Des chansons d'inspiration folk, aux sonorités souvent trip-hop, tendues et aériennes.
Martin Mey en concert
Martin Mey : l'historique des concerts
Di.
22
Sept.
2024
Je.
21
Déc.
2023
Me.
20
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2023
Ma.
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Martin Mey : les dernières chroniques concerts 21 avis
Minimum Ensemble feat. Marion Rampal, Lonny, Fred Nevché, Lina Marcela Lopez (Noël Ensemble)
Critique écrite le 23 décembre 2023, par Pirlouiiiit
théâtre de la Criée, Marseille 13 décembre 2023
Noël du Département 31ème saison. Pour moi ce n'est que la 4ème mais je garde un très bon souvenir de celles-ci, que ce soit le Noël Nomade de 2011 (voir chronique par ici), le Noël des Pays d'Oc de 2015 (voir chronique par ici) ou plus récemment le Noël Folk de 2022 (voir chronique par ici). Belle initiative du Département avec cette année pas moins de 65 concerts dont pas mal à Marseille. Et s'il y en a un que je ne voulais pas rater c'était bien celui-là. Grand fan de Sammy Decoster depuis ce concert en appartement en 2009 (voir chronique par ici) j'essaie de ne pas rater ses passages. Aussi au début de l'année je me suis précipité pour la double carte blanche de la Meson à Martin Mey qui nous a présenté pour l'occasion son Minimum Ensemble nouvelle version (c'est-à-dire avec Sammy à la place de Mathieu - Oh ! Tiger Mountain - Poulain) et où la date de ce soir trouve ses racines puisqu'on y retrouve les deux invités du deuxième soir de cette carte blanche Lonny et Fred Nevché (voir chronique par là). En effet ce soir il s'agit de la date "deluxe" c'est-à-dire dans une salle plus grande qu'une église (d'autres Noël de cette année ont été programmés au Silo par exemple) et avec des invités. Du coup, la magie de Noël opèrera sans doute... Lire la suite
Lonny, Marilou Gérard, Martin Mey, Sammy Decoster, Fred Nevché, Capucine Trotobas (Carte Blanche à Martin Mey, soir 2)
Si cette année j'ai vu de bons concerts à la Meson (le groovy Sly Johnson, la pétillante Clair) c'est la première fois que je viens pour une de ces fameuses cartes blanches dont Pirlouiiiit nous écrit régulièrement le plus grand bien.C'est Martin Mey qui invite des artistes qu'il affectionne sur deux soirs, et avec une certaine émotion il décrit les bons moments de cette résidence commencée deux jours avant.Pour ce deuxième soir on a la plaisir de voir des musiciens qu'on avait vu à Marseille dans des contextes assez différents, que ce soient Sammy Decoster apprécié au festival avec le temps avec une Pomme alors inconnue, puis à Vitrolles au festival Jardin Sonore, la marseillaise Marilou Gerard au café julien au sein du duo nu soul Les Mômes, et Lonny qu'on avait découvert au Lollipop avec son micro label de l'époque.C'est cette dernière qui a largement motivé ma venue, son premier album "Ex Voto" sorti l'an dernier fut une petite claque, douce mais une claque quand même, un bijou folk dont elle jouera quelques titres bien accompagnée.Lonny commence son set avec "Comme la fin du monde" puis "Incandescente" on est déjà sous le charme, elle chantera plus tard les délicats "Dans la maison des filles" puis "Le sable normand" au rappel.Pour une... Lire la suite
Marilou Gérard, Baltazar Montanaro, Martin Mey, Sammy Decoster (Carte Blanche à Martin Mey, soir 1)
Ce concert était une carte blanche cela veut dire qu'il y a des invités qui sont venus c'est pour ça que le concert se déroulera en 5 parties,: la première le solo de Marilou Gérard avec son clavier, ensuite le solo de violon de Baltazar Montanaro, puis le duo de Baltazar au violon et Martin Mey au piano, après le solo de piano de Martin, et enfin Sammy Decoster au chant et à la guitare.Après le baptême de plusieurs de mes amis et après avoir fait la fête, nous sommes allés à la Meson. (sans Luciiiie qui était restée à la maison pour faire ses devoirs). Nous avons du nous arrêter à la maison pour faire une pause pour manger un peu avant. Donc nous sommes arrivés à la Meson avec un peu de retard. Mais nous avons quand même pu voir les deux derniers morceaux de Marilou Gérard au clavier. Elle avait une très belle voix. Juste après ça a enchaîné avec Baltazar et son violon Bariton (un violon un peu déformé qui fait des sons une octave plus bas qu'un violon normal) qu'il accordait avec des mini pinces à linges et des barrettes. Il faisait que des improvisations. A la fin de son morceau il racontait à quoi il pensait. A un moment il a pris son violon et a fait une mini chanson en faisant des bisous sur son violon.Il a joué de plusieurs... Lire la suite
