Grand Blanc est une groupe d'électro pop / post punk / cold wave originaire de l'Est de la France... En concert partout en 2015. Grand Blanc est en concert en première partie d'Indochine le 17 février 2018 à l'AccorHotels Arena de Paris et en tournée française avec le groupe de Nicola Sirkis en avril et mai 2018. En concert à La Cigale à Paris le 26 novembre 2018 et en tournée française fin 2018/début 2019 pour faire découvrir l'album Image au mur (sortie septembre 2018, à écouter via deezer ci-dessous... )
Grand Blanc en concert
Grand Blanc : l'historique des concerts
Ve.
09
Fév.
2024
Je.
08
Fév.
2024
Je.
30
Nov.
2023
Ve.
20
Oct.
2023
Sa.
03
Juin
2023
Je.
25
Mai
2023
Me.
17
Mai
2023
Ve.
12
Mai
2023
Grand Blanc : les dernières chroniques concerts 8 avis
Grand Blanc (La Route du Rock été 2023)
Alors voilà, ça devait se passer comme ça : quelques jours à Saint-Malo pour se garnir le ventre de galettes saucisse, de Kouign Amann et de caramel au beurre salé, en regardant le coucher de soleil sur la mer tous les soirs. Sauf un, le jeudi, parce qu'on allait voir Viagra Boys au fort de Saint-Père-Les-Petits-Poulets, un nom comme ça. Et quand on apprend leur annulation quelques heures avant le concert, c'est la déception totale. Alors, pour aider à faire passer la pilule, on met tous nos espoirs sur un autre live attendu, celui de Grand Blanc, le samedi après-midi sur la belle plage de Bon Secours. Idéalement placée à côté de la régie, on observe le monde qui gravite autour en attendant le groupe. Ils arrivent alors, tous les quatre, discrètement sur la petite scène face à la mer. "Pilule bleue" ouvre le set et c'est le premier frisson, sous un soleil de plomb, et sur les sons de harpe et la voix toujours aussi touchante de Camille. L'inspiration est toujours là, les émotions aussi, sur les titres dream pop folk aériens et solaires de leur dernier album "Halo", sorti en avril. Et cette après-midi, leur force tranquille rayonne sur nous de toutes leurs couleurs. Après le bleu, "Orange" nous... Lire la suite
Grand Blanc + Octobre Novembre
On attendait cet événement depuis un certain temps. Non, je ne parle pas de la sortie de l'album "pompe à fric" posthume de Jo... pfff, faut pas déconner. Non, ici, on évoque la venue de Grand Blanc à la Petite Coopé. Frissons, de plaisir, garantis. Octobre/Novembre On arrive pile au début de la première partie, ça commence à l'heure, comme d'habitude à la Coopérative de Mai. Les Clermontois d'Octobre/Novembre ouvre la soirée, devant, avouons-le, une maigre assemblée. Soit. Ça ne nous empêchera pas de nous mettre en parfaite condition grâce à leur fusion de pop, new wave et post punk synthétique aux nombreuses influences, lorgnant notamment sur les 80's. Le quatuor joue les titres de leur album intitulé Glove Of Pain sorti en début d'année. Le son est très bon, les lumières bien exploitées, avec toutefois une tendance à l'abus de lights clignotantes qui contrarie un peu nos pauvres yeux. Après un premier titre qui nous met "doucement" dans l'ambiance, on se prend en pleine face les lignes de basses fougueuses, du bassiste qui l'est tout autant, dès le second. Du côté vocal, c'est percutant, totalement habité, et emmené avec beaucoup de conviction. Entourant ce duo exalté, le guitariste et claviériste, plus posés, ne sont pas en... Lire la suite
(mon) Rock en Seine 2016, 1/2 : Wolfmother, Casseurs Flowters, Grand Blanc, La Femme, L7, Sigur Ròs, Massive Attack
