Guitariste et chanteur, George Benson a tout joué : jazz, R'n'B, soul, pop... Les puristes du jazz l'ont boudé dans les années 80, quand le guitariste s'est mis à chanter d'une voix soul ses tubes planétaires, Give me the Night ou On Broadway.
George Benson en concert
George Benson : l'historique des concerts
Lu.
11
Juillet
2022
Sa.
02
Juillet
2022
Sa.
27
Juillet
2019
Ma.
09
Juillet
2019
Je.
05
Juillet
2018
Prairie du Bois d'Hyver - Fontainebleau (77)
Me.
04
Juillet
2018
Di.
30
Juillet
2017
Sa.
29
Juillet
2017
George Benson : les dernières chroniques concerts 2 avis
Imany / George Benson (Festival Jazz des Cinq Continents)
La nuit tombe sur le Palais Lomgchamp, le ciel laisse place à un petit coucher de soleil venté. Dans tout le parc raison les premiers échos de la voix chaude et berçante de la belle Imany. C'est tout en simplicité que la jeune femme nous livre un live festif et touchant. Le mot d'ordre et " Ne jamais s'arrêter de chanter " : Messages humains remplis d'espoir et d'amour et de partage. Décontractée et à l'aise sur scène, Imany nous emporte en sa voix et son charisme fort et naturel. Une très belle reprise de Queen nous est faite, l'émotion est palpable sur scène comme dans le... Lire la suite
Les Nuits d'Istres : Ahmad Jamal + George Benson
Critique écrite le 10 juillet 2012, par Mardal
Pavillon de Grignan - Festival Les Nuits d' Istres 9 juillet 2012
Ahmad Jamal prend son temps. Jeune pianiste fringant de 82 ans, déjà vu l'an dernier au FJ5C. Si James Cammack a cédé sa place à la contrebasse, le reste de la formation est le même que l'année passée. Il nous époustoufle à nouveau cette année, encore en formation de quartet, au festival Les Nuits d'Istres. Manolo Badrena, percussions / Herlin Riley, batterie / Reginald Veal, contrebasse / Ahmad Jamal, piano. Ahmad Jamal est le maître du temps. Le temps à travers ses multiples facettes, et ses différentes échelles, le temps avec lequel il entretient un rapport étroit. Celui de sa longévité qui lui permet de déployer une énergie surprenante face au clavier. Le temps métronomique et celui des intervalles avec lequel il joue sans jamais nous lasser. Il martèle de la main gauche, sprinte avec fulgurance de la droite, et courtois, il s'interrompt brutalement pour nous laisser imaginer la suite d'un thème, d'une harmonie, d'une phrase, pendant le temps d'un silence. Par cette maîtrise surprenante, le pianiste crée bien évidemment de l'espace. Son jeu est exceptionnel, inimitable, et n'appartient qu'à lui. Il ne provoque pas forcément l'émotion -ce que de nombreux critiques lui ont reproché- mais l'admiration, l'émerveillement, la... Lire la suite