Garage pop rock, avec une voix féminine entre sensualité, violence et glamour, soutenue par les riffs garage de la guitare et le jeu groovy 60's de l'orgue. Le tout sous influences des 80's, tendance Lio, Stinky Toys ou Blondie et le New York 70's.
Ich Bin Dead se présente :Chant en anglais, français, allemand et même espagnol, riffs garage, surf ou rock'n'roll, présence marquée et audace... échos lointains d'une scène française des 80's... Bijou, Electric Callas, Stinky Toys, Starshooter, ou Marie et Les Garçons. Avec une nouvelle formation depuis janvier 2009 avec Julia à l'orgue sixties et toujours Pascal (Gasolheads / Neurotic Swingers) et Mathieu (Neurotic Swingers), ils viennent de sortir un excellent album dont le titre,"Angst Rock", est un bon résumé de leur propos.
Ich Bin Dead en concert
Ich Bin Dead : l'historique des concerts
Ve.
10
Janv.
2020
Ve.
01
Avril
2011
Secret Place - Saint-Jean de Vedas (34)
Ve.
21
Janv.
2011
La Machine à Coudre - Marseille (13)
Ve.
08
Oct.
2010
Sa.
25
Sept.
2010
La Machine à Coudre - Marseille (13)
Sa.
12
Juin
2010
La Péniche - Chalon/S (71)
Sa.
05
Juin
2010
Le Volume - Nice (06)
Sa.
29
Mai
2010
La Machine à Coudre - Marseille (13)
Ich Bin Dead : les dernières chroniques concerts 17 avis
Ich Bin Dead + Vaginal Liquid
Ce soir Ich Bin Dead fête la sortie de son premier album Angst Rock enregistré sous la houlette de Lucas Trouble et donc sorti sur Nova Express. Pour l'occasion il m'on demandé d'exposer quelques unes de mes photos de cette scène garage punk marseillaise foisonnante, au côté des photos "de press" de Franswa Guéry. Apres avoir donc épinglé tous un tas de groupes défunts et actuels (cf ici ou là) et être parti manger me revoilà dans une Machine bien remplie juste a temps pour ne voir que le dernier morceau et demi des Vaginal Liquid. Difficile de me faire une opinion mais mes les deux gars guitare et batterie sont concentrés et la chanteuse semble bien présente. A revoir donc. Une bière plus loin c'est au tour de 4 Ich Bin Dead d'attaquer. Je ne sais pas combien de temps durera le concert ni même si ils ont jouré tous leurs morceaux car depuis j'ai écouté le disque en boucle chez moi mais ce qui est certain c'est que j'ai passé un très agréable moment. Plus en place encore qu'au Poste lorsqu'ils avaient ouvert pour les Cowboys From Outerspace, peut être parce que là ils n'étaient pas limités dans le temps et pour ainsi dire "à la maison". Bref Axelle avec son timbre de voix caractéristique, à la fois geignard et geulard... Lire la suite
Cowboys From Outer Space + Ich Bin Dead
Critique écrite le 22 décembre 2009, par Jacques 2 Chabannes
Poste à Galène - Marseille 19 décembre 2009
" Les Cowboys Viennent de Mars, et les Cowgirls, de l'HyperEspace... (Comme chacun sait !) " (J'l'aime pas ce titre, faudra que j'en trouve d'autres...) " Ich Bin Dead (In The 80's !) " (Qui, qui dit mieux...) LE problème, avec les " IBD ", c'est que c'" est " un putain de mauvais trip, de genre régressif, qui vous (me ?) pousse à accuser lourdement le poids des années et errances passées... C'est un fait ! Dès les premiers riffs " griffés ", dès les premières nappes de claviers astucieusement placées entre batterie " beat " et râles éructés sur micro, c'est LE retour obligé vers les folles années " rock " du siècle passé ! Le souvenir du Gibus, les échos lointains des très (trop ?) vantées " 80's " passées sous les auspices d'une scène Française ayant eu Bijou, Electric Callas, Stinky Toys, Asphalt Jungle, Diesel, Starshooter, ou Marie et Les Garçons pour nom, et ambitions (ou envies) de légitime prise de pouvoir... Impression confirmée/oblitérée, dès les premières tensions vocales en provenance de cordes " blondes " toujours en limite de justesse et de brisures d'Anglais éparpillées partout, partout, partout autour, dans la plus grande tradition et le respect des codes du genre (hexagonal). Impression également... Lire la suite
Cowboys from outerspace + Ich Bin Dead
Critique écrite le 20 décembre 2009, par Stephane Sarpaux
Poste à Galène, Marseille 19 décembre 2009
