L'électro pop mâtinée de trip hop de Jay-Jay Johanson nous entraîne au cur d'énigmes jazz et de swings mélancoliques. Ce crooner aux allures de dandy se balade astucieusement entre jazz, trip-hop et electro, un mélange de genres qu'il maîtrise à la perfection.
Jay-Jay Johanson en concert
Jay-Jay Johanson : l'historique des concerts
Je.
12
Oct.
2023
Sa.
07
Oct.
2023
Je.
05
Oct.
2023
Lu.
02
Oct.
2023
Sa.
30
Sept.
2023
Me.
01
Déc.
2021
Lu.
29
Nov.
2021
Sa.
27
Nov.
2021
Jay-Jay Johanson : les dernières chroniques concerts 9 avis
Jay Jay Johanson
La première fois que j'ai vu Jay Jay Johanson c'était dans un Poste à Galène archi blindé (la fois où j'ai assurément été le plus serré là-bas). En ce 24 novembre 1997*, je ne prenais pas de photos et ne faisais même pas encore de chroniques - les premières datent de 1998 - par contre j'enregistrais... Donc la seule trace écrite qu'il y a de ce concert est dans la chronique du concert suivant (voir chronique par ici). Depuis je l'avais revu une fois, au Poste à Galène, en 2011 (voir chronique par ici). Pour me remettre dans le bain j'avais pendant le week-end réécouté les 2 seuls albums que j'ai de lui à savoir Tatoo (1998) et Poison (2000) ... depuis il en a sorti 13 autres ... Les retrouvailles prennent le magnifique cadre de l'ArtPlexe, comme précédemment pour le concert de Mellano Soyoc (voir chronique par ici). Lorsque j'arrive, tout en essayant de régler le problème de la confirmation d'inscription au cirque pour Cyril, la salle est déjà presque pleine. Le concert organisé par AMAM affiche logiquement complet malgré son prix un peu élevé. Dès que tout le monde a pris place, ils arrivent par la même porte que nous mais tourne tout de suite à droite pour passer derrière le rideau. Ils se sont Jay Jay Johanson bien sûr, Erik Jannson son... Lire la suite
Jay Jay Johanson
Malgré ses trois ou quatre passages à Marseille, c'est la première fois qu'il m'est donné l'occasion de voir ce bon vieux Jay Jay Johanson, fort de 8 disques dont je connais surtout les premiers. Et même par cur pour ce qui est de "Whiskey" (1997), album qui l'a révélé avec son concept alors inédit de chansons en mode crooner sur des beats trip hop. Je ne suis visiblement pas le seul à entendre les réactions du public, sans surprise majoritairement féminin aux premiers rangs, lorsque résonnent les mesures de ces tubes crève-cur que restent "So Tell the girls that I am back In town", "I'm Older now", "The girl I love is gone" ou encore "It hurts me so" pendant lequel il chantera en Français quelques paroles du "A l'ombre de nous" de Francis Lai, qu'il avait samplé pour ce titre. D'autres morceaux choisis de ses précédents disques apparaissent de temps à autres avec plaisir : "Believe In Us", "Milan, Madrid, Chicago, Paris", "She Doesn't Live Here Anymore" ou encore "She'S Mine But I'M Not Hers". Du dernier album "Spellbound" sorti au printemps mais seulement découvert ces jours-ci, je reconnaitrai sa reprise de M*A*S*H "Suicide is painless" et les très beaux "On the other side" et "Dilemma". Accompagné du fidèle Erik... Lire la suite
Jay-Jay Johanson
C'est dans un silence absolu, religieux, que le crooner romantique s'est approché du micro pour nous ensorceler par son premier poème. A la fin de celui-ci seulement, les dernières notes accueillirent les applaudissements. Ainsi commença le concert de Jay-Jay Johanson dans cette salle Victoire 2, parfaite pour une telle communion. Taille raisonnable, son de qualité. D'autres chansons prirent le relais pour prolonger la magie. Tout en délicatesse, le piano d'Erik et la douce voix de JJJ nous ont fait revisiter un large éventail de leur... Lire la suite
