Crooner brit-pop et francophile, ancien chanteur du groupe Pulp, Jarvis Cocker est aussi à l'aise dans le rock que dans la pop. Ses concerts sont tout à la fois remuants et drôles... De retour avec des lives en 2019 ! En 2020, nouveau projet électro pop nommé JARV IS... en compagnie d'un groupe flambant neuf : Serafina Steer, Emma Smith, Andrew McKinney, Jason Buckle et Adam Betts. Sortie du 1er album de JARV IS..., intitulé "Beyond The Pale", en juillet 2020.
Jarvis Cocker en concert
Jarvis Cocker : l'historique des concerts
Sa.
01
Juin
2019
Parc del Forum - Barcelone
Di.
09
Juillet
2017
Philharmonie de Paris - Paris 19e (75)
Ve.
04
Juin
2010
Sa.
06
Juin
2009
Je.
04
Juin
2009
Me.
03
Juin
2009
Ve.
29
Mai
2009
Parc del Forum - Barcelone (66)
Jarvis Cocker : les dernières chroniques concerts 4 avis
Pulp + Tristesse Contemporaine (Festival Les Inrocks 2012)
PULP, THIS IS HARDCORE Concert orgasmique du groupe anglais Pulp à l'Olympia de Paris, à l'occasion de la soirée de clôture du Festival Les Inrocks 2012... 21 ans après sa première apparition en France à La Cigale en 1991 pour ce même rendez-vous organisé par l'hebdomadaire culturel - désormais dirigé par un banquier d'affaires "de gauche" (sic) -, la troupe emmenée par l'incroyable showman, danseur fou et chanteur doué Jarvis Cocker propose en ce 13 novembre de fête un show jubilatoirement (ça se dit ?) hardcore à son parterre de fans ; malgré la présence de sa mère qui fête ce soir ses 70 ans et qui aura d'ailleurs droit à un "Joyeux anniversaire" entonné par la foule, Mr Cocker passe son temps à tortiller du cul, à prendre des poses super sexe, à imiter un strip teaseur dans un peep show (sur le titre This Is Hardcore), voire à jouer le rôle d'une sorte d'Iggy Pop british, dégingandé, obsédé et classe quand il fait complaisamment pendouiller son micro comme si c'était le terrible engin de l'iguane. Bref, Pulp en live en 2012, c'est très, très émoustillant ! On vous raconte tout ça dans quelques lignes... Tristesse Contemporaine Juste avant les 2 heures d'amour entre le groupe Pulp et un public hyper excité, la première... Lire la suite
(mon) Rock en Seine 2007 2/3 : PuppetMastaz, The Fratellis, Pravda, Erik Truffaz, Jarvis Cocker, CSS, The Jesus & Mary Chain, Tool
Le vendredi c'était par ici ! Après une nuit réparatrice, on rejoint le site sous un soleil de plomb (qui a dit que l'été était pourri ? A Marseille on a pourtant rien remarqué - hin, hin, hin...). Quoi qu'il en soit pas de panique : la boue n'a pas séché, les journaleux des Inrocks auront toujours l'air de cons en tongs, et les nombreuses minettes au look Plasticines (jean slim et mèche de rigueur), chaussées de bottes à fleur, seront toujours au top du chic et du tout-terrain !! Certains petits malins de nos amis ont pu faire entrer des breuvages non vendus sur le site, la moitié des jeunes de Londres est toujours là - et toujours ivre (certains avec des canettes en verre dont on se demande sincèrement où ils les ont cachées pour passer à la fouille), on a pu finalement rentrer même si nos bracelets sont d'ores et déjà à moitié effacés : tout s'annonce très bien ! Sont déjà en action les PuppetMastaz, un groupe d'une quinzaine de rappeurs crypto-teutons pour le moins original car composé de ... poupées, enfin de marionnettes un peu déglinguées avec des gueules de chaussettes trafiquées, disons plus près de Fraggle Rock que du Muppet Show, et qui envoient un rap de tous les diables ! A un moment donné un énorme Puppet gonflable... Lire la suite
The Jesus And Mary Chain + Cold War Kids + Jarvis Cocker + CSS + The Fratellis + Hellogoodbye (Rock en Seine 2007)
Deuxième journée fort sympathique au festival Rock en Seine, avec du soleil, de la chaleur, des groupes en forme et... des bains de boue au Parc de Saint-Cloud. S'il reste encore quelques traces de la pluie sur le site, il faut vraiment le vouloir pour plonger dedans et se recouvrir de boue (comme l'ont fait un certain nombre de petits agités non loin de la grande scène) ; car le franc beau temps est de retour, et la majorité des festivaliers ont préféré s'immerger dans un océan de groupes variés et désireux d'en découdre scéniquement parlant... Pas aussi extraordinaire que le vendredi (avec Arcade Fire, The Hives, The Shins, Dinosaur Jr, Hey Hey My My, Rodeo Massacre, Dizzee Rascal, M. I. A. et Rock & Roll), cette journée de samedi restera malgré tout un excellent souvenir. The Fratellis : des munitions pour remplir un juke box. ©Nicolas Joubard www.joubard.com Le marathon commence pour nous devant la grande scène, avec un bon concert des Fratellis, un power trio entre pop et boogie rock. Sorte de croisement habile entre T. Rex et les Libertines, la musique de ce combo plutôt puissant déménage réellement (cf leur album Costello Music). Le chanteur/guitariste , sosie de Mark Bolan, se démène comme un beau diable en... Lire la suite
Mogwai - Emilie Simon - Arcade Fire - Unkle - Jarvis Cocker - Rita Mitsouko - Jesus & Mary Chain - Tool - Faithless - Kings of Leon ...
