Aprés une après-midi campagnarde bien remplie nous voici arrivés à l'Usine avec un peu de retard, Hélas pour la 1ere Partie qui n'est autre que M. Guem, le roi de la Percussion. Je regrette amèrement de ne pas avoir vu son set complet, mais déjà enfin le voir en vrai après avoir passé des années à regarder " Ca se Discute " juste pour entendre le générique (non je plaisante!! c'est pas trop mon truc!!). Je fais enfin la rencontre du maitre du Djembé et Derbouka, Monsieur Guem, je l'ai attendu longtemps ce moment et encore je le gâche en arrivant trop tard, pour tout voir et me gaver de ces percussions qui résonne encore dans ma tête 3jours après! C'est un vrai Dieu avec ces Mains, il sait vraiment s'amuser avec elles et les instruments qu'ils caressent avec Amour et rudesse par moment. Pour faire de la musique il est accompagné d'un bassiste et d'un batteur comme si ça suffisait pas, les siennes pour rajouter une batterie, enfin au fina ça ajoute un petit plus non négligeable. Pour la derbouka, il prend une chaise vient se mettre sur le bord de lascène et nous fait son fameux solo, plus de basse plu de batterie juste lui et ses Mains, il met la gauche à l'intérieur et avec la droite, il nous mime ce qu'il fait sur la peau pour ressortir... Lire la suite

Aixinki nous emporte dans un autre monde grâce à leur musique "spirituelle". Les musiciens n'ont aucun mal à partager l'ambiance et la passion dans laquelle ils jouent leur musique. Et pour nous aider encore mieux à nous évader dans des univers à tendances nordiques ou hispaniques entre autre, une musique traditionnelle ou des textes virevoltants nous font vibrer et on s'emporte facilement... C'est très bien. La mise en scène est classique mais tout de même bien disposée. On peut de ce fait apercevoir les multiples instruments employés pendant leur chanson. Soit dit en passant, ne manquez pas le concerto de triangle : les zygomatiques deviennent incontrôlables Final avec Fred de Vibrion au "chant" ... Puis vient le tour de Guem : Guem... Lire la suite

Toutes la journée, je l'ai passé, à téléphoner à Joe pour le convaincre de venir, et finalement il me remerciera, pour l'avoir traqué. Une fois n'est pas coutume, je me perds pour trouver les Docks des Suds, à chaque fois que j'y vais, ils changent l'entrée de place, et chaque fois ont se balladent dans Marseille. Il fait chaud, j'ai pas envie de me prendre la tête alors on roulera un petit moment avant de tomber dessus. Message au assos qui feront quelque chose la bas : des petits panneaux dans Marseille ce ne serai pas du luxe... à notre arrivée direct nous sommes pris en chasse par une petite Batuc bien sympathique, pas nombreux, ils seront le fil rouge de la soirée, et juste avant Guem, je dois avouer, ils mettront le Feu. Mais voici les Tambours de Brazza sur scéne, une dizaine de percu typique congolaise, un batteur, un bassiste, ils nous font monter la pression, trés dansant, trés visuel, c'est un plaisir de voir comme ils se font plaisir sur scéne, des remerciements, encore une petite phrase sur les publics nordistes "qui ont froid et donc moins le rythme dans la peau" selon eux. Une petite pause, le temps de voir Laurent de Supercussion, J.B. et Matt pour une petite pause Suisse, J.B. de 1-Ploz, et l'Ours de Mélaïna... Lire la suite

Soirée percus aux docks des suds, donc. Vers 20h30 une mini-batucada commence à jouer en se promenant d'une salle à l'autre, pour se mettre en jambe. Y a encore pas grand monde mais ça arrive. Vers 21h30 arrivent sur scène les tambours de Brazza. Ils sont 4-5 au début et commence à jouer, arrivent ensuite 6 gars avec des djembés et des chorégraphies et tout. Ils mettent une ambiance de feu : des morceaux endiablés, un chanteur aussi qui chante des mélodies bien accrocheuses, et ça danse dans le public, pas de problème. Lorsqu'il s'en vont, tout le monde est encore chaud. Re-arrivent le marching-band qui nous fait patienter (et aller prendre... Lire la suite