Jay Jay Johanson
C'est un peu à reculons que j'allais à ce concert de Jay Jay Johanson... C'est surtout par curiosité que j'y suis allé d'ailleurs. Envie de revoir ce grand bonhomme sur scène, envie de voir ce que donnent les chansons que je n'ai pas écoutées... Quasiment toutes celles qu'il a faites depuis le décevant (trop électro, trop lisse, trop produit 80's, à mon goût) Antenna en 2002. Il y a des artistes comme ça, des artistes qu'on perd de vue. Et il y a des auditeurs comme ça (comme moi), qui après avoir adulé trois albums (les indispensables Whiskey, Tattoo et Poison entre 1997 et 2000), décrochent complètement quand l'artiste en question les déçoit. Antenna n'est pas seulement décevant d'ailleurs... Il est pour moi proche de l'album inaudible ! Voilà donc une bonne raison pour qu'en 2002, je divorce, renonce à cet amour musical et oublie un peu (trop) le Jäje tant aimé... He was mine, but (in 2002) I was not him's anymore. J'arrive donc au Cargo de Nuit avec une légère appréhension... Et puis, une scène avec deux claviers (ceux de son fidèle Erik Jansson) et un micro pour tout équipement, ça n'était pas fait pour me rassurer... Où sont les guitare et batterie dont tu t'entourais parfois autrefois Jay Jay ? Bon, pas trop de stress non plus... Lire la suite
Jay-Jay Johanson : les chroniques d'albums
Jay-Jay Johanson : Spellbound
Chronique écrite le 27/06/2011, par Pierre Andrieu
Retour tout en sobriété jazz du crooner suédois Jay-Jay Johanson avec l'album Spellbound, paru chez Universal Music Jazz en mai 2011... Sur ce superbe opus, la voix de dandy androgyne du très francophile Jay-Jay - qui a eu beaucoup de succès dans notre beau pays avec ses premiers albums remplis de sensuels mini tubes électro trip hop - évite d'en faire trop pour se mettre au diapason des musiques, peu rythmées, très calmes et créées en utilisant des ingrédients triés sur le volet : guitares sèches, basses rondes, pianos légers, orgues électriques classieux, cordes vintage, trompettes en apesanteur et harmonium renversant. Avec les onze titres (dont une reprise bien foutue et... Lire la suite
Jay-Jay Johanson : The Long Term Physical Effects...
Chronique écrite le 01/02/2007, par Pierre Andrieu
Revenu de ses "excentricités" électroniques/house, Jay-Jay Johanson, poursuit sa route - pavée de bonnes chansons superbement croonées - avec un album dans la veine de ses premiers disques, mais tenant compte des acquis engrangés au cours de sa carrière. Le Suédois mélancolico romantique (qui faisait craquer toutes les filles au siècle dernier) se lance donc cette fois-ci dans un disque ou le trip hop langoureux à la Portishead se mêle harmonieusement à l'électro pop recueillie et au jazz vintage... Même s'ils s'en contrefichent royalement, il va falloir signaler aux pseudo... Lire la suite
Jay-Jay Johanson : Antenna
Chronique écrite le 25/09/2002, par Pierre Andrieu
Malgré son nouveau look space punk provoc, Jay-Jay Johanson risque encore de faire fondre le cur des filles et des garçons avec ces dix nouveaux titres produits par Funkstörung, Martin Landquist et lui-même. Antenna a subi le contrecoup du revival eighties qui sévit en ce moment sur les platines du monde entier ; mais, fort heureusement, la voix langoureuse et chaude de JJJ est toujours aussi présente ! Jay-Jay se complaît un peu dans la mélancolie mais c'est comme ça qu'on l'aime, s'il hurlait "You gotta fight for your right to party" comme les... Lire la suite