Voici une critique brève, mais comportant la plupart des groupes présents durant les 3 jours du festival. 1er élément important, il a fait beau (juste de la flotte quand j'étais dans le métro pour y aller le vendredi) et ça c'était bien sympa et pas gagné (surtout vu le temps des jours/semaines/mois précédents). Vendredi : J'ai écouté quelques titres de Dinosaur Jr, ça ne m'a pas emballé plus que ça. J'en gardais pourtant un bon souvenir en CD, mais là bof. Très bon concert de Mogwai que je connaissais très peu. Pas évident de rentrer dans leur musique dans le cadre d'un festoche, mais ça m'a bien plu. Byffy Clyro très sympa, beaucoup plus brut de décoffrage qu'en CD. Un bon concert rock. Emilie Simon magnifique de bout en bout (bon j'avoue je ne peux pas être objectif la concernant). Ca m'a fait super plaisir de la voir enfin. Les Hives ont bien mis le feu. Très agréable en festival, ça bouge, ça rigole, ça met l'ambiance. Plutôt déçu par 2 many Dj's. Pas de grand intérêt à les voir en live pour moi. La tête d'affiche de la journée était Arcade Fire. Très bon son, setlist plutôt bien fichue. Pas mécontent de les avoir enfin vus. Un très bon groupe du reste. Je ne suis pas resté jusqu'à la fin pour aller voir... Lire la suite
Jarvis Cocker : les chroniques d'albums
JARV IS... : Beyond The Pale
Chronique écrite le 30/07/2020, par Pierre Andrieu
Le percutant nouveau projet de l'ex Pulp Jarvis Cocker se nomme JARV IS... et sonne comme une version 2.0 matinée de dance music et de pop expérimentale de son groupe précédent, dont moult points forts sont ici présents : la voix gravement sexy du chanteur, ses savoureux textes, son sens du songwriting et des arrangements. Enregistrés avec un nouveau groupe initialement créé pour le live - Serafina Steer (harpe, claviers, voix), Emma Smith (violon, churs), Andrew McKinney (basse, churs), Jason Buckle (synthés) et Adam Betts (batterie, percussions, churs), les sept titres de "Beyond The Pale" prennent souvent le temps de faire monter la sauce, atteignant fréquemment les 6 minutes. Après la ténébreuse ballade inaugurale nommée "Save the Whale" (grande performance vocale de Mister Cocker façon Leonard Cohen sur un texte entre humour et profondeur, superbes cordes et churs féminins parfaits), le disque offre une série de titres de haut niveau autorisant à se trémousser comme un dératé ou à la cool : le tube électronico pop du disque, "Must I Evolve?", l'électro pop trippante d'"Am I Missing Something?", le dansant mais néanmoins aussi planant que nostalgique "House Music All Night Long" ou encore la pop arty et futuriste... Lire la suite
Jarvis Cocker : Further Complications
Chronique écrite le 29/05/2009, par Pierre Andrieu
Joli coup pour l'infatigable Jarvis Cocker que ce deuxième album solo enregistré par Steve Albini... Si l'on excepte quelques morceaux un peu anecdotiques, Further Complications permettra en effet aux fans hardcore - et aux autres - de Pulp et de Mr Cocker de découvrir avec un large sourire le surprenant nouveau visage (barbu !) du facétieux et talentueux musicien ; la tonalité du disque est à la fois très "rock 'n roll à l'emporte pièce" et un peu soul vintage, on pense de temps à autres à David Bowie, aux Stooges, à Nick Cave et à de vieux disques de pop 'n soul blaxploitation (avec cuivres et tout le toutim). Dès le début du disque, on sent que notre homme Jarvis a envie de laisser parler la poudre des guitares électriques, ce qui donne des morceaux bruts de décoffrage comme Further Complications (gros riff électrique, voix et churs à la Bowie), Angela (gimmick de guitare stoogien + clap clap + voix pop = titre tubesque), Pilchard (à la Roxy Music/Bowie), Homewreclker ! (garage 'n soul !), Fuckingsong et... Lire la suite
Jarvis Cocker : Vidéo
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