Funk psychédélique. Le mythique George Clinton propose une géniale synthèse entre le gospel, le blues, le bebop, le doo-wap et le rythm'n blues.
George Clinton se présente :George Clinton forme le groupe de doo-wop The Parliaments qui signe quelques 45 tours, dont le populaire I wanna testify. Le groupe devient ensuite Parliament, un nom abandonné temporairement au profit de Funkadelic, qui publie douze albums de 1970 à 1981, après le recrutement notable du claviériste Bernie Worrell et du guitariste Eddie Hazel. Le registre est d'abord rock and roll, inspiré par Jimi Hendrix, avant d'évoluer au fur et à mesure des années vers une version psychédélique du funk qui leur est propre.
George Clinton en concert
George Clinton : l'historique des concerts
Me.
27
Juillet
2016
Lu.
11
Juillet
2016
Ma.
11
Août
2015
Chapiteau - Marciac (32)
Ve.
31
Juillet
2015
Jardin de Limur - Vannes (56)
Me.
29
Juillet
2015
Je.
24
Juillet
2014
Cabaret Sauvage - Paris 19ème (75)
Di.
20
Juillet
2014
Palais Longchamp - Marseille 1er (13)
Di.
20
Juillet
2014
George Clinton : les dernières chroniques concerts 6 avis
George Clinton and Parliament Funkadelic + Malka Family
C'est toujours frustrant d'assister à un mauvais concert ! Ce concert de George Clinton était malheureusement un modèle du genre. Pourtant, tout avait bien commencé... Au cur de l'hiver, l'annonce de la mise en vente des places pour le traditionnel concert parisien du mois de juillet de Mister Clinton et de son P-Funk Band faisait l‘effet d'un rayon de soleil alors que la neige envahissait le bitume parisien. Le P-Funk de George C. est, depuis les 70's, l'étalon d'un genre créé par des musiciens de soul et de Jazz dont la perception musicale a été transfigurée par les solos de guitare d'Hendrix et les substances illicites ingérées à l'aube des années 70. Cela donne un groove hypnotique portée par une basse lourde et métronomique, dans lequel des solos de guitares acides se disputent de longs climax et de longues montées avec des cuivres étincelants. Ce funk bien poisseux ne peut s'apprécier pleinement qu'avec la chaleur et la légèreté de l'été. C'est une musique chaude, qui sent la sueur, le musk, qui donne autant envie de danser lascivement que de voyager dans d'autres dimensions. Les morceaux, qui durent en moyenne une vingtaine de minutes, sont un voyage physique et cérébral portés par les solos de musiciens... Lire la suite
Sergio Mendes & Brasil 2014, George Clinton & The Parliament Funkadelic (festival Jazz des Cinq Continents 2014)
C'est ce qui s'appelle avoir de la suite dans les idées. Il y a un an jour pour jour, le festival Jazz des Cinq Continents proposait un plateau encore dans toutes les mémoires avec Gilberto Gil et Nile Rodgers, on a ce soir sa suite logique et classieuse. Le présentateur de la soirée ne cache pas sa joie que la soirée ait bien lieu après une journée pluvieuse qui n'engageait rien de bon et précise que c'est la première fois que Sergio Mendes joue à Marseille. Mieux vaut tard que jamais, après un bon demi siècle de carrière. Sourire radieux derrière son piano, il est ce soir accompagné de trois choristes, un bassiste, un guitariste, un percussionniste, un claviériste et un rappeur. Ce dernier sera un peu le maillon faible de la formation, avec des interventions tombant souvent à plat, y compris sur le très attendu "Mas que Nada", comme si les Black Eyed Peas ne l'avaient pas suffisamment salopé en leur temps. Autre moment un peu ennuyeux du concert, ce "Never Gonna Let You Go" slow dégoulinant de saxo so eighties, qui vieillit beaucoup moins bien que les perles des années 60 et 70 qui constituent heureusement la majorité des titres joués ce soir. On apprécie, comme pour Gilberto Gil l'an dernier, que le Brésilien... Lire la suite
Indochine+Noir désir+Gonzales+Dionysos+Chokebore+Mass Hysteria+Tarmac+Morning Star+An Pierlé+Jeronimo+Alughana+la Ruda Salska+Remy Bricka....
Critique écrite le 17 juillet 2002, par M. Verriez
Festival de Dour (Belgique) 11-14 juillet
Dour 2002 : Comme chaque année, le festival de Dour (Belgique) propose une affiche des plus complètes et des plus éclectiques. Sept scènes cohabitent sur la plaine de la machine à feu, qui sera le théâtre de découvertes, de confirmations ou de déceptions. Jeudi 11 : Le premier groupe à se produire est Alughana, et c'est la première bonne surprise de ce festival. Sur scène : un violon, une cornemuse, un digeridoo accompagnent des instruments plus rock, ainsi que la voix de la chanteuse. Le tout forme un mélange de musique traditionnelle celtique et de métal avec des touches électro, qui est fort réussi. Le concert terminé, on reste dans la magic tent pour voir Pneumatic Head Compressor, et là je dois bien avouer que je n'ai pas bien saisi la subtilité, voir l'intérêt de ce rock- hard-core. Direction ensuite la grande scène (Last Arena) pour assister au concert d'un groupe du coin, Girls in Hawaï, qui nous proposent un pop rock assez classique, empruntant ainsi ce fameux long tunnel musical creusé entre l'Europe et les Etats-Unis. Retour dans la magic tent pour écouter starfield season, mélange de rock indus métal assez expérimental. Nous retournons ensuite vers la Last Arena ou se produit Daniel Hélin et sa fanfare. Hélin évolue dans... Lire la suite
Clinton & P-Funk all stars
Critique écrite le 10 janvier 2005, par gégématic
Montreux 17 Juillet
Je ne l'avais jamais vu avant, mais ceux qui l'ont connu du temps de sa splendeur, savent que George, n'a jamais été James Brown. Bien sur, il ne chante pas beaucoup, il fout même pas grand chose, à part faire le clown. Mais ce n'est pas grave: il communique un truc inimitable... Lire la suite
Top Soul-Funk-Rap
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