Garage post-punk, suant, saignant et sensuel.
Johnny Division en concert
Johnny Division : l'historique des concerts
Ve.
28
Oct.
2011
La Machine à Coudre - Marseille (13)
Lu.
04
Juillet
2011
La Machine à Coudre - Marseille (13)
Di.
20
Fév.
2011
La Machine à Coudre - Marseille (13)
Sa.
19
Fév.
2011
Me.
22
Déc.
2010
Enthropy - Marseille (13)
Ma.
21
Déc.
2010
Up and Down - Montpellier (34)
Ma.
31
Août
2010
Ma.
06
Juillet
2010
Enthropy - Marseille (13)
Johnny Division : les dernières chroniques concerts 4 avis
Johnny Division
Critique écrite le 24 février 2011, par Pirlouiiiit
Lollipop Music Store - Marseille 19 février 2011
Enfin ! Après je ne sais pas combien d'occasion ratées j'ai enfin vu Johnny Division en concert ! Bon en fait en "showcase" mais c'est déjà pas mal. Il faisait partie de ces groupes "récents" dont je voyais passer le nom mais que je ratais systématiquement (comme par exemple aussi - et depuis bien plus longtemps - les Jolis ou encore les Dolipranes ... désolé). La séance de rattrapage / découverte se passe donc ce samedi soir (encore) au Lollipop Music Store, pour promouvoir leur passage le lendemain (il m'a fallu un moment pour comprendre que c'était parce que le lendemain les lycéens étaient en vacances) à la Machine à Coudre. Les Johnny Division sont donc 3 : Vince Halliday basse et churs, Blanche Fesse batterie et churs et Alex Cyprine (aussi membre des Devilish Piranhas lorsqu'il met un chapeau) chant et guitare. Si sur les premiers morceaux j'ai trouvé leur univers un peu trop proche de celui des Dirteez et Devilish Piranhas justement - donc le couple chanteur/guitariste était évidemment présent dans la salle - pour que je lui associe un son, plus le concert avancait moins j'avais cette impression. Les influences ou références de ce trio souriant sont nombreuses et reconnaissables des Cramps (Poison Ivy), aux... Lire la suite
Johnny Division + Teenage Moonlight Borderliners + The Tundra Fucks
Début de semaine. Saison chaude et moite. Mes pas m'entraînent une fois de plus vers Enthropy, ou, décidément, on ne chôme pas : malgré la chaleur, les vacances, et le début de semaine, on nous promet des soirées avec non pas un, mais TROIS groupes. C'est encore à l'initiative de Well Done! célèbre structure qui nous régale depuis quelques temps avec des groupes bien barrés, parfois. Il y a pas mal de monde, assez jeunes pour la plupart, et pleins de jolis garçons et de jolis jeunes filles. C'est mignon, tout ça. Ce soir, à l'affiche, il y a les Tundra Fucks. Lorsque j'ai pris la peine de les écouter, ça m'a dissuadé à tout jamais d'aller voir les Lords Of Altamont. C'est vous dire. Allez! Comme à leur habitude, ce sont les Johnny Division, du Texas de la Plaine qui débarquent en premier. Ah! on dirait qu'ils ont graissé la tronçonneuse, ce soir. Je commence à bien connaître leurs titres, et je ne sais pas si c'est la bière ou la chaleur, mais je les trouve de mieux en mieux foutus, ces morceaux. Depuis quelques temps, il est vrai, ils se sont adjoint la présence d'un bassiste. Mais en fait, c'est juste que ça commence à tourner bien rondement. Entre le twist et le pogo, entre le garage et la voie rapide. D'ailleurs, j'avais oublié... Lire la suite
Johnny Division + El Mato a un Polizia Motorizado
La soirée avait pourtant plutôt bien commencé. Le jour n'est pas encore tombé, que pas mal de gens sont déjà devant la salle, en compagnie des musicos. Il paraît que El Mato (sic) est un groupe qui marche très fort dans leur pays (Argentine), et en plus, ce soir, c'est la seule date, en France, de leur tournée Européenne, et Johnny Division, un groupe qui marche très fort dans leur pays d'origine (Sacramento, CA) Ah ah ! Nous voila à l'intérieur en compagnie d'une bande de zombies issus de la mouture années 80 du Retour des Morts Vivants, et fraîchement débarqués de quelque pays Outre-Carpathes. "BECOME A MEMBER OF THE WALKING DEAD...!" Sont sympas. Il est temps pour les Johnny Division de commencer à secouer tout ça. La jolie batteuse arbore un super tee shirt bien sanglant, du fait du Johnny à la tronçonneuse, sans doute? Un début de set un peu vasouille et flottant, sous divers psychotropes amollissants, certainement, ou de la chaleur, mais au bout de deux trois titres, c'est parti! ça bouge bien, le beat est tendu comme un piège entre psycho et rock garage, country déboîtée. "WE ARE JOHNNY... Lire la suite
Dead as a Dodo + Johnny Division + Ultrateckel
(photos: mary teenage boogie) Le mot Enthropy caractérise toujours la complexité d'un système, en l'occurrence une soirée duos bassless dans ce cas précis. O, C.M.O, je t'invoque à présent, fantôme de bric à bac à zizique qui autrefois recouvrait ces murs de tables de mixage Louis XV et de guitare qui sentait la chèvre rance. En entrant dans la salle avec le Teckel-le-plus-ultra, voici que je vois là ectoplasmes de rayons et de vitrines pleines de pédales d'effets pastels à prix réduits, couinantes comme des rats d'animalerie dans l'attente d'un propriétaire et d'affection. Quand on s'installe dans les loges après les balances, le spectre du local à cymbales me rappelle à lui de ses odeurs cuivrées... J'y brule un bâton d'encens chanvré avant de monter sur scène. Hommage. UltraTeckel, c'est un... Teckel, évidemment. Tout poilu et qui frétille dans tout les sens comme une saucisse sur un barbecue chauffé à blanc. C'est un chien anthropomorphe, puisque il a des mains prolongées par des bras qui lui permettent de jouer de la guitare. Il chante des chansons sur le karaté, la prison, le monsieur dans sa tête, les clitoris et les chiens (normal). Entre deux morceaux, il aboie, tire la langue très bas, et se lèche le zizi. Il à un... Lire la suite
Johnny Division : les chroniques d'albums
Johnny Division : Ooga Booga
Chronique écrite le 04/04/2011, par Griffu
Marseille est une matrice prolifique en ce qui concerne les groupes de garage punkers. Mais, comme les papillons de nuit, ils ont souvent une durée de vie éphémère et ont la fâcheuse habitude de se copier les uns les autres. Johnny Division semble pourtant faire exception. Ce nouveau "local band" vient en effet de sortir sa première galette sur l'obscur label : Pariah ! (avec un "H"...encore un label de fumeurs...). Et à la première écoute on est content d'entendre enfin quelque chose d'original. La faute en revient principalement à la présence de deux chants : celui du chanteur + celui d'une... Lire la suite