Entre français et anglais, chansons et films, cinéma populaire et uvres radicales, Jane Birkin occupe une place à part dans le paysage culturel. Avec son petit accent, son air d'éternelle adolescente et sa sensibilité à fleur de peau, Jane Birkin a su devenir une référence de la scène française. Les multiples tubes (Lost Song, Dépression au-dessus du jardin, Baby Alone in Babylone, Ballade de Johnny Jane, Fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve, La chanson de Prévert, Les Dessous Chics, La Gadoue, Jane B, L'Anamour, La Javanaise... ) qu'elle chante sur scène ravissent ses fans ! En 2016 et 2017, Jane Birkin propose des concerts en version symphonique...
Jane Birkin en concert
Jane Birkin : l'historique des concerts
Ma.
21
Mars
2023
Di.
29
Janv.
2023
Sa.
03
Déc.
2022
Ve.
25
Nov.
2022
Sa.
12
Nov.
2022
Sa.
12
Nov.
2022
Di.
23
Oct.
2022
Ve.
16
Sept.
2022
Place du Château - Charnay (69)
Jane Birkin : les dernières chroniques concerts 7 avis
Dadju, Jane Birkin, Lou Doillon, Youssoupha, Patrick Bruel, Phanee de Pool, Orchestre de chambre de Lausanne, Jazzy Bazz, The Gardener and the Tree (Paléo Festival 2019)
Phanee de Pool Le dimanche au Paléo Festival, je démarre avec un très bon concert au Club Tent. Il s'agit de Phanee de Pool. Cette jeune artiste déborde d'énergie, elle est plein d'humour et elle fait de la chanson à texte. Celui-ci est réellement le socle de son uvre. Elle fait une sorte de slam élastique et malicieux comme ils disent ici. Phanee de Pool, c'est un peu Camille sans les pieds nus. C'est un peu Mademoiselle K qui aurait avalé sa distorsion par inadvertance. Avec sa guitare, un clavier, un looper, elle slame et rappe en symbiose : le slap est né. Elle débite, déroule, déballe, déambule, détonne, décale (parfois) et désarme (souvent). Animée d'une lucidité élastique, la jeune artiste suisse maîtrise la lame langagière comme une rappeuse et accompagne nos maladresses existentielles comme un ange sur l'épaule. Phanee de Pool, c'est une voix lucide, solide, espiègle qui se balade sur de la bricole mélodique gorgée de malice. Elle m'a d'ailleurs embarqué sur le crash barrière avec elle, c'était le top ! Carte blanche à l'Orchestre de Chambre de Lausanne Pour la suite de ce dimanche, on va respecter la coutume en continuant avec le concert de classique de la scène des Arches. Il s'agit cette... Lire la suite
Jane Birkin
Pour la première fois, j'allais voir Jane Birkin en concert. Décision prise pour la sympathie que je porte pour elle, et aussi un peu à cause de la frustration de ne pas pouvoir assister à un concert du grand Serge. C'est en toute simplicité, avec une formation réduite (un gratteux, un contrebassiste, une violoncelliste et un pianiste) que Jane investit le petit théatre du Gymnase. Les... Lire la suite
Jane Birkin
C'est sur on aurait cent fois préféré voir Serge Gainsbourg, OK on se fout complètement de ses nouveaux albums. Je reconnais qu'aujourd'hui Jane Birkin est un peu "has been". Mais bon c'est quand même la femme qui a partagé la vie de Gainsbourg pendant plus de 15ans. C'est pour elle qu'il a composé ses dernières belles chansons, alors que dans les années 80 ses propres albums étaient très médiocres. Et puis on a aussi le souvenir d'une femme à la beauté rare dont l'image de femme enfant illustre la pochette de l'histoire de Melody Nelson l'un des tous meilleurs (si ce n'est le meilleur) album de l'histoire de la chanson française. Alors oui j'ai décidé d'aller à ce concert. Ma... Lire la suite
Jane Birkin
Critique écrite le 24 septembre 2003, par Pirlouiiiit
Florence Gould Hall - New York 18 septembre 2003
Lorsque j'arrive une bonne demi heure a l'avance pour essayer d'acheter une deuxième place pour s. je constate qu'il y a déjà foule devant l'entrée du Florence Gould Hall sur la 59th ... et en plus il y a déjà des gens avec des pancartes "je cherche un ou deux billets" ... Tous les gens équipés de billets rentrent ... on patiente devant le box office ... jusqu'à ce que la responsable nous dise qu'il n'y a plus de places et qu'il n'y en aura plus ... du coup j'y suis allé tout seul pour constater que 1) il restait une bonne vingtaine de places et 2) que certaines des personnes qui étaient dans la queue avec nous ont fini par rentrer ... dégoûté ... bref ajoutons a cela que la personne a cote de moi était un tout petit peu désagréable ... et on comprendra que j'ai mis un petit moment avant de me détendre et apprécier pleinement le concert ... Sur scène un piano a queue, deux lutes (ça s'écrit comme ça ?), une derbouka, un violon. Un peu pares 8pm, Jane Birkin fait son une entrée timide (genre souriante un peu gênée de son succès et attachante) accompagnée de son pianiste Fred Maggio. Elle est sobrement habillée en noir dans une tenue qui laisse apparaître le bas de son ventre. Cheveux attachés. Elle occupe l'espace (assez... Lire la suite
Jane Birkin : les chroniques d'albums
Jane Birkin - Citizen Jane : Un Livre De Pierre Mikaïloff
Chronique écrite le 09/01/2010, par Pierre Andrieu
Parce que Jane B. méritait bien une nouvelle ballade, le stakhanoviste de la biographie, Pierre Mikaïloff, se propose dans sa dernière livraison - Citizen Jane - de narrer la passionnante histoire de l'actrice et chanteuse Jane Birkin, à peine quelques mois après son livre retraçant brillamment la carrière d'Alain Bashung. La méthode de travail qui a fait ses preuves sur les précédentes livraisons de Mr Mikaïloff est à nouveau utilisée ici avec succès : l'auteur détaille la vie artistique et la vie privée (qui sont ici intimement liées) avec force extraits d'interviews, éclairages biographiques et anecdotes piquantes, le tout en utilisant un style enlevé et savoureux. La rencontre de Jane Birkin avec son Pygmalion et mari, Serge Gainsbourg, leur collaboration musicale ultra marquante, la carrière cinématographique de la mère de Charlotte Gainsbourg aux côtés de Delon, Bardot, Antonioni, Doillon, Zidi ou Godard, ses engagements humanitaires, l'univers dans lequel elle... Lire la suite
Jane Birkin : RENDEZ-VOUS
Chronique écrite le 15/04/2004, par Pierre Andrieu
Il y a tout juste un an, notre premier rendez-vous scénique avec Jane Birkin avait déçu ; lors du concert à la Coopérative de Mai en mars 2003, l'ennui était rapidement venu s'inviter à la (triste) fête à cause de relectures plutôt laborieuses des chansons de Gainsbourg en versions algériennes, andalouses, juives et gitanes... Aujourd'hui, en s'affranchissant de l'écriture du fumeur de Gitanes, Jane retrouve la lumière et cesse de pleurer vainement pour utiliser sa voix inoubliable et son incroyable charisme. Bien sûr, au premier abord, ce retour avec un nouvel album de duo ne parait pas très intéressant et novateur... Mais cette fois, Jane a demandé à des petits jeunes d'écrire des choses plutôt réussies (Smile avec Brian Molko) et même parfois drôles (Je m'appelle Jane avec Mickael Furnon), tout... Lire la suite