Le Villejuif Underground est un groupe français de rock garage emmené par l'Australien Nathan Roche... EP intitulé Heavy Black Matter chez Born Bad Records en 2016. En tournée en 2019 pour jouer en live l'album When Will the Flies in Deauville Drop?.
Le Villejuif Underground en concert
Le Villejuif Underground : l'historique des concerts
Ma.
19
Nov.
2024
Ve.
10
Mars
2023
La Nouvelle Vague - St Malo (35)
Lu.
07
Nov.
2022
Sa.
28
Mai
2022
L'Aéronef - EuraLille (59)
Sa.
27
Nov.
2021
La Station - Gare des Mines - Paris 18e (75)
Sa.
20
Nov.
2021
Brise Glace - Annecy (74)
Di.
22
Août
2021
Le Tertre - Mont-Dol (35)
Di.
30
Mai
2021
Parc de la Villette - Paris (75)
Le Villejuif Underground : les dernières chroniques concerts 6 avis
Festival Hop Pop Hop 2020 - 19 septembre : Matt Elliott, Le Villejuif Underground, Popof, Madmadmad, Pongo
Critique écrite le 26 octobre 2020, par Pierre Andrieu
Jardin de l'Evêché & Campo Santo, Orléans 19 septembre 2020
Après une première soirée bien remplie (Dombrance, Structures, The Mauskovic Dance Band, Camilla Sparkss, MSS FRNCE, The George Kaplan Conspiracy, chronique ici), il y avait encore pas mal de belles choses à voir lors du deuxième et dernier jour de l'édition 2020 du festival Hop Pop Hop à Orléans, le samedi 19 septembre. Si le déluge ne s'était pas abattu sur le site juste avant le set de Johnny Mafia, empêchant le groupe de jouer (ce qui est bien triste, mais on avait bien profité de son concert à Rock in The Barn la semaine d'avant), tout aurait été parfait, mais on a quand même réussi à passer du bon temps en compagnie de Matt Elliott, Le Villejuif Underground, Madmadmad, Popof et Pongo... Matt Elliott Grand moment pour débuter la journée avec Matt Elliott à la salle de l'Institut, très beau lieu pour donner des concerts intimistes en indoor. Venu présenter son dernier disque en date, le très prenant et réussi "Farewell to All we Know", le prolifique songwriter folk à la voix grave dévoile à l'occasion du festival Hop Pop Hop une création en trio avec les précieux et inspirés Barbara Dang, au piano, et Jeff Halam, à la contrebasse. Dès le début, c'est un pur bonheur : les superbes parties vocales, le jeu de guitare... Lire la suite
Idles, Bertrand Belin, Amyl & The Sniffers, Ho99o9, Requin Chagrin, Le Villejuif Underground, Namdose, Slift, Muddy-Gurdy, Rendez-Vous, Structures, We Hate You Please Die, Lysistrata, Mourn, The Psychotic Monks (Printemps de Bourges 2019)
43ème édition sous un soleil estival pour le Printemps de Bourges, qui a une nouvelle fois permis de prendre une grande rasade de concerts marquants. Et en bonne compagnie s'il vous plait: 200 000 festivaliers étaient réunis dans les salles et les rues du mardi 16 au dimanche 21 avril 2019. Muddy-Gurdy On commence notre marathon du live mercredi place Séraucourt avec Muddy-Gurdy, qui déroule un set mélangeant brillamment le blues du Sud des Etats-Unis avec une vielle à roue made in Auvergne (il y a une vielle à roue au sein du trio) et des clins d'il vers les rythmes africains. C'est enlevé, original et tout se termine en apothéose avec une cover percutante du "Pretty Thing" de Bo Diddley. Structures Direction ensuite le 22 d'Auron pour découvrir trois prometteurs groupes français : Structures, avec son post punk totalement hystérique et son chanteur très en rogne, We Hate You Please Die, qui se vautre avec délectation dans un garage teinté de punk sauvage, et Slift, adepte d'un kraut garage psyché maléfique, dans la lignée des Oh Sees. Le Villejuif Underground Jeudi, grosse soirée au Nadir... Avec tout d'abord Namdose (fusion inspirée des groupes BRNS et Ropoporose), qui chauffe le public avec sa pop... Lire la suite
The Brian Jonestown Massacre, Etienne Daho, The Black Angels, Grizzly Bear, Shame, The Liminanas, Le Villejuif Underground (La Route du Rock 2018)
Critique écrite le 07 septembre 2018, par Pierre Andrieu
Fort de Saint-Père, près de Saint-Malo 17 août 2018
Après une première soirée de fort bon aloi à La Nouvelle Vague de Saint-Malo en compagnie de Marlon Williams, Ezra Furman et The KVB, c'est avec une joie non dissimulée que l'on foule pour une énième fois le sol du Fort de Saint-Père le vendredi 17 août. Pour l'occasion, le lieu est baigné de soleil et s'apprête à accueillir une énorme programmation dont La Route du Rock a le secret, avec une foule d'artistes à la fois pointus et fédérateurs dont les têtes d'affiche de grand luxe sont Etienne Daho et The Brian Jonestown Massacre. Le Villejuif Underground Sur la scène des remparts, à 18 heures 30, c'est le Villejuif Underground qui se charge de lancer officiellement l'édition 2018 du festival, avec un set 100% branleur et 0% naze comme à son habitude. Habillés en guenilles tels des clodos se fournissant chez Emmaüs, complètement hallucinés, les membres du groupe francilien et leur leader australien Nathan Roche ne déçoivent pas, bien au contraire. Car, sous un vernis nonchalant et joyeusement débile, le Villejuif Underground offre de véritables morceaux de garage rock décavé chantés avec une voix revenue de tout, un peu à la Lou Reed (d'où le drolatique nom du groupe). Entre deux conneries lâchées au micro (dont un... Lire la suite
Festival Transfer : Trisomie 21 + Le Villejuif Underground + HMLTD + Dollkraut
En ce deuxième jour du Festival Transfer qui se tenait au Transbordeur, c'est dans l'Espace Club que se tint la scène. Après l'annulation de la Late Night, le public n'est pas aussi nombreux que la veille où tout se jouait dans la Grande Salle. Le Villejuif Underground La soirée démarre avec Le Villejuif Underground dans une atmosphère engageante, sans trop de monde tout de même mais pour les spectateurs qui sont là, c'est parfait. Le projet - signé chez Born Bad Records - est conduit par l'Australien Nathan Roche avec trois compères parisiens. L'indolence renvoyée par les cordes vocales de Mister Roche soulève le coeur de l'auditeur béat, qui se laisse joyeusement embarqué par ces mélodies faussement lymphatiques. En vérité, le rythme déconcerte par sa facilité. Le tempo est ample, la voix suave, ça séduit sur des vapeurs sixties. Et si on se laisse aller dans cette torpeur bien sympathique, les balades continues du chanteur entre la scène, la fosse et le bar nous maintiennent énergiques. Le set proposé par Le Villejuif Underground n'est pas surprenant, dans le sens où l'on est pas étonné par ce qui peut se passer dans la mélodie. Aucune trépidation de ce côté-là, le public est plutôt entraîné par la fluidité de leur cadence. Les 3... Lire la suite
Le Villejuif Underground : Vidéo
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