Ottilie B et ses invités
Tout juste échappé de la caverne d'ali baba ou Yessaï Karapetian venait de nous offrir plus d'une heure de magie bien que pas spécialement fan du concept karaoké, et n'ayant pas prévu de passer pour ce deuxième soir de Carte Blanche à Ottilie (j'avais déjà assisté la veille à la première soirée en duo avec Olivier Koundouno, je décide finalement de m'arrêter pour jeter un oreille à cette soirée " ils s'enjazzent ! " (pour coller au festival Jazz sur la Ville?) bien particulière à la Meson ... Ce soir Ottilie B s'est entourée de B Martin Mey et Marilou Gérard de l'Ensemble Minimum au chant, de Mathis Bouveret-Agenkin au clavier et bien sûr de Olivier Koundouno au violoncelle déjà présent la veille. Je ne sais pas si la soirée à commencé par un concert plus " classique " mais là les 5 musiciens cités sont en plein karaoké. Comme elle l'avait expliqué la veille, ils ont regroupé un certain nombre de standards dans un petit livret qu'ils ont fait circulé en début de soirée pour que le public puisse s'inscrire et venir chanter aussi en deuxième partie de soirée. Pour le moment c'est encore eux qui chantent Des grands classiques aussi variés que Ces petits rien (Serge Gainsbourg), Fever (Peggy Lee), Nature boy (Nat King... Lire la suite
Martin Mey : les chroniques d'albums
Martin Mey : Taking Off
Chronique écrite le 27/01/2015, par Lartsenic
One Time Too Many donne l'impulsion, signe d'un nouveau départ. La section rythmique s'est enrichie, emmenée par Laurent Tamagno: musclée, ronde, forte. Elle ancre l'album en de belles profondeurs. Au constat/ras-le-bol d'un rythme frénétique s'impose le besoin de se "débrancher/déprogrammer", vaste sujet qui nous touche tous, je suppose. Seed Song, par opposition, vient souligner le lent procès de la nature à donner corps à nos envies, tendre plainte à deux voix lancée vers le ciel, au lignes de piano raffinées. Une boucle lancinante ouvre Running Child, obsessionnelle, à la Radiohead. On y hume le parfum d'une innocence perdue, la nostalgie tendre d'une communion avec la nature et la sérénité de jeux d'enfants solitaires; solitude qui confine plus tard... comme dans Loner/Prisoner où apparaissent des cuivres, où le rythme s'accélère avec l'envie d'un partage (d'âmes?). Des "visages illuminés", signaux chargés d'espoir, viennent modifier les limites de la prison, éveillant de nouveaux désirs, puissants. Dans Lost In Tape#1, le synthé a la douceur de certains instants de Ravel, il... Lire la suite
Martin Mey : Never Go Down
Chronique écrite le 02/03/2014, par Jacques 2 Chabannes
Je pourrais me borner à affirmer céans que ce EP est une réussite. Point. Reste que, lorsque l'on chronique ainsi une sortie uniquement "accessible" sous forme de (putain de) téléchargement "immatériel", la médiocrité du (putain de) support peut parfois logiquement prendre le pas sur la qualité intrinsèque de son contenu et aller jusqu'à perturber la démarche en elle-même ; le doigt initialement résolu à appuyer d'envie sur la touche : "oui, oui, je veux absolument intégrer ces quatre chansons au cheptel varié déjà retenu prisonnier en mon ordi sous forme de (putain de) Mp3 !". C'est un fait. Incontestable et avéré. Du moins, en ce qui concerne l'indéfectible amoureux (vieux con largué ?) du "joli support physique + qualité sonore au diapason" que je suis, reste et resterai ad vitam aeternam. Sinon, à quoi bon se presser ainsi le teston des mois durant - ou traquer sévère le divin neurone créateur ! - si c'est pour accoucher au final d'un tel service non rendu à la muse d'origine et aux divers musiciens, arrangeurs ou petits génies du Mastering, qui se seront tour à tour penchés au-dessus du EP berceau lors de son attendue et joyeuse mise au monde. Lors, donc, ignorer ce nouvel accouchement par "voies" non naturelles, pour cette simple... Lire la suite
Martin Mey : Get Out And Live (Mars 2010)
Chronique écrite le 22/02/2010, par Lartsenic
Des abysses de l'océan musical remontent parfois de bien jolies perles... Le premier EP de Martin Mey nous plonge dans un univers très confidentiel, habité par des ombres géantes, tourbillonnantes et inquiétantes. Ces ombres sont invoquées, convoquées, avec leurs passions, leurs déchirements, leurs instants de tendresse. Et l'on suit l'histoire d'un enfant en fuite sur une route sablonneuse et déserte, en soif d'absolu. Troublant effet, c'est un homme qui parle pour lui, enfermé lui aussi dans une dimension... Lire la suite