellement incroyable : ce soir-là, l'annonce de la séparation définitive des Gasolheads a subitement provoqué l'assèchement général de toutes les substances illicites circulant dans la ville ; rien, nibe, que dalle, que tchi, pas le plus petit gramme, pas la moindre petite goutte de ce qui vous maintient en forme et vous empêche de vous foutre en l'air n'était plus disponible nulle part, et qu'il soit bien entendu que je ne parle pas ici de ces satanées saloperies qui vous explosent le ciboulot et vous font cuire à petit feu ; rien, nada, que pouic, où que vous quémandiez votre aumône, les ruelles sombres du Cours Julien semblaient soudain inondées d'une lumière aveuglante, le Vieux Port abandonné aux brigades canines et les pieds des cités livrés aux Petits Frères des pauvres ; même l'Arabe de la... Lire la suite

Gasolheads + Guitar Wolf

Critique écrite le 28 novembre 2002, par Philippe

Poste à Galène, Marseille 26 Novembre 2002

Gasolheads + Guitar Wolf  en concert

Alors donc, c'était annoncé comme une évidence : les Gasolheads étaient le meilleur groupe du monde. Mais j'les avais jamais vus. Les concerts improbables du mercredi soir à la Machine à coudre, faut connaître quand même. Pis être motivé. Mais effectivement ça vaut le coup. Le chanteur, garçon plutôt doux, voire réservé au quotidien (enfin je ne suis pas intime non plus), se transforme ... en une bête sauvage. Mais d'une très grande classe, la bête sauvage ! Quelque part entre Gérard Lambert et Iggy Pop. Cette façon qu'il a de se frapper le fondement avec son micro en sautillant, de gober le micro, c'est énorme. Je pense que sans exagération aucune, on peut dire qu'en effet les Gasolheads arrachent grave du slip. Il est en effet possible qu'ils soient le meilleur groupe de punk-rock du monde. Tant le son est super-maîtrisé, la voix posée comme il faut, la guitare... Lire la suite

Gasolheads : les chroniques d'albums

Gasolheads : Lying Shooter Position

Chronique écrite le 16/11/2002, par Hum !

Gasolheads : Lying  Shooter Position

Ok je sais que j'avais dit que j'arrêtais tout mais là je n'ai pas pu résister à l'envie de parler de ce disque (surtout quand j'ai vu que le dernier Nouvelle Vague ne lui avait consacré que deux lignes !). Après deux premiers albums punk n'roll a souhait revoici les Gasolheads avec le disque de la maturité. Les pistes lancées dans leur deuxième se concrétisent et on se retrouve cette fois avec un disque qui même s'il contient 13 morceaux pour une vingtaine de minutes est d'une finesse extrême. Que ce soit au niveau de la musique, plus variée que dans... Lire la suite