Des chansons acoustiques entre jazz, folk, swing et reggae.
Makali se présente : Makali est un groupe de chanson française crée en 2003 dans le Vaucluse .
C'est d'abord un trio composé d'Armelle Ita (Chant et Clarinette), Andrea Papi (Guitare et Churs) et Barnabé Saïd-albert (Chant et Guitare) qui développe son univers acoustique en multipliant les apparitions dans divers lieux de la région, avec un répertoire teinté de folk, de swing ou de reggae.
En 2004, Audrey Saturi (Violoncelle) et Cleps Puig (Basse et Contrebasse) rejoignent le groupe qui se lance dans l'enregistrement d'un premier maxi autoproduit : De la chanson et puis c'est tout... Parallèlement, accompagné par des structures locales, Makali engage la création de son spectacle Chez Mémé en mettant l'accent sur une scénographie et sur une esthétique musicale intimiste présentées en première partie d'Anaïs à la Gare de Coustellet (Vaucluse).
Dans le courant de l'année 2005, le groupe est rejoint par Nico Rew (Batterie et Percussions) et les concerts se poursuivent avec notamment des premières parties de Dobé Gnahoré et Jacques Higelin.
En 2006, Andrea et Cleps, alors recrutés sur un tournage en tant qu'assistants, font connaître la musique de Makali à la production du film. Trois titres du maxi De la chanson et puis c'est tout... sont ainsi retenus par la Fox pour figurer dans la bande originale internationale de A Good Year (avec Russel Crowe et Marion Cotillard) réalisé par Ridley Scott.
L'un des trois titres, Il faut du temps au temps, est même utilisé pour le générique final du film et apparaît sur le disque de la BO.
Cette même année, Makali signe des contrats avec 31 Editions et TS3, production de spectacles de Thierry Suc. C'est grâce à cette opportunité que le groupe se produit à plusieurs reprises en première partie de Raphaël durant l'été 2006 dans des lieux tels que les Arènes de Nîmes ou l'île du Gaou.
La formation présente finalement son travail aux maisons de disque à l'occasion d'un concert à la Scène Bastille (Paris). La salle est comble ! Un contrat sera signé en 2006 avec le label Mercury/Universal.
Le groupe entre alors en studio au printemps 2007, puis retrouve la scène sur différents festivals tout au long de l'été, avec un accueil toujours plus chaleureux du public.
A l'instar du maxi autoproduit de 2004, leur premier opus s'intitule De la chanson et puis c'est tout...
On y note la collaboration du réalisateur Phil Delire et la rencontre avec Stéfane Mellino (des Négresses Vertes) à la guitare sur le titre Comme le mal emporté.
Makali en concert
Makali : l'historique des concerts
Ve.
17
Juillet
2009
Presqu'Ile du Gaou - Six-Fours-les-Plages (83)
Me.
08
Juillet
2009
Sa.
21
Mars
2009
Ve.
28
Nov.
2008
Ma.
25
Nov.
2008
Me.
19
Nov.
2008
Je.
06
Nov.
2008
Sa.
18
Oct.
2008
Makali : les dernières chroniques concerts 1 avis
Makali
Chronique à 2 voix Premier samedi de la fiesta, concert de soutien au Balthazar, c'était courageux de la part de l'Espace Julien de programmer ce groupe de chanson française au Café Julien. Le café Julien c'est ce petit espace bar, avec un "balcon" et une scène, à la déco venue d'Afrique noire et dont l'entrée est beaucoup plus chaleureuse qu'à l'espace d'à côté. Je me souviens d'y avoir vu d'agréable surprises, c'est donc avec plaisir que j'emmène ma cop's voir Makali.Ils viennent de commencer quand nous arrivons, j'entends les dernières notes de Il faut laisser le temps au temps. Ils sont 5 sur scène, ont pas mal de fans dans la salle... Armelle use de sa douce voix claire pour nous emmener Marchant sur cette route. Le public est séduit. Et c'est pas fini car la clarinette charmeuse de serpent de C'est l'ennui entre en scène.C'est le moment pour moi... Lire la suite
Makali : les chroniques d'albums
Makali : De La Chanson Et Puis C'est Tout
Chronique écrite le 30/09/2008, par Celine
Bon, je dois reconnaitre que j'ai un peu tardé à parler de ce disque, mais à ma décharge, il est bon de l'écouter plusieurs fois. Il faut du temps au temps comme le dit le premier titre, il faut un peu de temps, plusieurs écoutes pour se faire sienne cette mélodie, pour qu'elle reste en tête, pour que raisonne en nous la douce voix d'Armelle, et la clarinette. Dès le deuxième morceau, on se laisse entrainer dans une ambiance plus festive, un petit "jump" aux paroles pleines d'humour et de bon sens. Les... Lire la suite