Pour fêter la sortie de leur 6e album, "Super wight, Dark wight", les Cowboys from outerspace ont investi samedi soir le Poste à Galène. En première partie, ils avaient invité Ich Bin Dead, combo qui prépare la sortie de son premier album pour février 2010 Dans la salle, on pouvait croiser les membres du Lollipop Store, ceux de Sud Side et les membres de divers groupes marseillais (A-Phone, Holy Curse, The Irritones, The Aggravation, Elektrolux, Dissonant Nation...). Bref, toute la scène rock-punk ou presque de Marseille était présente pour ce concert des Cowboys qui demeurent, après 12 ans d'existence un point de mire à toutes ces formations, autant sur le plan musical que sur le plan de l'intégrité. Sans parler du look des Cowboys, définitivement classe. Mais Michel (chant, guitare), Bazile (basse) et Monsieur Henri (batterie) n'avaient manifestement pas envie de réaliser un concert hommage pour croulant sur le retour. Ils sont entrés sur scène vers 22h, de façon assez discrète. Ils ont branché leur ampli, mis les putters dans le rouge et ont balancé un "Black haired cocktail" totalement irrésistible. Emporté par son riff, Michel atteignait presqu'un état de transe. Les minots se sont rués devant la scène pour pogoter... Lire la suite
Ich Bin Dead + The A-Phones
Le marathon rock de la semaine commencé en compagnie, qui de Kid Congo, qui du Legendary Tiger Man, se continue en réconciliant ce soir les factions dissidentes autour du nouveau gang prometteur - et vraisemblablement futur meilleur groupe de punk-rock phocéen du monde : The A-Phones, suivi d'un retour très attendu, revu et corrigé des déjà cultes Ich Bin Dead. La Machine est remplie des gens "bien élevés" (sorry, private joke) qui aiment cette scène-la, et qui ne sont ce soir pas tout à fait assez nombreux pour la remplir. A croire que le nom finalement retenu par le groupe n'est pas aussi vendeur que Lollipop Steph and the FNAC Fuckers que nous avions pourtant élaboré, le Pinguin, Stéphane et moi suite à un long et embrumé brainstorming ici-même, et qui sur le moment (et encore maintenant) me paraissait prettycoolissime. Allez savoir, après tout ce nom-ci n'est peut-être pas définitif, au train où vont les choses ! Quoi qu'il en soit personne ne veut rater l'apparition du barman du Lollipop Music Store, Stéphane tout seul devant au micro, et notamment pas son collègue de burlingue qu'il a du stresser toute la semaine... C'est un peu comme quand Jack Black lance son propre groupe à la fin de High Fidelity, on l'attend un peu au... Lire la suite
Ich Bin Dead : les chroniques d'albums
Ich Bin Dead : Angst Rock
Chronique écrite le 04/04/2010, par Pirlouiiiit
Les premières traces de l'existence de Ich Bin Dead remontent à il y a presque 4 ans (le premier concert chroniqué date de mai 2006). 4 ans pendant lesquels ce groupe marseillais aura pris le temps d'affiner son son, son jeu, son line-up même, pour enfin sortir ce premier album extrêmement réjouissant. Axelle Schatz (chant), Julia Stravato (orgue), Pascal Escobar (guitare), et Mathieu Bimar (batterie) sont revenus de leur passage au kaiser studio en octobre dernier avec ces 10 petites merveilles garage pop rock. Avec ses anciens membres des Sugarfix, Gasolheads, Neurotic Swingers and co ... ce groupe se distingue clairement des autres par le chant féminin de Axelle (à mi chemin entre celui de Wild Cat Lou des Dirteez et celui de Lio) et par l'omniprésence de l'orgue de Julia (instrument que je n'avais pas entendu dans de telles formation depuis la fin de Electric Turn To Me ). Hyper dansant avec des textes explicites qu'on se fera un plaisir... Lire la suite
Ich Bin Dead : Yo Soy Muerto (2007 / Autoproduction)
Chronique écrite le 13/11/2007, par Zhou
Après une première démo plus que convaincante, les Ich Bin Dead sont de retour avec un 45T couvert une fois de plus d'une pochette tagué maison plutôt classe, bien que le reste de l'objet soit un peu trop "blanc". Il n'y a vraiment qu'un groupe s'intitulant déjà "Je suis mort" pour oser faire du garage en français à Marseille. L'audace est saluable et nous offre trois très bons morceaux dont une Hôtesse de l'air que je trouve très Dogsienne. Quand on sait que le quatrième titre (Warum nicht) est en allemand et que le nom... Lire la suite