Trio franco-italien composé de Fedo (guitare, chant), Eugenio (basse) et Biri (batterie)
Les Ephémères en concert
Les Ephémères : l'historique des concerts
Sa.
10
Fév.
2024
Les Ephémères : les dernières chroniques concerts 2 avis
Fedo & les Ephémères
Sitôt le bon spatio-temporel au Poste à Galène avec le retour de Aline (voir la chronique Sami par ici) effectué, je me précipite au Baraki pour voir si Fedo et ses Ephémères ont déjà terminé leur set "Neil Young" ou si avec un peu de chance la deuxième partie (celle où ils jouent tous les 3) n'est pas tout à fait terminée. En effet j'avais tellement aimé leur précédent concert (voir chronique par ici) que je voulais les revoir en meilleur forme (je parle de moi là).A mon arrivée au coin Saint Pierre et Tilsit je vois au monde rassemblé sur le bout de trottoir que ça doit être fini. Effectivement parmi les nombreux neuroscientifiques que je reconnais il y a notamment Andrea aka Biri. Le set Neil Young est bel et bien terminé (j'ai donc raté Hey hey my my, Powder finger, Down by the river, Cinnamon girl, Everybody knows (this is nowhere), Alabama et Rocking free world d'après la grosse set list en carton que je verrai après), mais ils ont prévu un troisième set.Juste le temps d'appeler Svet pour qu'elle nous rejoigne, de discuter avec Nicolas, de faire la connaissance de nouveaux collègues, de sauter dans les bras de Pascale qu'ils déjà ont repris. C'est avec Sweet Jane de Lou Reed qu'ils me feront à nouveau plonger dans ce répertoire 70s... Lire la suite
Les Ephémères
Nous venons de rentrer de la Sainte Cécile et de la cérémonie / concert de 3h (chronique à venir peut-être) et de l'apéro qui a suivi. Nous sommes un peu sur les rotules, mais c'est juste à côté et le soir du départ du Carbone Odysée on avait dit qu'on passerait surement. Alors on se motive et on ressort. En revanche, étant un peu patraque (je n'aurais pas du manger un bout de cet opéra qui trainait depuis un moment dans le frigo) j'ai la flemme de prendre mon appareil photo. De toute façon on arrivera sans doute après la bataille.Tiens c'est tellement près qu'on y va même à pied. Le Baraki est la deuxième salle de concert la plus proche de chez nous (juste après le LAM). On passe régulièrement devant mais souvent en fin de soirée et on y rentre rarement. Pourtant la dernière que j'étais rentré dedans (en 2019) c'était pour voir Sub Power Sun (chronique par ici) et c'était très bien.Ce soir il s'agit d'un trio éphémère par son nom car ce n'est pas non plus la première fois que je les vois. La première fois c'était pour l'anniversaire du Comptoir Dugommier (ses 10 ans ?) et je n'avais pas fait de chronique car je fais rarement de chroniques des groupes de reprise (sauf si c'est du jazz). Mais comme cette fois encore ils m'ont impressionné je... Lire la suite