Saxophoniste jazz, aux influences asiatiques. Il est reconnu comme un des saxophonistes majeurs de ces 30 dernières années, autant pour la richesse de ses compositions que sa puissance d'improvisation (tant sur le plan rythmique qu'harmonique).
Kenny Garrett en concert
Kenny Garrett : l'historique des concerts
Me.
31
Juillet
2024
Sa.
04
Nov.
2023
Salle Guy Obino - Vitrolles (13)
Sa.
16
Oct.
2021
Cartonnerie - Reims (51)
Ma.
12
Oct.
2021
Di.
11
Juillet
2021
Di.
11
Juillet
2021
Pinède Gould - Antibes Juan les Pins (06)
Sa.
13
Fév.
2021
Ve.
07
Fév.
2020
Kenny Garrett : les dernières chroniques concerts 2 avis
Kenny Garrett
Kenny Garrett explore des mondes musicaux. Il passe d'un patchwork world, estampillé "Easy Listening" tantôt tendance africaine, tantôt asiatique, que l'on retrouve sur le disque Beyond The Wall notamment, à des explorations dans le Blues, dans le Gospel, le Funk, puis il s'engage sur un versant plus personnel, -le plus passionnant certainement- plus empreint de spiritualité qu'on qualifie souvent de mystique, dont témoigne le disque Songbook. Les critiques s'accordent sur un point : de sa musique émane un épanouissement total, plein d'assurance, d'énergie, de vitalité, mais aussi de lumière, de clarté. Ils reconnaissent en lui l'un des plus grands saxophonistes de ces trente dernières années. Kenny Garrett visite de nombreux territoires, mais les restitue selon son langage, très technique, très personnel. L'altiste présente ce soir, au Casino d'Hyères, son tout nouveau disque, sorti il y a deux jours à peine: Seeds From The Underground, où il retrouve une formation acoustique. Que nous réserve t-il ? Nous sommes chaleureusement accueillis, avec gentillesse, simplicité et humour par une hôtesse accorte, ce qui contraste avec l'aspect du lieu : casino Varois à la façade rutilante, tout en blancheur, en lumière et en palmiers... nous... Lire la suite
Jazz des Cinq Continents 2/5 : Chick Corea Freedom Band + Omri Mor Trio
Tout simplement : le meilleur concert de ma vie. Je ne parle pas d'Omri Mor Trio, peuchère. Il va me falloir faire des efforts incommensurables pour me souvenir de sa prestation. Le Freedom Band a tout effacé, a nettoyé mon disque dur à présent peuplé d'images et de sons, ceux-ci inoubliables. Allez, Omri Mor les mérite bien ces efforts. Ce pianiste israélien nous propose ses mélodies qu'il joue au piano avec virtuosité. Des mélodies faciles d'accès auxquelles il ajoute des variations. C'est le cas de Shahar, et d'une ballade jouée en dédicace à "son héros" Chick Corea. Des mélodies qui font parfois penser à Michel Legrand. Il a sauf erreur interprété des pièces d'un autre de ses projets, l'Israeli Andalus Orchestra. L'une, où la contrebasse et le piano jouaient la même partition en intro, vira vers le klezmer et gagna en vivacité. Sur une autre, Ramel Maya, peut-être commençais-je, comme la veille avec Esperanza Spalding, à me lasser du manque de variété. La technique est là certes, l'émotion beaucoup moins. Les pièces dépassent allègrement les dix minutes et c'est un peu trop long. L'enthousiasme des trois complices est palpable mais ne se répand pas dans le Parc Longchamp. Le programme annonçait deux invités aux... Lire la suite