Electro futuriste. Un mélange entre électro, hip-hop et funk. Construit autour de la note en "si", son disque comporte seize titres présentés avec une géométrie parfaite en quatre mouvements, rappelant ainsi la formation classique de l'artiste.
De son vrai nom Pierre-Antoine Grison, Krazy Baldhead acquiert une formation jazz après dix ans d'études au conservatoire. Dès 1998, il commence à s'intéresser à la musique électro et signe en 2004 avec le label Ed Banger Records pour lequel il produit, entre autres quelques EPs et maxi tels que Bill's Break (2004) ou Dry Guillotine (2007).
Des Chemical Brothers à Miles Davis en passant par Bill Evans, son inspiration est multiple et lui permet de jongler habilement entre plusieurs registres musicaux afin de créer l'univers si particulier qu'il sert dans son premier album, The B-Suite, sorti en avril 2009.
Cet album, véritable témoignage de la diversité de ses influences, est un mélange entre électro, hip-hop et funk. Construit autour de la note en "si", le disque comporte seize titres présentés avec une géométrie parfaite en quatre mouvements, rappelant ainsi la formation classique de l'artiste.
Krazy Baldhead en concert
Krazy Baldhead : l'historique des concerts
Ve.
01
Mars
2013
Sa.
15
Déc.
2012
Espace G. Philipe - Fontenay/Bois (94)
Sa.
27
Oct.
2012
Zénith Oméga - Toulon (83)
Ve.
21
Sept.
2012
La Tossee - A l'union - Tourcoing (59)
Je.
05
Juillet
2012
Terrasse du Palais des Festivals - Cannes (06)
Sa.
21
Avril
2012
La Gaîté Lyrique - Paris 3ème (75)
Je.
12
Avril
2012
Je.
23
Fév.
2012
L'Aéronef - EuraLille (59)
Krazy Baldhead : les dernières chroniques concerts 1 avis
Marsatac : General Elektriks, Raekwon, Delinquent Habits, Beat Torrent, Krazy Baldhead, Buraka Som Sistema
Deuxième soir placé sous le signe du hip hop et assimilés, ce vendredi au Docks a eu comme souvent son lot de bonnes surprises contrebalançant les (prévisibles) déceptions. J'arrive à la fin des sets de Poly Rhytmo et de Molecule, et ne reste pas longtemps devant Raekwon qui comme beaucoup de têtes d'affiche rap ramène un max de public wu-wearisé et indulgent mais livre un début de set sans prise de risques, avec principalement des classiques du Wu Tang circa 93 alors qu'il vient de sortir un album solo plutôt bon. Pas franchement un problème en soi, on ne se lasse jamais vraiment d'entonner un bon vieux "Can't it be so simple" ou "C.R.E.A.M" les bras levés mais sur scène c'est assez monotone et, plus grave à mon goût, l'absence de balance trop souvent déplorée chez ces poids lourds du son US donne encore une fois un son bâclé où les voix sont saturées et les instrus se devinent plus qu'elle ne font vibrer. Sans regret, direction la petite scène pour enfin revoir General Elektriks dont le premier passage à Marseille (2004 en première partie de Buck 65) ne m'avait pas plus convaincu que ça mais dont le dernier disque matraqué par Nova regorge de tubes potentiellement redoutables sur scène. Et effectivement c'est encore... Lire la suite