Fille de Jane Birkin et du réalisateur Jacques Doillon, demi-soeur de Charlotte Gainsbourg, l'actrice Lou Doillon se lance dans la chanson pop 'n folk sous le haut patronage de son ami Etienne Daho, qui a réalisé son premier disque... Album et tournée en 2015 ! Lou Doillon est de retour avec des concerts en 2019 (Olympia de Paris le 16 mai 2019) pour présenter en live son nouvel album intitulé "Soliloquy" En tournée française en 2020...
Lou Doillon en concert
Lou Doillon : l'historique des concerts
Je.
01
Oct.
2020
Me.
30
Sept.
2020
Sa.
26
Sept.
2020
Je.
17
Sept.
2020
Sa.
07
Mars
2020
La Gaîté Lyrique - Paris (75)
Sa.
30
Nov.
2019
Sa.
30
Nov.
2019
Ve.
29
Nov.
2019
Lou Doillon : les dernières chroniques concerts 7 avis
Dadju, Jane Birkin, Lou Doillon, Youssoupha, Patrick Bruel, Phanee de Pool, Orchestre de chambre de Lausanne, Jazzy Bazz, The Gardener and the Tree (Paléo Festival 2019)
Phanee de Pool Le dimanche au Paléo Festival, je démarre avec un très bon concert au Club Tent. Il s'agit de Phanee de Pool. Cette jeune artiste déborde d'énergie, elle est plein d'humour et elle fait de la chanson à texte. Celui-ci est réellement le socle de son uvre. Elle fait une sorte de slam élastique et malicieux comme ils disent ici. Phanee de Pool, c'est un peu Camille sans les pieds nus. C'est un peu Mademoiselle K qui aurait avalé sa distorsion par inadvertance. Avec sa guitare, un clavier, un looper, elle slame et rappe en symbiose : le slap est né. Elle débite, déroule, déballe, déambule, détonne, décale (parfois) et désarme (souvent). Animée d'une lucidité élastique, la jeune artiste suisse maîtrise la lame langagière comme une rappeuse et accompagne nos maladresses existentielles comme un ange sur l'épaule. Phanee de Pool, c'est une voix lucide, solide, espiègle qui se balade sur de la bricole mélodique gorgée de malice. Elle m'a d'ailleurs embarqué sur le crash barrière avec elle, c'était le top ! Carte blanche à l'Orchestre de Chambre de Lausanne Pour la suite de ce dimanche, on va respecter la coutume en continuant avec le concert de classique de la scène des Arches. Il s'agit cette... Lire la suite
(my) This Is Not a Love Song (TINALS) Festival 2019, 2-3 : Poutre, Off the Wagon, Lou Doillon, Big Thief, DTSQ, OPTM, Courtney Barnett
Day two of three, au plus merveilleux des petits festivals rock du monde... Pour cette deuxième journée, celle du vendredi, on avait bien repéré une sorte de trou d'air (à notre goût, en tout cas) dans la deuxième partie de soirée : idéal donc pour amener un enfant qui, ayant commencé les festivals rock avant la maternelle (et qui a déjà vu notamment Ty Segall ici-même il y a 3 ans), a bien gagné le droit de revenir rigoler un peu à TINALS, lui aussi, non d'un Pokemon ! On attaque les hostilités avec Poutre (déjà remarqué à La Rue du Rock de Marseille... l'autre meilleur festival de rock du sud !). Un trio noisy, classieux et joliment agressif à la fois, dont le chanteur a la particularité de hurler tout en gardant une poker face irréprochable, ils ont l'amabilité de ne pas jouer trop fort, de flirter avec Sonic Youth notamment : ça reste dansant et jamais trop intello ! Pour ne pas finir cramoisis comme des (super)homards, on finit par se tartiner un peu de nanoparticules et d'aluminium crémeux, qui ne seront pas du luxe vu le cagnard qui tabasse devant la petite scène Mosquito ! Pendant ce temps, l'enfant, pas spécialement inquiet de ce rock bruitiste, s'amuse en faisant des bulles ou en escaladant son pauvre père... Il faut... Lire la suite
John Cale présente l'album The Velvet Underground and Nico (+ invités : Carl Barat et Pete Doherty des Libertines, Mark Lanegan, Etienne Daho, Lou Doillon, Saul Williams, Animal Collective)
Comme pour beaucoup de monde, le Velvet Underground est à mes yeux un groupe majeur, qui a bousculé et changé la face du rock en y transfigurant son côté obscur, arty et sauvage. S'il ne faut pas sous-estimer l'importance de la guitare de Sterling Morrisson, Lou Reed et John Cale étaient bien évidemment les figures tutélaires du groupe et les seuls à voir poursuivi des carrières musicales prolifiques après les années d'insuccès de la formation new yorkaise. Si John Cale n'a pas décroché de tubes comme le "Walk on the wild side" de Lou Reed, il a commis des albums intéressants comme "Paris 1919", collaboré avec Brian Eno et ne s'est jamais enfermé dans un carcan musical. Il est de plus à mes yeux l'un des plus grands producteurs de l'histoire du Rock. On lui doit en effet les premiers albums des Stooges et des Modern Lovers ou l'album Horses de Patti Smith... Intéressé depuis des années par tout ce qui touche au Velvet, que j'avais eu la chance de voir sur scène le 16 juin 1993 à l'Olympia lors de leur tournée de reformation, j'attendais avec impatience cette Expo et ce concert Hommage à la Philharmonie. C'est pourtant avec une certaine appréhension que je rejoignais la Philharmonie. John Cale allait-il tenter de... Lire la suite
John Cale présente The Velvet Underground and Nico (avec Carl Barat et Pete Doherty des Libertines, Mark Lanegan, Etienne Daho, Lou Doillon, Saul Williams, Animal Collective)
Après une recherche désespérée de place pour ce concert unique, me voici à la Philharmonie de Paris pour voir John Cale et ses invités interpréter l'album The Velvet Underground and Nico à l'occasion de l'exposition "The Velvet Underground / New York Extravaganza". Comme prévu, le cadre est sublime. Dans la salle comble, le public est très éclectique - du septuagénaire en t-shirt "banane" d'Andy Warhol à l'ado accompagnant ses parents "car tu ne verras pas ça deux fois dans ta vie" - fébrile et quasi-silencieux, et ovationne John Cale et son groupe à leur arrivée sur scène. Les premières notes de "Waiting for the Man" résonnent, indiquant que l'ordre canonique de The Velvet Underground and Nico sera contrarié. Le public, connaisseur, fait savoir son appréciation et une satisfaction émue à écouter ce membre fondateur du Velvet jouer ce morceau emblématique d'un album culte comme peu d'autres dans l'histoire du rock. Un début calme, précis. On attend la suite. A notre plus grand malheur, on voit ensuite les dadais dégingandés des Libertines s'amener sur scène et entonner le moins accessible "European Son". A grands coups de riffs monotones, surfaits, accompagnés d'un clavier lourdingue, les deux clowns dénaturent cet hommage... Lire la suite
Lou Doillon : Vidéo
Lou Doillon : écoute
Top Pop-Rock
01
03
04
07
08
09
10