Le groupe Lafayette fait du Heavy Rock Soul 70s'. En tournée française en première partie de Johnny Hallyday en 2016 !
Lafayette se présente :
Lafayette en concert
Lafayette : l'historique des concerts
Me.
12
Avril
2017
Me.
29
Mars
2017
Me.
15
Mars
2017
Ve.
17
Fév.
2017
Petit Bain - Paris (75)
Lu.
19
Sept.
2016
Ma.
19
Juillet
2016
Di.
27
Mars
2016
Je.
24
Mars
2016
Lafayette : les dernières chroniques concerts 3 avis
Dum Dum Girls + Kill The Young + Lafayette
Samedi soir, soirée rock que j'attendais avec impatience. Je m'y suis rendu tranquillement, en un temps record je crois bien, personne sur la route, tout le monde se préparant sûrement pour le match OM-Montpellier ... bref, en ce weekend de Paques, avec le match, c'était pas gagné pour le remplissage de la salle. Mais au final, un minimum de monde avait fait le déplacement... Je ne saurai pas vous dire combien, mais cela reste peu. Mais bref, en compagnie de Sami, et de très bonne musique, je ne me suis pas ennuyé un seul instant. La soirée a commencé par Lafayette, groupe parisien de hard rock avec une chanteuse black à la voix soul et une coiffure bien afro (Effet cool : en fonction des spots, elle adoptait la couleur ambiante). La seule chanson que j'avais écouté d'eux avant le concert ne m'avait pas déplu, je les ai donc écouté avec attention. Du gros son qui se révélera efficace et réussira à remplir son rôle de première partie avec brio : chauffer la salle. Parce qu'il faut bien avouer que j'ai trouvé le public assez glacial au début. A la fin, la chanteuse invita le public a monté sur scène pendant leur chanson "Come On", pour conclure avec plein d'énergie ce bon set. Ça ne casse pas des briques, mais le groupe fut sympathique... Lire la suite
Dum Dum Girls + Kill The Young + Lafayette
Belle soirée rock dans un Cabaret pas trop vide malgré le contexte (mauvais temps, week end de Paques...) peu propice à attirer du monde. Lafayette, nous voilà. Groupe parisien qui va progressivement mettre dans sa poche un public pas spécialement venu pour eux. Du gros son assez peu subtil mais plutôt efficace. Dans les moments les plus faibles on a un peu l'impression de voir un clone d'Afida Turner accompagnée par Spinal Tap, mais dans les meilleurs moments leur soul matinée de hard rock (ou l'inverse) est pas si éloignée des Bellrays. La chanteuse a une voix puissante et reprend plutôt bien le "White Rabbit" de Jefferson Airplane, se fait sensuelle sur "The Beast". Bonne idée que d'inviter les plus motivés à escalader la barrière et monter sur scène lors de leur single "Come On". L'ambiance monte d'un cran et malgré des reserves purement stylistiques, j'ai trouvé ce combo energique des plus sympathiques. Kill The Young étaient annoncés comme la tête d'affiche mais ne jouent bizarrement pas en dernier. Ca peut se comprendre vu le très jeune age d'une partie de leur public, très enthousiaste et reactif à leurs tubes, qui ne restera pas après. On s'amuse de leur décor avec des cages d'oiseaux... Lire la suite
Belphegorz + LaFayette + the Last
Critique écrite le 01 février 2011, par the Vaccuopilot
L'Escale - MJC Aubagne / Aubagne 29 janvier 2011
Si l'on pénètre dans une salle obscure depuis l'extérieur où il pleuviotte sur un début de nuit frileux et désertique et que l'audience y est clairsemée, on se presse instinctivement vers le fond, contre la console, et on tente de s'acclimater à la soudaine pression sonore en découvrant le spectacle. A partir de là, c'est quitte ou double. Et comme le spectacle est brutal, j'aime tout de suite. Belphegor'z. Le Larousse des enfants du rock est jeté sur le sol dallé de l'Escale, tailladé par les rais obliques de projecteurs rouges qui bavent sur ce quatuor saisissant qui sent immédiatement la sueur. On voudrait parler de rescapés mais ce serait stupide, le mieux c'est encore de jouir de cet incroyable spectacle : deux icônes écornées portent en bandoulière l'héritage de ce rock frappé de la malédiction des idoles brûlées, aux côtés de deux mercenaires embrigadés à l'intérieur de leur roadster cahoteux. Une chanteuse délicieusement rauque, encornée léopard, moulée dans un short paillette, perchée sur des escarpins et scotchée dans son trip électrique de révolte ouvrière échange une complicité potache avec un bassiste émacié et casquetté tout droit sorti des backrooms new-yorkais des 80's au milieu d'un déluge foutraque de gimmicks... Lire la suite