La moitié hargneuse de N.T.M. est de retour en solo en 2011 avec son album Egomaniac. Après Gare au Jaguarr (2006), il reprend le micro avec toujours autant de fougue et d'humour. Bête de scène depuis ses débuts, ce rendez-vous n'est pas à manquer !
JoeyStarr en concert
JoeyStarr : l'historique des concerts
Sa.
05
Août
2023
Domaine de Nodris - Vertheuil (33)
Sa.
03
Sept.
2022
Parc Palauda - Thuir (66)
Ve.
01
Juillet
2022
Parc du Louvre - Bobital (22)
Di.
04
Août
2019
Plein air - Trelins (42)
Ma.
19
Mars
2019
Ma.
05
Mars
2019
Ma.
06
Nov.
2018
Sa.
06
Oct.
2018
JoeyStarr : les dernières chroniques concerts 29 avis
Joey Starr
Il s'agit d'un one-man show avec un pupitre et un canapé club sur scène. Public assez homogène, blanc, classe moyenne supérieure, 40 ans. Il s'agit de dire des textes classiques du répertoire français : Lamartine, Robespierre, Voltaire, etc.. Le dénominateur commun de ces textes est, en définitive, d'être pris dans le corpus dont se réclame la République Française. Ils constituent la base idéologique officielle des institutions actuelles, dans leur idéologie laïque et universelle (ambiance " liberté, égalité, fraternité "). Bref, Si Joey Starr n'était pas lui et si on était pas au Silo, on pourrait tout aussi bien être en plein cours d'Education Civique au collège. Joey, en guise d'introduction, nous dit qu'une des raisons pour laquelle... Lire la suite
Les Insus, Lilly Wood And The Prick, The Avener, Deluxe, Caribbean Dandee, Giedré, Bastille, Pandour (Paleo Festival 2016)
Paléo Festival de Nyon 2016, dernier jour... Pandour Pour ce dernier jour moi, je démarre la journée avec le show case de Pandour, qui est un jeune groupe Suisse qui fait de la Deep House organique de gangster (dixit Paléo !). Quel description original me direz-vous ! Ceci s'explique peut-être par le fait qu'en patois fribourgeois, Pandour signifie "sales gamins" et autant dire ça leur va plutôt bien. Lors de ce show case, ils nous jouent une sorte d'électro planante, avec quelques guitares rock par-dessus. Le mélange est savamment dosé et plutôt bien efficace il faut le reconnaitre. On se laisse porter par leurs mélodies bien construites, parfois un peu longues, mais tout de même agréables. Pour ce groupe là, vous l'aurez compris, ce n'est que de l'instrumental, pas de paroliers dans le groupe ! Apparemment, ce genre musical marche beaucoup, car j'ai pu constater que de plus en plus de groupe faisaient cela et ce n'est pas désagréable. Pour les curieux, aller les découvrir en live et sinon, sur le Facebook : facebook.com/Pandour-303466273025435 Giedré Je revois aussi une autre artiste que j'avais vu au Détour je crois, quelques années plus tôt. Il s'agit de Giedré. La fameuse Giedré qui tourne... Lire la suite
SOLIDAYS - JOUR 3 : Garbage, Joeystarr, 1995, Bernhoft
Joeystarr DIMANCHE 24 JUIN 2012 Temps : Only Happy When It Rains On a vu : Maïtena Biraben sous deux parapluies et les pieds dans la gadoue. BERNHOFT - Scène Dôme - 19h00 : 6/10 Le prodige soul venu de Norvège, un peu survendu ces dernières semaines, a une belle voix et ne manque indéniablement pas de talent. Il remplit même des salles de plus en plus conséquentes. Et pourtant... qu'est-ce qu'on s'ennuie ! Au bénéfice du doute, on dira que c'est parce que sa musique doit probablement mieux s'apprécier dans l'intimité d'une salle que dans le trop grand espace d'un festival comme Solidays. Hélas, seulement armé d'une guitare acoustique et d'un clavier auquel il touche fort peu, le chanteur ne parvient pas à enthousiasmer au-delà du dixième rang. D'ailleurs, la foule ne s'y trompe pas et se disperse rapidement. A revoir dans un autre contexte. Bernhoft 1995 - Scène Domino - 20h00 : 6,5/10 Les prodiges hip hop venus de Paris, un peu survendus ces dernières semaines, ont un énorme capital sympathie et ne manquent indéniablement pas d'enthousiasme. Ils sont même la carte joker trouvée par nombre de festivals cet été pour appâter le curieux à moindres frais. Pourtant, si on leur reconnaîtra un show mieux tenu qu'au... Lire la suite
Joey Starr
Sorry pour Degom mais le concert a démarré bien à l'heure alors que moi je suis toujours en retard. Toujours difficile de chroniquer un artiste qu'on adore d'autant que je ne l'ai jamais vu pendant les années de gloires du Suprême. J'ai peu d'éléments de comparaison, je l'ai raté en solo à l'Espace Julien pour la tournée Gare au Jaguar et préfère ne pas revenir sur son passage à Marsatac. Bref, ce soir au cabaret ce fut un bon concert, sans plus, bien servi côté poudre mais sans étincelle. Pourquoi, je n'ai que des débuts d'explications : Formation classique 2 DJ ( DJ Calculator et Kimfu qui a produit le dernier album Egomaniac) et un backer Nathy Boss. Pas d'esbroufe sur la mise en scène, une entrée sur J'arrive avec un bon gros son et c'est parti. Un bon gros son c'est une façon de parler hein parce qu'encore une fois ici le son, ça ne va pas. Toujours le même problème au Cabaret, c'est quitte ou double sur la balance. C'est con quand même parce que ce type est un performer et qu'il a vraiment une voix extraordinaire. Ensuite l'énergie et la réponse de la salle. Joey versus le public ça donne où sont mes larcars, où où sont mes lascars ?. Ben justement, ils sont pas venus en masse. Faut dire à 28 euros la place t'as le... Lire la suite
JoeyStarr : les chroniques d'albums
Joeystarr : Gare Au Jaguarr
Chronique écrite le 29/10/2006, par Philippe
S'il y a bien un mec qui n'attire pas spontanément la sympathie, c'est Joeystarr. Grande et plutôt sale gueule, réputé macho et violent, on reste en plus sur une prestation live désinvolte l'an passé à Marsatac... Le bonhomme semble en roue libre depuis la fin de NTM. Grosse surprise du coup, que ce premier album solo qui s'ouvre par une bombe, J'arrive, claque inaugurale sur riff metal, qui fait déjà regretter d'avoir mis le doigt dans l'engrenage : il ricane, il braille (et chose notable, maintenant on le comprend !), il cogne, ça fait l'effet d'une énorme boule de nerf en liberté, on se sent comme devant un pitbull qui aurait pété sa laisse... Gare au jaguarr ! dit d'ailleurs la reprise misogyne mais marrante de Brassens, que celui-ci aurait probablement apprécié (et qui va valoir à ce disque une interdiction tout à fait débile). Cours, chanson combattante, ajoute toutes les raisons qui font encore courir la bête, et il y en a. L'Intro du poids lourd comme un champion de boxe se finit dans un silence glaçant : personne n'applaudit, sur ce coup-là Didier Morville se pose comme seul contre tous. Il est là pour régler des comptes, d'abord avec le milieu... Lire la suite
Top Soul-Funk-Rap
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