Quand l'été est presque enfui, comme chacun sait, il n'y a qu'une seule solution pour le clôturer dignement : Back to Rock en Seine ! Bon, on pourrait nous accuser légitimement d'être un peu un touriste récidiviste par ici, à force de n'y passer qu'entre 1,5 et 2 jours depuis maintenant déjà quelques années. Il est vrai que la capitale recèle d'autres charmes et que la programmation peut parfois y avoir de sérieux trous d'air... Il n'empêche que l'auteur de ces lignes : 1) a vu les White Stripes ici en 2004 (voir chronique par ailleurs) ; 2) a créé à peu près la même année la page "Rock en Seine" de Wikipedia (si, si, ça ne s'invente pas, les nerds pourront même vérifier) ; 3) a célébré en cette année 2016, sa 10ième venue annuelle ici (tout en ratant royalement la veille le concert absolument splendide de The Last Shadow Puppets, pour la 2ième fois cet été après celui des Eurockéennes...) Votre serviteur évolue donc tel un fish dans ses chips entre les beaux arbres du Parc de Saint-Cloud, parfaitement à l'aise au milieu des désormais trois générations de rockeurs (à la recherche de leur dose de larsen), des toujours nombreux indigènes de Grande-Bretagne (avec leurs coups de soleil douloureux sur les épaules...), et de ceux de... Lire la suite
Muse, The Lumineers, Aaron, Lia, Grand Blanc, Courtney Barnett, Last Train, The Deaf (Paléo Festival 2016)
Nous voilà ici, de retour en Suisse, pour assister au Paléo 40+1 !!! La barre des 40 est passée, et l'ambiance du Paléo est toujours présente. On y retrouve aussi pas mal de têtes que l'on connait déjà autant parmi les autres photographes que parmi les festivaliers. Si, si ! Même au milieu de plusieurs milliers de personnes on en reconnait quelques-uns ! Pour démarrer ce Paléo, en ce jour de Mardi 19 Juillet, on assiste au traditionnel show case qui a lieu au Cosmo : petite lieu bien sympa avec sa petite terrasse et son lot de découvertes d'année en année. Lia Ici, c'est au tour de Lia de démarrer. Lia est un groupe suisse avec à la base Félicien Donzé. Sa musique est bien spontanée, attachante aussi et les textes sont sincères. Une certaine mélancolie apparaît cependant, mais l'énergie est là et leur show case est tout à fait intéressant. Cela donne très envie d'aller les voir sur scène cette semaine. Pour voir ce qu'ils font allez sur : 2016.liamusique.ch et sur https://www.facebook.com/LiAmusique/ Grand Blanc Ensuite, place à Grand Blanc, qui est un groupe venu de France. Concernant leur style de musique, les Suisses appellent cela de la musique Cold Wave Chromée. Allez savoir pourquoi.... Lire la suite
Grand Blanc : les chroniques d'albums
Grand Blanc : Grand Blanc - EP
Chronique écrite le 12/02/2015, par Philippe
Dès le Degré Zéro, il fait un froid polaire chez les bien nommés Grand Blanc, malgré un chant de fille ingénu (façon La Femme) qui vous réchauffe à peine le coeur, dans une ambiance cold wave marquée 80's. De même pour le lancinant Homme Serpent où l'on croit entendre les bruits et grincements de lourdes machines industrielles, en plus de la nette hallucination auditive Je suis la servante - ce qui lui donne un joli double sens. Mais puisqu'on parle de citations de texte, allons-y carrément, il y a de quoi faire : "J'ai ta gueule de brise-glace, plantée dans ma vitrine", "Reviens me chercher, j'veux pas finir aux objets trouvés", "C'est pas qu'on joue pas le jeu, mais les terrains se font vagues"... Depuis quand n'avions-nous pas entendu de si jolie saillies de poésie contondante dans la chanson française ? Sans doute depuis la disparition d'Alain Bashung, à qui ses mythiques paroliers... Lire la suite